Une tisane ne te ferai pas de mal

Je sentais le vent chatouiller mon nez. J'avais une pensée pour ce qui s'était passé la dernière fois avec mon amoureux. Mon cœur se serrait. Je me promettais d'aller le voir encore plus souvent, il aurait besoin de moi. Ce n'était pas rien d'affronter la mort d'un proche, j'en avais été la victime quand j'étais qu'un loup. Je savais que je devais ma vie à cet homme qui m'avait sauvé. J'ignorais toujours qui il était, je savais juste que je lui devait beaucoup. Je me souvenais que vaguement de ce qu'il était. Je me dirigeais vers la plaine, je pouvais voir au loin un chapiteau, cela devait être le cirque dont mes clients parlaient avec tant de ferveur. Je restais éloigné de lui, je pouvais déjà sentir quelques odeur de fauves. Je haussais les épaules, J'étais venu ici pour cueillir des fleurs sauvage. Elles me seront utile pour faire des tisanes. Je savais qu'il en aurait besoin à un moment ou un autre. Je regardais le ciel, rien n'avait présager ce qui était arriver, rien n'était prévu à ce jour. Mon restaurant était fermé pour la journée. J'avais tout fait pour que ça s'arrange. Je ne pouvais pas m'empêcher de m'inquiéter un peu pour m moitié. Je lâchais un soupir,tout irait bien. Je n'avais pas à m’inquiéter. Je secouais la tête. J'avais cueilli la mauvaise fleur. Je la posais délicatement sur l'herbe en espérant que les gaines dans ses pistils serait prête. Je m'asseyais et pris une herbe épaisse. Je commençais à faire siffler cette dernière comme ma mère m'avait appris. La mélodie n'avait ni début ni fin. Je me contentais de faire des reprises disney avec cette dernière. Je savais que c'était un peu inutile de le faire maintenant. Mais je continuais mon medley improvisé. Je m'arrêtais quand je sentais une odeur, un homme qui avait une part de vampire. Je serrai un peu le poing. Ce n'était pas celui que j'attendais, mais qu'importe. Je retrouverai mon aimé plus tard. Je regardais autour de moi, aucun signe de la sangsue. Je soulevais un sourcil. Mah, si il voulait me parler, qu'il le fasse. Bien entendu, je lui parlerai gentillement. Car je n'avais rien contre les vampires. Deux hommes important à ma vie étaient de cette race. Je roulais des yeux. Avant de voir cet homme imposant. Depuis quand il était là ? Je ne l'avais pas vu arriver. J'effaçais pas ma présence, il devait m'avoir vu. Je ressemblais les fleurs t regardait celles qui me seront les plus utile. Je les rangeais un peu.

« Je pense que tu en as sûrement assez de me voir jouer avec les fleur, le vampire. Au vu ton odeur tu 'est pas pur d'ailleurs. J'aimerai savoir ce que tu me veux, je ferai tout ce que je peux pour t'aider. J'espère à ne pas avoir à te craindre. »

J'avais mon katana de toute façon, si il voulait se battre, je me défendrai, simplement. Je n'attaquerai pas le premier. Jamais. Aussi longtemps que je vivais.

Je le regardais, il semblait vraiment le genre d'homme qui me laisserait pas tranquille. Mah, on pouvait encore s'arranger. On était deux adultes, pas besoin de créer des conflits à cause d'une haine qui existe depuis des millénaires. J'en avais rien à faire de tout ça. Il maîtrisait le feu. Je n'avais pas peur du feu, j'avais plus peur de son inverse. Je haussais les épaules, j'étais prêt à éviter ses attaques. Je n'avais pas particulièrement envie de me battre. J'avais d'autres choses à faire que me chamailler avec un homme qui semblait plus âgé que moi. On pouvait dire que c'était un vrai mâle. Je riais un peu en évitant ses flammes. Il avait dit d'éviter de le nommer vampire. Mah, je ne connaissais pas son prénom, pour moi, c'était juste un vampire mêlé. Donc, je le nommerai monsieur, si ce qu'il voulait tant. Peut-être avait-il honte de sa race. Voilà qui expliquerai pas mal de choses. Son teint qui semblait prompt à faire un scandale. Je prenais mon Katana. Près à le dégainé si besoin s'en fait sentir. Je garde mon sourire, par contre, je pouvais dire à adieu à une partie de mes fleur pour ma tisane. J'étais bon pour en reprendre. Mah, comme ça je pourrai rester un peu à ses côtés et voir ce qu'il me voulait clairement. Je ne pouvais pas être sûr.

« D'accord, das ce cas, ça sera Monsieur. Je vais devoir refaire mon approvisionnement en camomille et en sauge. Tu devrais faire attention à la nature, je ne voudrai pas Déméter se fâche contre toi. La colère divine ne doit pas être quelque chose à vivre. »

Je gardais mon sourire, car tout de même. Je savais que trouverai le nécessaire, mais ma mère m'avait dit de pas épuiser les ressources comme tout les humains. Avec mon estomac, cette idée était progressivement éliminé de ma mémoire. Car c'était connu, j'avais les yeux plus gros que le ventre. Je passait en revue ce que je pourrai faire pour calmer cette colère que je pouvais sentir. Rien n'échappait à mon flair. C'était aussi simple que ça. Je gardais ma main sur la garde de mon arme. Je devais être paré à toute éventualité. Celle de me faire tuer par lui était purement et simplement rejetée. Je ne voulais pas mourir maintenant, pas en ce moment. Je me savais pas éternel, mais j'avais un bon instinct. Je savais que son coup serait que le premier d'une série d'attaque. Je le regardais, j'avais toujours rien contre lui. Il laissais trop parler son instinct de vampire. Il y avait pire comme moment. Je gardais en tête l'endroit où j'avais laissé mes plantes. Je savais qu'en les regardant de trop, il les brûlerait, et ainsi, il me privait d'un moment de détendre cet homme et celui hante mes pensées depuis un moment. Je sais qu'un moment de déconcentration me fera perdre la vie.

« M'attaquer t'avancera en rien dans ta quête. La colère est un sentiment qui s'estompe avec le temps. »

J'avais bien le temps après ça de refaire mes cueillettes. Je préférai avoir la paix avec les divinités, la rencontre avec l'une d'entre elles me restait en tête. Je grattais mon cou avec un vague sourire. Je savais que cet homme pourrait m'attaquer encore. Je tenais d'une main ma fidèle lame. Heureusement que je l'avais, ces flammes pouvait faire plus de mal que mon katana. C'est avec cette idée que je gardais mes distances avec lui. Plus je serai proche, plus les chances de me faire brûler vif augmentait, je n'aurai pas de Quasimodo qui me sauverai moi. Il disait que je connaissais pas la colère, ce n'était totalement vrai. Je protégeait les membre de ma meute de cœur, au péril même de ma vie. Le sentiment de colère ne m'était pas inconnu, juste que je préférai voir la vie du bon côté. C'était bien plus beau et puis je n'avais pas besoin de m'en faire. Je l'entendais lâcher sa remarque sur sa supériorité. Je riais u peu. Je ne savais pas si je devais le faire ou non, alors je suivais mon flair de loup qui me disait de pas ployer sous la gouverne d'un vampire. Je savais que répondre un truc au hasard pourrait me porter préjudice. Mais je devais dire ce que je pensais, car comme Logan m'avait montrer parler sans filtre avait parfois du bon.

« Si je me baisse, c'est pour refaire mes réserves de plantes médicinales. Détendez-vous, je ne vous ferai aucun mal. Je n'attaque jamais le premier. Monsieur, je pense qu'une tisane vous ferai du bien. Je peux en faire une. Bien que j'ai n'ai pas de récipient à l'heure actuelle. »

Je riais un peu avant de me baisser pour récupérer une fleur que j'avais loupé. Je souriais en la faisant tourner entre mes doigts. J'avais l'air bien féminin, mah je m'en fichais. J'étais un homme et cuisinier, je pouvais cueillir des plantes comestibles. Toutes nouvelles choses serait quelque choses à tester dans mes plats. La cuisine était quelque chose d'inventif. Je le découvrais bien malgré moi. Au moins je m'ennuyais pas. Je me relevait en le regardant, il ne faisait pas plus peur que ça. Je gardais de lui une bonne image. Bien qu'il avait failli me brûler le corps. Les cicatrices, je ne pense pas ça agréable au regard de mon amoureux. Et lui poser la question lui donnerai sûrement envie d'en découdre avec mon agresseur. Cet homme n'en avait pas fini avec moi, je le sentais.

« Ce n'est pas en m'aboyant dessus comme un chien enragé que tu obtiendra ce que tu désire de moi, je me plie à certaines choses sans me préoccuper du reste, je fais confiance à mon instinct pour peser le pour et le contre. Du calme, tu n'as pas besoin de t'énerver. »

Je faisais un geste qui se voulait apaisant, je ne savais pas comment il le prendrait, il ne me restait plus qu'attendre. Je me tenais prêt à tout et à rien. J'avais toujours l'espoir qu'on pourrait s'entendre.

Je ne savais pas ce qu'il pensait, de toute façon ce n'était mes affaires. J'avais autre chose à penser que me préoccuper de ce que cet homme me reprochait, je pouvais lire ça dans son visage. Si sévère, à force de froncer les sourcils comme ça, il finirait par avoir des rides énomes sur le front, bien que ça peut être cool. Ahaha. Il semblait paré à l'attaque, sans le faire. Il avait sûrement pitié de ce que je suis. Je ne me battais jamais en vain. Je n'avais pas envie de faire étalage de ma force, c'était totalement inutile pour moi. Je préférai de loin cuisiner ou regarder un Disney. Il semblait ne pas apprécié ma façon d'être. Je haussais les épaules. Je m'en fichais, je n'aimais simplement pas les conflits. De dire que je suis incapable de me battre, c'est faux. Il s'approchait, un peu trop,je reculais, car je ne voulais pas engager un conflit inutile. Il crachait ses mots comme quoi je tuerai mes proches avec mon attitude si passive. N'étais-ce pas l'inverse ? Je ne savais pas.

« Je défends ma meute avec ma force, mais je n'engages pas le combat, vois-tu on ne touche pas aux personnes auquel je tiens. Je ne t'attaque pas, car malgré ton ton et tes intentions, tu n'as encore rien fait. Si tu veux que je sorte mon arme, soit. »

Je dégainais mon katana avec un sourire. Je savais que si combat il y avait, j'avais un gros désavantage. Je pouvais compter sur mon instinct pour savoir ou frapper du revers de ma lame. Je ne voulais en aucun cas le blesser. Mon but était avant tout d'éviter ma mort, celle aussi de ceux que j'aimais. Je ne voulais plus sentir cette odeur de mort. C'était une odeur tellement horrible. Bien que naturelle. Les gens mort ne sentait pas bon, même s'il avait une part animale en eux. Je l'avais appris à mes dépens. Mon cœur se serrait au souvenir de ce qui s'était passé, j'aurai besoin de cette tisane, moi aussi. Je pense que ça be fait plus aucun doute. Je serrai mon arme, sentant son manche sous mes paumes. Je pouvais bien entendu me servir qu'une seule main pour me battre mais ma grade était à deux mains. Je laissais le vent éparpiller ma cueillette. Ce que j'avais fiat était envolé. Je savais que mes plantes servirait à d'autres créature, il me resterai qu'à voir un apothicaire à Chloris. Voilà une bonne idée. Je souriais, la ville n'était pas si loin du dojo que ça. Je me tenais prêt.

« Monsieur semble m'en vouloir, n'écoute pas que ton sang, toi qui n'aime pas un buveur de sang, tu agis comme tel en ma présence. Ce n'est pas en me menant aux portes de la mort que tu aura la paix de ton âme. Ce n'est pas moi, ni toi le problème, il vient de ce que tu ressens. T'en prendre à ma meute est pas une chose à faire. »

Je pouvais être féroce, une vraie machine. Mais je préférait passer mon temps à sourire et aimer les gens qu'importe ce qu'ils sont. Plus particulièrement ma moitié.

Je pouvais bien entendu être plus actif, sauf que ce n'était la meilleure idée à avoir pour que cet homme soit plus relax. J'avais beau me défendre et dire des choses assez calme, l s'emportait comme si mes paroles n'était rien face à sa colère. Ce sentiment était vraiment très fort dans ce vampire, je me demandais comment ça se faisait, bien que les épreuves de la vie peuvent changer un homme. J'ai toujours suivi la voix directrice que m'avait donné ma mère. Je gardais mon sourire et ça m'avait aidé, plus que de foncer dans le tas comme un gros bourrin, ce que semblait être cet homme. Il disait que vivre en paix était un raisonnement de faible. Je riais un peu, car il avait un peu tort.

« Mon cher, sachez que votre cors à ses limites, ne les poussez pas à bout au risque de voir votre corps s'étaler sur le sol. »

Je pouvais parier qu'il n'avait pas écouter, car il s'en allait déjà en espérant que mon âme partent e paix et qu'il serait moins clément la prochaine fois. Comme si ce genre de choses me faisait peur. Je le regardais en voyant bien que le feu n'était le temps idéal, j'en venais à espérer la pluie. Alors que j'avais peur de l'eau. Ce mauvais moment serait bien utile, je savais qu'il arriverai. Ma peur me faisait courir me mettre à l'abri sous un arbre qui un peu abîmer par le feu laissait tomber une branche que je découpait d'un seul mouvement de main. Toujours ma bonne humeur sur mon visage. Je n'espérais pas sa clémence, je ne l'avais pas demandé, je n'étais pas fait pour m'entendre avec tout le monde. C'était ainsi. Je ne pouvais rien faire contre cet état de fait. Ce n'était si dramatique, car je pouvais vivre sans qu'il me cours après pour avoir un pseudo-combat. Cet homme avait voulu me faire réagir pour une raison qui m'était pour le moment bien inconnue. Il ne suffisait plus d'être vivant, ni de montrer ma valeur à un vampire. Je n'étais pas face à un dieu. J'aurai obéis à Arès sans aucun soucis, c'était lui, le fieu guerroyant, vivant de sang et de massacre. Les meurtres que je faisais, c'était ceux de mes chasses en solitaire ou non dans la forêt. Bien que j'ai chasser en duo qu'une fois. Dans ma tête, ça comptais.

« M'attaquer était un choix fort peu judicieux pour me faire réagir. Mah, c'est ça façon d'agir au monsieur, j'espère qu'il n'as rien contre les cuisiniers et qu'il mange à la barbare. Oh, par Zeus, que c'est cliché. »

Je me penchais pour prendre des plantes, remarquant qu'il en avait calciner une bonne quantité. Je devrai faire un tour à l'herboristerie, c'est tout. Donc avec ce but. Je ramassait ce qui était possible avant de me mettre en route pour chez moi. Une préparation m'attendait, mais, je n'avais pas peur. La seule chose que je craignais était loin et proche. Je n'y pensait pas, simplement et vivais sans m'en préoccuper.