Une demi-déesse et une démone, quelle étrange rencontre...

Des flaques de sang plus ou moins frais recouvrant les ruelles sales, des détritus un peu partout, quelques rares animaux affamés espérant trouver de quoi apaiser la faim qui les tenailler, ou bien encore les hommes aux lames tâchés de pouprpre qui la regardait menaçant alors qu'elle passait d'un pas rapide sans leur prêter la moindre attention.

Avançant dans sa longue cape noire, telle une ombre dans la nuit, ou plutôt la fin de soirée puisque les étoiles ne pointaient pas encore et que la lune était à peine visible n'ayant pas encore pris la place du soleil qui teintait le ciel d'orangé sombre en disparaissant peu à peu derrière l'horizon. Mais dans ces ruelles, on aurait pu croire que la nuit était déjà présente. Sombre, inquiétante, et dangeureuse...
La démone avançait espérant distançait ses poursuivants. Deux hommes, entrant peu à peu dans l'ivresse leur bouteille à la main qui l'avait apostrophé mais elle ne leur avait pas prêter attention. Ce qui leur avait fortement déplu. Ils avaient décidé de la suivre en braillant pour attirer son attention en vain. Elle savait pertinamment qu'elle pourrait les battre mais elle ne voulait pas attirer l'attention sur elle.
Obliquant dans une autre ruelle, Ellena leva sa tête et lu un panneau marqué "Taverne de Dyonisos". La démone poussa la porte de bois et entra.

L'atmosphère était pesante et l'odeur d'alcool aussi. Elle s'assit à une table et jura entre ses dents lorsque les hommes qui la poursuivait entrèrent à leur tour. Espérant qu'il n'est pas vu son visage, elle enleva sa cape dévoilant son visage pâle, ses yeux grenats et ses cheveux de jais. Elle avait décidé de se mettre une robe noire malgré le temps et la température basse, un leggin bien epais et des ballerines de la même couleur. Elle posa sa cape sur la chaise et s'y adossa. Une serveuse brune s'approcha en même temps que les hommes. L'un deux lui posa sa main sur l'épaule.
Avec vivacité elle lui attrapa le bras et lui fit une clé de bras. Elle créa une lame de glace dans sa main et menaça l'homme avec.

"Maintenant vous allez arrêter de me suivre compris ?" sussura-t-elle.

Son ton était froid et sans appel. L'autre homme allait l'attrapait quand il fut stoppé par une autre personne.

Aujourd'hui, la taverne où je travaille n'était pas chargée comme à l'accoutumé. Cependant, les tensions et bagarres étaient toujours présentes qu'il y ai ou non des clients. J'avais déjà un métier similaire sur Terre, donc calmer la clientèle n'était pas une nouveauté pour moi. Mais, là ou je travaillais avant, il n'y avait ni ange, ni elfes, ni démons, ni mages, ni vampires, hybrides... Cet endroit était complétement différent. Si sur la planète bleue, les gens se battent avec leurs poings, ici ils préfèrent de loin mordre, griffer avec leurs ongles acérés, ou encore ils utilisent des pouvoirs plus incroyables les uns que les autres. Je n'avais pas choisi le meilleur endroit pour atterrir, il ne se passait pas un jour sans que j'assiste à des confrontations sanguinaires dans la rue. Sur mon lieu de travail, je faisait de mon mieux pour stopper les gens. C'était aussi ça, être serveuse.
Il y avait trois catégories de clients. Ceux qui venaient tout les jours, qui me connaissait bien et que je connaissais tout aussi bien. Leurs points forts, leur points faibles, je pouvais les dicté sans faire d'erreur. Il était donc plus simple de les arrêter lors d'une bagarre. C'était comme cette bande de vampires, en bout de table, leurs yeux avides de sang qui scrutent les gorges des jeunes demoiselles passant à la taverne. Je m'approche d'eux, un peu sûr de moi malgré leurs dents pointus qui recherchaient une proie.

- Voici vos boissons. Est-ce que vous souhaitez autres choses ?

Je pensais que les vampires ne se nourrissaient que de sang, mais la bande à "Croc Rouge" (le Patron surnomme le chef de la bande de vampire comme ça) venaient ici tout les jours à la même heure. Il ne parlait que très peu, et commandaient toujours la même chose.
Ensuite, vint la deuxième catégorie. Ceux qui viennent quelques fois. J'attrape un verre de vin sur le comptoir et me dirige vers ce couple qui passent ici une fois par semaine. Une jeune elfe, reconnaissable par ses oreilles pointues, et son compagnon, un mage si mes déductions sont exactes. Cette fille fini toujours ivre, déballant tout ses problèmes familiaux à son petit ami qui la regarde avec un sourire gêné, puis elle s'endort sur la table et le garçon paye puis repart en la portant et en s'excusant pour son comportement. Ce genre de clients sont les plus sympathiques et facile à gérer.

- Votre vin, mademoiselle. Est-ce que le monsieur veut quelque chose ?
- Ca ira, merci.

Enfin, vînt les clients dont le visage m'est complètement inconnus. C'est souvent ceux qui sont les plus effrayants, car je ne connais pas leurs capacités. Et en parlant de ce genre de client, une fille sombre fit son apparition. Elle s'assit à une table vide, retira sa cape et laissa apparaître ses yeux écarlates peu joyeux. Je ne l'avais jamais vu ici. Je pris la carte du menu pour lui apporter, et me dirigeant vers elle je fis attention aux deux hommes encore plus ténébreux que la jeune inconnue. Elle en attrapa un avec vivacité :

- Maintenant vous allez arrêter de me suivre compris ?

Le deuxième homme tenta d'attraper la fille, lorsque je ne pu m'empêcher de le retenir. Après tout, comme je l'ai déjà dit, c'est aussi ça le travail d'une serveuse dans cette taverne. La force de l'étranger était sans doute plus intense que la mienne, mais l'effet de surprise que j'avais employé lors de mon "attaque" réussi à arrêter son coup.

- Excusez-moi, monsieur. Les bagarres ne sont autorisées qu'à partir de minuit. De plus, il faut commander avant de taper.

Mais qu'est-ce que j'étais en train de dire ? M'enfin, j'avais réussi à retenir son attaque, et j'étais plutôt fière de moi.

- Vous comprenez, si jamais vous deviez casser une table, nous avons besoin de l'argent de votre commande pour la réparer. Et qui vous a permis de casser en deux notre cliente ?

A y regarder de plus près, la cliente semblait beaucoup plus démoniaque que les deux hommes qui voulaient s'en prendre à elle.

- Si vous voulez régler vos compte avec elle, faites le dehors.

Les deux hommes étonnaient que cette serveuse leur parle ainsi, se consultèrent du regard. Ellena relâcha l'homme. Ils n'avaient pas l'air très fûtés. La démone espérait qu'ils partiraient sans demander leur reste et surtout qu'elle n'est pas à se battre. Car la jeune fille aux cheveux de jais savait que si une bagarre commençait plusieurs autres ivrognes se joindront à la bagarre jusqu'à ce que cela devienne un fouillis d'ivrogne se cognant les uns les autres sans raison concrète.

Ellena soupira de soulagement lorsqu'elle vit les deux hommes s'installaient un peu plus loin pour commander rapidement deux chopes de bierre. La démone réprima un sourire, ces hommes ne devaient même plus se souvenir pourquoi ils la poursuivaient.
Se retournant vers la serveuse, elle la détailla du regard. Des cheveux châtains coupés courts et des yeux de la même couleur marron. Elle n'avait pas l'air agressive mais son aura ressemblait beaucoup à celle d'un demi-dieu.

"Merci de m'avoir débarassée de ces hommes, je cherchais quelqu'un dans les ruelles et ils ont commencé à me suivre, j'avais peur que ça empire si je les attaqué."

C'est sur qu'elle n'était pas allée dans ces ruelles pour se promener, mais pour la bonne raison que son affilié avait disparu !
Le matin alors qu'elle se réveillait, elle avait appelé mentalement le cobra royal comme à son habitude mais il ne lui avait pas répondu. Pensant qu'il était parti chasser puisqu'elle avait dormi dans la forêt cette nuit, ezlle ne s'étaiit pas trop inquiétée mais vers le début d'après-midi, ne voyant toujours pas le reptile arriver, elle avait décidé le chercher. Il ne répondait pas à ses appels mentaux et cela l'inquiétait. Puis se rappelant que le cobra aimait bien les ruelles sombres pour une étrange raison. Et depuis ce temps elle le cherchait.

"Au fait tu n'aurais pas vu un cobra noir cela fait un moment que je le cherche..."

La démone grogna, où pouvait bien être son affilié ? Elle remercia tout de même la serveuse. Ellena tapota sur la table nerveuse cherchant en vain dans sa mémoire, un endroit où aurait pu aller son cobra. Mais rien ne lui vint. Le reptile aimait les endroits calmes et paisibles sans agitation autour de lui ni bruit. Comme la forêt ou les ruelles sombres en fait...
Mais ce qui inquiétait le plus la démone c'est qu'il ne répondait pas à ses appels télépathiques. La jeune fille tenta une ultime fois en vain. Ce maudit serpent devait pourtant se trouver quelque part bon sang ! Regardant ensuite la serveuse elle lui décocha un faible sourire puis déclara :

"Excusez mon impolitesse je ne me suis pas présentée, je m'appelle Ellena Caldin et vous ?"

Autant connaître un peu cette serveuse qui l'avait aidé mais toutes ses pensées étaient tournées vers son affilié. Et une seule question : Où était il ?
Puis, une voix familière retentit dans son esprit, celle de son affilié. Se retenant de ne pas sauter sur sa chaise pour ne pas attirer les regards sur elle, elle appela son affilié.

*Edan ! Où es-tu stupide serpent ? Je te cherche depuis ce matin !*

*Je suis bloqué dans les ruelles figure-toi ! Ce matin j'étais parti en forêt quand je me suis fais poursuivre par un faucon ! Un faucon en forêt ! Après j'ai décidé d'aller dans les ruelles mais on m'a jeté un objet lourd dessus, je me suis évanouis et maintenant je suis bloqué voilà pour quoi je ne t'ai pas répondu !*

Inquiète, la démone se leva pour partir quand les deux hommes qui la suivaient depuis tout à l'heure l'apostrophèrent à nouveau. Ellena se retourna pour les regarder alors qu'un d'entre eux aller parler de son haleine fétide en dévoilant les chicots qui lui servait de deux elle lui donna un violant coup de poing agacé. en déclaran d'une voix froide : "Je n'ai pas le temps."
L'autre homme lui posa la main sur l'épaule que la démone glaça avec sa magie.
La démone se disait que ça allait terminer en bagarre cette histoire...

La démone jeta un regard dédaigneux à l'homme à terre alors qu'un attroupement se formait autour d'elle. Des hommes, la plupart ivre, réclamant de participer au combat. Ellena les ignora en faisant claquer sa cape prête à partir lorsque l'homme à terre lui attrapa la cheville essayant de la faire tomber. Elle réussit à lui faire lâcher prise en lui donnant un bon coup de talon alors que son affilié continuait de l'appeler dans son esprit.
Sa cheville rougie par la main de l'ivrogne, elle ouvrit la porte alors qu'un homme l'attrapait par l'épaule voulant absolument que le combat continue. Ellena le dévisagea de la tête au pied et reconnut son aura, celle d'un démon. Lui balançant à lui aussi, son poing dans le ventre en silence elle soupira en entendant les quelques murmurres excitées de la foule qui l'entouraitattendant la suite.
Soudain incertaine, une idée vint à l'sprit de la démone. Plaçant ses mains devant elle, ses yeux rubis s'allumèrent d'un éclat blanc alors que plusieurs hommes commençaient à s'énerver contre leurs voisins, croyant que ceux-ci les avait insulté. Bientôt, une bagarre éclata entre les clients de la taverne se cognant dur et fort et en lançant les bouteilles vides sur les uns et sur les autres. La magie de la démone pouvait être très utile.
Esquivant les hommes qui s'affrontaient, elle l'aperçut la serveuse avec qui elle avait discuté quelques minutes au milieu des affrontements. Evitant d'autres coups elle se dirigea vers elle et lui attrapa la main.

"Ma magie cessera de faire effet dans quelques instants, on ferait mieux de filer avant que ces hommes ne comprennent qu'ils se sont fait berner."

N'attendant pas de réponse, la démone marcha vers l'entrée et poussa les portes en soupirant. Le plus dur était passé. Ne restait plus qu'à retrouver son affilié qui continuait de l'appeler dans son esprit. Ellena lâcha la serveuse et commença à avancer, conversant avec son serpent pour essayer de le retrouver.
Les mêmes hommes qu'à l'allée la regardèrent passer la main sur leurs immenses couteaux ou autre mais la démone ne leur prêtait guère attention, absorber par ses pensées. Ce qui faillit lui être fatal alors qu'un immense poing s'abattit sur le haut de son crône l'étourdissant alors qu'elle chancelait. Un homme devant elle brandit un couteau tâché de sang mais il fut stoppé par une silfouette plus fine qu'à moitié sonnée, Ellena n'avait pas reconnu.

Comme je le présentais, le combat ne faisait que commencer dans la taverne. Tandis qu'un des hommes attrapait la cheville de Ellena, un second lui sauta dessus, puis un troisième vint mettre son poing dans la figure du second, et cette réaction en chaine continua encore et encore. Posant mon plateau sur le bord du bar, jetant un regard désespéré à mon patron, j'entendis la porte se refermée. Plusieurs individus en avaient profité pour fuir sans payer leur commande, tandis que d'autres continuaient le carnage. Bientôt, ce fût un vrai enfer sur mon lieu de travail. Les tables tombaient, les verres se fracassaient, les clients chahutaient follement.

Je soupirais en observant le spectacle et en me demandant combien de temps j'allais passé à nettoyer tout ce cirque. Tout d'un coup, une main m'attrapa et je cru d'abord que c'était un geste d'homme ivre, lorsque je reconnu la demoiselle avec qui j'avais parlé un peu avant.

- Ma magie cessera de faire effet dans quelques instants, on ferait mieux de filer avant que ces hommes ne comprennent qu'ils se sont fait berner.

J'enjambais les corps ensanglantés mais vivant des faiseurs de troubles et tentais tant bien que mal de me frayer un chemin jusqu'à l'entrée. Entraîné enfin vers l'extérieur, je senti à cet instant un bras musclé d'homme me tenir fermement le mollet. Je savais que le client était roi, mais je suppose que cette façon de penser ne s'applique pas dans cette situation...
C'est ainsi que j'eus donné un coup ferme dans le nez de mon ravisseur, qui, complètement saoule, ne tarda pas à lâcher sa prise afin de marmonner des insultes incompréhensible en se tenant le visage.

L'extérieur laissait apparaître un ciel désormais quasi-bleu-nuit, et quelques étoiles au dessus de ma tête étaient pleinement visibles grâce au fait que je me trouvais dans une rue très sombre, où les seules lumières étaient celles des maisons, et encore leur intensité n'étaient pas des plus hautes.
Je marchais sans trop savoir où, jusqu'à ce que la demoiselle aux yeux écarlates lâches ma main. Elle semblait perdue dans son esprit, je ne savais pas trop ce qu'elle faisait. Peut-être que comme avant, elle s'apprêtait à lancer un sort glacial. Je la suivais sans trop savoir pourquoi. Je voulais sans doute la remercier comme il se devait, puis lui dire qu'il fallait que je rentre, mais une ombre se glissant derrière elle m'en empêcha. Je reconnu malgré l'obscurité, ses poursuivants de plus tôt. J'en avais marre ! Je ne pouvais pas placer un mot sans être dérangée, et en plus, cette journée de boulot avait été vraiment pourrie ! D'un geste d'énervement plutôt que d'un geste défensif envers Ellena, je pris une planche traînant dans un coin de rue (ce qui était probable, vu le pitoyable état des lotissements ici, c'était sûrement une planche tombée d'un volet ou d'une porte), et par colère et défoulement, j'assomme le premier individu qui venait de taper Ellena d'un petit coup, puis je m'approche derrière le second qui brandissait une arme tranchante devant Mademoiselle Caldin. Là, s'en était trop ! Le premier avait mis ma cliente dans un état confus, et le second voulait la tuer ? ET MOI DANS TOUT CA ? QUAND EST-CE QUE JE POURRAIS LA REMERCIER, SI VOUS LA TUER ?
En colère, j'avais frappé violemment et d'un coup sec l'arrière du crâne de l'homme au couteau, avec ma planche. Il s'étala devant nos pieds, puis ma respiration qui était plus rapide à cause de la frustration ne se calma qu'après une minute.

- Hé ! NON MAIS ÇA SUFFIT LA ! JE RÈGLE MES AFFAIRES AVEC LA DEMOISELLE, APRÈS VOUS LA TOUCHERAI. BANDES D'INSOLENTS MAL ÉLEVÉS PUANTS. ET QUAND ON APPARAIT DEVANT UNE JOLIE FILLE COMME ELLE, ON SE TIENT AVEC UN PEU PLUS DE GRÂCE, TEL UN GENTLEMAN !

Les gens comme ça, ça me mets en pétard ! Aucun savoir vivre !

[Désolé du temps d'attente]

La serveuse frappa violemment l'homme avec une planche le faisant s'afaisser au sol, sonné. C'est alors qu'elle commença un mini-discours enragé décrétant qu'elle devait d'abord parler à la démone avant que ces hommes ne la touche.
Ellena sourit et partit dans un fou rire incontrôlable. Elle se tint le ventre tout en continuant de rire, amusé par les paroles de la jeune fille.
Au bout de quelques minutes, Ellena finit par se calmer. Elle se releva toujours en souriant et remercia la serveuse en gloussant. La voix de son affilié résonna à nouveau dans sa tête, il semblait s'impatiente, et il avait de quoi.
Reprenant son sérieux, elle épousseta ses vêtements et regarda Eirika.

"Je te remercie encore mais je dois partir. Mon affilié est bloqué quelque part dans les ruelles il faut que je le retrouve." dit la démone.

Ellena se retourna, faisant dos à la jeune fille et commença à avancer. D'après le cobra il se trouvait dans une ruelle très étroite sous un tas d'ordure coincé. Il y aurait deux portes face à face à la peinture écaillée et il entendait les miaulements pitoyables cherchant vainement de la nourriture...
Cela n'aidait pas beaucoup la jeune fille, toutes ces ruelles ce ressemblaient ! Elle finit par arrêter de marcher puis tourna la tête vers Eirika. Elle poussa un long soupir, elle ne trouverait pas son affilié seule.

"Cela te dérangerait de m'aider à chercher s'il te plaît ?"

Elle n'était pas sure que la fille accepte mais comme dit le proverbe qui ne tente rien n'a rien. Son inquiétude grandissait de minutes en minutes elle avait peur pour son affilié. Et cela éait visible par ses sourcils froncés et son regard perdu dans le vague, perdue dans ses pensées.