Il faisait froid. Extrêmement froid... Le vent glacial attaquais mon corps. Cette morsure gelée m'attaquais les pieds, mes doigts de pieds étaient meurtris. Mais c'était le pris à payer pour cet ingrédient rare et nécessaire à la création d'un noyau atomique... Une dose de silicium impur. Je savais que dans les montagnes j'en trouverais, du moins j'espérais. Mais la tache ce fit plus dure. Et je montais, car je ne souhaitais volé au risque de rater ma cible, avec difficulté l’escarpement qui me mena au silicium. Redescendant à mon campement, je trouvais mes affaires dans un désordre des plus absolue, heureusement rien n'avait été cassé, mais le désordre y était, et je n'aimais pas cela, et encore moins perdre mon temps à tout ranger. Je me demandais qu'est ce qui avait bien put faire cela. Je compris bientôt que ce n'était pas dut à un humain, car des marques de pas animal était incrusté dans le sol. Un animal était passé par là, il s'agissait d'un ours. Je rigolais doucement, et m'envolais pour attraper ce qui avait fait de mon beau campement ce capharnaüm.
Je passais au dessus d'une forêt de cèdre, majestueuse étendue de vert, ces arbres centenaires dominaient les contrebas, tel des colosses de bois gardant la montagne de menaces extérieures, et déversaient une ombre, sur le pic rocheux d'un blanc immaculé, un tel paysage était doux à l’œil. De plus, l'aube se levait, et donnais à ce spectacle un côté lyrique. Une rivière passait aussi par là, torrent insaisissable, force brute de la nature, elle coulait telle une larme descendant rapidement de la montagne, dans son bleue azur ce reflétait la douce lumière de l'aube, accentuant, sa beauté.
Soudain un mouvement me fit tourner le regard et repenser au réel soucis, qu'est ce qui avais put faire autant de dégâts dans mon campement. Le mouvement provenais de la vallée en contrebas, un gros ours brun fuyait. Plongeant, je tombais sur son dos, c'était un ours de grande taille, un mètre du sol a quatre patte, et debout, il aurait mesurer pas loin du triple. Il avait un pelage brun, comme ces confrères, mais sur sa patte avant gauche, il y avait une marque, comme une tâche de naissance, plus claire. D'un claquement de doigt, je faisait appel à Faucheuse, mon arme de combat. Je n'eut qu'à lui donner un coup avec la garde dans la nuque, et, dans un bruit de tonnerre, la bête s’effondrât au sol. Je la regardais, un sourire au lèvre.
Je me retournais, et derrière moi, la bête se transformais en eau.
M'envolant je retournais à mon campement, et déjeunant, je repensait au magnifique paysage que j'avais survoler. Je n'arrivais pas à ôter cette vision de ma tête, elle m'apaisait.
Finissant mon repas, je me mis au travail, sortant besher, pipette,... Commençant mon expérience je me sentais bien, détendue et réfléchie. Je me sentais revivre à chacune de mes nouvelles expérience, comme si les atomes étaient comme un rayon de soleil qui, à l'aube, réchauffe notre cœur, et le baigne d'une énergie nouvelle.
J'entamais mon expérience, et n'ayant pas encore insérer le silicium, un bruit me fit sursauter et je fit tomber tout mon matériel. Tout ce cassa au sol, et la solution ce déversa aussi. Extrêmement corrosif, cette dernière attaquas le sol, alors, d'un claquement de doigt, je stoppais la réaction chimique. J'entendis alors un second bruit, des pas. Ils étaient cadencés comme ceux des humains.
-Qui est là ?! Criais-je.
Aucune réponse ne me provint, mais la tête d'une jeune fille passa doucement par l'embrasure de la tente aménagée en laboratoire.