Un détour par le Parc [Pv Yurippe] -A FERMER-

J'admirais la splendeur de ses ails, voulant les toucher, glisser mes doigts entre ses plumes. Elles étaient très grandes, mais je pense qu'elles étaient moins grandes que la bonté et le coeur de leur propriétaire. Yuri, sa gentillesse m'avait atteint.

- Je te remercie de tout coeur Eirika pour tes compliments !

Elle méritait pour le peu que je la connaissais, tout les compliments que je lui avait fait. Elle était d'une beauté sans pareille, douce, amicale, généreuse. C'était les qualités que je lui avait trouvé, en si peu de temps. Elle voulait m'aider, c'était la première qui me disait ça dans Sanctuary of Heart.

- Mais, je ne suis pas toujours heureuse comme maintenant et je n'ai pas toujours été aussi un ange par le passé.

Certes, elle avait peut-être eu une vie compliquée. Elle avait peut-être été une vraie garce dans sa vie passé, quelqu'un qui a fait du mal aux autres, qui a trahi des amis, qui a tué quelqu'un... Ces pensées me faisait un peu peur, je ne connaissais rien de Yurippe. Mais pour le moment, tout ce que je savais, c'est qu'elle était bonne et attentionnée envers moi, la fille de la Taverne.

- Tu n'es pas la seul, je me sens parfois la plus triste du monde entier et pour y échappé quand cela ce produit, je me réfugie dans mes rêves...

Elle sanglotait. J'avais juste envie de l'aider, de la consoler, de la prendre dans mes bras...

- Même si tu n'as pas été un ange par le passé, tu en es un désormais. Nous avons tous fait des erreurs, des choses qui ne s'effacent pas. Si on regarde en arrière, certaines blessures peuvent être réouvertes.

- Je sais que c'est un peu précipiter, mais veux-tu être vraiment mon amie ?

Elle s'assit sur le rebord en pierre d'une fontaine du parc. Je la regardais. Elle était silencieuse, un peu triste, mais très seule. Elle n'avait pas le même passé que moi, mais nous avions un point commun : la solitude. Mes articulations semblaient bougés toutes seules, et doucement, comme portée par le vent, je me dirigeais vers elle. Enfin arrivé à sa hauteur, je la pris dans mes bras, la serrant contre mon torse. J'avais envie de sourire et de pleurer en même temps.

- Nous sommes déjà amie. Nous sommes devenues amies au moment ou tu as accepté de m'aider. Parce que, s'aider, c'est ce que font les amis. Et j'aimerai aussi t'aider, Yuri.

Oui. Cette rencontre était le destin.

EDIT ALICE: Évite d'utiliser la couleur "Black" pour la narration, car elle est réservée.

Alors que je fixais toujours Akuma, Eirika se précipita vers moi et me pris dans ses bras, me serrant fort pour me réconforté. Son action me surpris et j'eus le souffle coupé, c'était la première fois depuis très longtemps.

- Nous sommes déjà amie. Nous sommes devenues amies au moment ou tu as accepté de m'aider. Parce que, s'aider, c'est ce que font les amis. Et j'aimerai aussi t'aider, Yuri.

Je me libérais de ses bras pour la regarder droit dans les yeux et je lui fit un sourire éblouissant. Je n'ai jamais été aussi heureuse depuis que mon petit frère, mes petites soeur et moi sommes morts.
Dans le passé, je vivais avec ma famille dans une belle maison car mes parents était riche. J'étais tout simplement heureuse de vivre et d'être toujours réunis avec tout ceux que j'aime mais malgré notre richesse je suis restée toujours la même : je suis restée gentille et attentionnée envers n'importe qui, quelque soit la classe et le rang de la personne en question.
Un jour mes parents n'étaient pas là et je du garder comme d'habitude mes deux soeurs et mon frère.
Mais alors que nous nous amusions, des cambrioleurs se sont faufilé par la porte d'entrée en la crochetant et sont venu nous attaché les mains dans le dot. Ne trouvant rien de valeur chez nous, il me demandèrent d'aller les chercher moi-même nos objets de valeur mais ils avaient tout prévus. Pendant que je devais chercher ils ont gardé mes soeur et mon frère comme des otages mais si l'heure limite qu'ils avaient fixé pour ramené les objets est dépassés, ils les tuerons.
J'avais très peur et je ne savait pas quel objet de valeur leur rapporter car mes parents ne partageaient pas leur secrets avec moi. Je pris finalement un vase que j'espérais leur satisfaire mais se fut trop tard, l'heure était passé et j'entendis 3 coups de feu consécutif alors que je descendais les escalier pour les rejoindre. Mais en entendant sa, je rata une marche et je finit en bas des escalier.
C'est à ce ce moment précis que je mourut.
Mon réveille se fit dans une forêt étrange mais tandis que je m'interrogeais sur l'endroit où j'avais atterri et découvris une jeune louve à mes côtés, mes souvenirs me revenaient petit à petit et je trouva que la vie était tout simplement injuste.

Mais maintenant, je me sentais renaître une nouvelle fois dans l'étreinte chaleureuse de Eirika et mon passé qui était présent à mes côtés chaque jours, s'est aujourd'hui dissipé comme mes ailes dans mon dot à cet instant. Mais. . . je sais que dés que je voudrais les ressortir, je les verrais de nouveaux.

- Merci de tout coeur Eirika ! dis-je la serrant un peu plus fort dans mes bras. Mais avant que je puisse t'aider et que tu puisse m'aider, je crois que tu devrais ramené ce gros paquet à la Taverne de Dyonisos.

La fraîcheur de l'air transperça mes pouvoirs et je frissonnais à présent. Il faudrais que je contrôle mieux mes pouvoirs, mais je pense que j'y arriverais dans peu de temps grâce aux encouragement ma nouvelle amie.

- Et peut-être qu'après nous pourront aller promener ou boire un verre à la taverne pour ce connaître un peu mieux tu ne crois pas ?

Je ne sais pas pourquoi mais une pensée me traversa l'esprit et je la chassais immédiatement. En faite cette pensée était en faite une phrase : "Tiens, je pourrais peut-être rencontré un beau jeune homme à la taverne." Je l'accorde, c'est une pensée bizarre pour un ange mais je suis une jeune fille après tout.

Le corps de Yurippe contre le mien réchauffa mon coeur. Cela faisait longtemps que je n'avait pas serrer quelqu'un dans mes bras. Peut-être était-ce parce qu'habituellement, j'étais quelqu'un de distant et quelqu'un qui ne supportait pas les câlins. Enfin, c'était ce que le monde pensait de moi, mais la réalité était contradictoire.
Elle s'écarta un peu de moi, et à nouveau le vent de l'automne me glaça le sang. Elle me fit un sourire rassurant, et je ne put m'empêcher de répondre à celui-ci. Elle semblait préoccupé par un passé douloureux, et je voulais l'aider à surmonter cela, même si je ne savais rien d'elle. Nous avions à présent tout le temps de nous connaître. En quelques minutes seulement, le courant était très bien passé entre nous. Qui aurait cru que ce matin, en allant au marché, j'allais faire une rencontre extraordinaire ? Qui aurait cru que ce détour allait me permettre de rencontrer quelqu'un de formidable ?

- Merci de tout coeur Eirika ! Mais avant que je puisse t'aider et que tu puisse m'aider, je crois que tu devrais ramené ce gros paquet à la Taverne de Dyonisos.

Je senti le poids du sac de légumes sous ma main de nouveau. C'est vrai que toute cette histoire m'avait complètement fait oublier ma tache première : Ramener les courses au patron. Ce rappel me donna la chair de poule. Déjà que j'avais fais un détour par le parc pour retarder ma rencontre avec lui, mais ce détour était devenu très long, et la rage du patron sera deux fois plus grande. Je grimaçais en pensant au sermon que j'allais recevoir dès que j'allais déposer les légumes sur le comptoir...

- Et peut-être qu'après nous pourront aller promener ou boire un verre à la taverne pour se connaître un peu mieux tu ne crois pas ?

La Taverne était l'endroit ou je passais le plus de temps depuis que j'avais atérit ici. C'était l'endroit où je logeais, où je travaillais, où je discutais... J'avais plutôt peur de sortir de la Taverne, car la rue sombre dans laquelle elle se situait était très hostile.

- Tu as raison, dis-je en paniquant, le Patron sera certainement en colère en voyant que je ne revient pas avec ces légumes. Ah, me faire lever si tôt pour acheter quelques poireaux et carottes, c'est vraiment de la torture. Le patron est quelqu'un de cruel.

Un sourire gêné traversa mes lèvres.

- Yurippe...

Je me stoppais net. C'était la première fois depuis notre rencontre que je l'appelait par son surnom. Avais-je le droit de le faire ? C'était peut-être déplacé de ma part. Je ne devrais pas être si familière avec elle. Rah, mon cerveau s'embrouille...

- Excuse-moi. Yuri, que penses-tu de visiter chez moi ? Je te présenterai à Romulus. Il est très gentil, mais un peu fatigué en ce moment. J'évite de lui faire faire trop de voyage à cause de sa blessure. Il faut qu'il se repose le plus possible.

Mais, une seconde. Ma chambre était sombre et toujours poussiéreuse, ce n'était peut-être pas très courtois de l'inviter dans ce genre d'endroit. En plus, elle aurait une mauvaise vision de moi et d'où j'habite...

- Tu as raison, dis-je en paniquant, le Patron sera certainement en colère en voyant que je ne revient pas avec ces légumes. Ah, me faire lever si tôt pour acheter quelques poireaux et carottes, c'est vraiment de la torture. Le patron est quelqu'un de cruel.

Je la regardais avec curiosité : elle m'avait fait un sourire gêné. C'était la première fois que je rencontrais quelqu'un qui n'avait pas la vie facile et je me demandais pourquoi je ne l'avais jamais rencontré depuis mon arrivé ici. Peut-être est-elle arrivé il n'y pas longtemps ou bie, tout simplement qu'elle n'est jamais sortit jusqu'à aujourd'hui de la taverne où elle travaille ?
Je lu dans ses pensées et je vis que j'avais finalement raison.

- Yurippe...

Sur le moment je fus surprise en entendant se surnom que je trouvais jusqu'à maintenant ridicule et en plus cela faisait longtemps que personne ne m'avait pas appeler comme sa. Mmmh. . . je crois que c'est mes amies d'autrefois qui m'avait surnommé Yurippe.

- Excuse-moi. Yuri, que penses-tu de visiter chez moi ? Je te présenterai à Romulus. Il est très gentil, mais un peu fatigué en ce moment. J'évite de lui faire faire trop de voyage à cause de sa blessure. Il faut qu'il se repose le plus possible.

- Se n'ai rien tu peux m'appeler par mon surnom si tu le veux Soul. dis-je joyeuse en faisant une pose après, pour reprendre. Mais avec plaisir ! J'ai hâte de rencontré ton ami et cela ne fait rien si ta chambre est sombre et poussiéreuse ! Et bien sure à cause de sa, je n'aurais jamais une mauvaise vision toi.

Mince !!!!! J'ai répondu à ses pensées sans le faire exprès ! Sa m'arrive parfois et après je suis gêner mais la télépathie mes d'un grand secours lors d'un combat, car je peux savoir se que va faire l'ennemi à l'avance.
Un peut affolé je pensa comme même à l'attention de mon affilié :

"Akuma, je sais que c'est une peu trop tôt pour te dire sa mais voilà, je veux que tu soit gentille avec l'ami de Eirika et tu ne te moque plus d'elle."

"D'accord j'ai compris !" pensa-t'elle sans méchanceter pour une fois. "Je te le promet."

Contente que mon affilié m'écoute enfin, je me retournais vers Soul.

- On y va ?! demandais-je enthousiaste.

- Ce n'est rien tu peux m'appeler par mon surnom si tu le veux Soul. Mais avec plaisir ! J'ai hâte de rencontrer ton ami et cela ne fait rien si ta chambre est sombre et poussiéreuse ! Et bien sure à cause de sa, je n'aurais jamais une mauvaise vision toi.

Tout en écoutant ma nouvelle amie, je réalisais que sans que je lui parle de ma chambre pathétique, elle avait dit ces mots. D'abord stupéfaite, je la fixait avec des yeux ronds, mais je réalisait que ces joues prenaient une couleur rouge, sûrement à cause de son embarras. Je ne voulais pas que la belle soit gênée a cause de moi. Elle devait posséder un don de télépathie, ou autre chose de ce genre. Je voulais lui demander, mais je pense que ce n'était pas le bon moment. Je lui demanderai plus tard, quand nous ne seront plus dans ce parc, mais devant une bonne tasse de thé ou autre.

- On y va ?!

Tout en jetant un coup d'œil à son familier, je souris à l'ange et la pris par la main, tout en tenant la nourriture fraichement achetée de l'autre côté.

- Go go ! Allons rapporter ça au Patron.

Je l'entrainais vers l'endroit où se situait la Taverne. Je ne savais pas si c'était une bonne idée, la rue était pas des meilleurs, mais après tout, il y avait un loup féroce en notre compagnie. J'espère que ça réussira à effrayer les individus étranges en attendant qu'on arrive à destination. Une fois chez moi, nous serons en sécurité. Du moins, le seul risque est que le plancher s'écroule sous nos pieds... M'enfin, on y pensera quand ça arrivera. Je jetais un dernier regard au parc, les feuilles dorées tombantes, le soleil se levant, et la fontaine où j'avais serrer ma nouvelle amie dans mes bras. Tout ces souvenirs, je ne veux jamais les oubliés. Je ne regrette pas d'avoir fait un détour par le parc !

[Hors RP : On fait un nouveau RP dans ma chambre ? Je le commence ?]

J'eus un frisson à cause de l'air glacé qui s'infiltrait à travers mes habits. Aujourd'hui j'avais revêtu un tricot blanc très fin, un jean bleu, des converses noir et blanche que j'avais ramené de la Terre et une magnifique veste en cuir noire, une tenue plutôt décontractée quoi ! Et que personne bien sure ne porte presque plus sur cette île.
Je levais la tête vers Eirika qui tout en jetant un regard furtif vers mon affilié, m'avait souris et pris ma main. Cette dernière me réconforta pour je ne sais quelle raison, peut-être était-ce de la confiance en moi et en Eirika que j'ai ressenti sur le moment.

- Go go ! Allons rapporter ça au Patron.

Et elle commença à m'emmener vers la taverne de Dionysos où se trouvaient son habitat et son lieu de travail. Je connaissais déjà le trajet qu'il fallait faire pour y arriver même si je n'y suis jamais passé mais attention ce n'est pas à cause des rues sombres qu'il fallait traverser avant d'arriver à la taverne, c'est juste que je ne savais pas ce qu'une fille comme pourrais faire là-bas.

[Désoler il est court cette suite de RP. Donc oui je veux bien faire la suite RP où tu veux et tu peux le commencer si tu en a envie.^_^]