Re: time together is just never quite enough. | Dim 19 Oct 2014, 22:22
time together is juste never quite enough.
f e a t ; arès ♥
A
phrodite ne marchait que trop bien dans petits jeux d'Arès – c'est certainement pour cette raison qu'il s'abandonnait encore à ce genre de pratique, ne s'en lassant point. Elle démarrait toujours au quart de tour n'ayant même pas le réflexe d’interroger la véracité de ses propos... Alors que, depuis tout ce temps, notre déesse aurait très bien pu mettre en place des stratégies pour se défendre, car elle savait que sa jalousie était plus que partagée. Elle savait qu'il ne cherchait à faire cela que pour l'embêter, la faire enrager, attendre, languir. Arès pouvait s’enflammer en deux secondes lorsque Aphrodite tentait de le faire enrager, ce qui empêchait la déesse d'utiliser cette technique trop souvent. Elle était persuadée qu'il pourrait tué pour un unique regard déplacé sur les formes de son amante – peut-être l'avait-il déjà fait ? Arès était tellement jaloux et possessif... Si il pouvait marqué Aphrodite d'une quelconque façons de son nom, la déesse était persuadée qu'il le ferait sans hésitation. Il se plaisait à dire qu'elle lui appartenait... Et elle en faisait de même. Aphrodite avait tout de même réussi à conquérir le dieu le plus fort de tout l'Olympe, le dieu le plus violent et les plus tempétueux. Elle ne pouvait qu'être fière d'être une des seules personnes – pour ne pas dire la seule personne – à connaître Arès sous de beaux jours – attention, on parle d'Arès hum... Elle pouvait donner l’impression de subir les passions de son bien aimé, mais c'était une simple impression. Elle appréciait cette jalousie sans nom, le voir se mettre en colère dès que certains sujets sensibles apparaissaient, le voir s’inquiéter de sa fidélité. C'était à travers de ces excès qu'Aphrodite arrivait à lire dans ses pensées – même si il n'avouait pas souvent qu'elle avait raison. C'est donc tout naturellement qu'Arès pouvait aisément lire dans les pensées d'Aphrodite lorsqu'elle lui faisait elle aussi la vie, bien qu'elle ne cherchait pas toujours le conflit. Ce soir, elle ne l'avait pas cherché, même si elle aurait bien aimé quelques réponses plus précises sur le sujet. Elle se rassurait en se disant qu'Arès n'était peut être pas assez stupide pour lui avouer à haute voix qu'il l'avais trompé dernièrement, pas dans un moment comme celui-ci. C'était sûrement un simple jeu. Jeu dans lequel notre déesse avait sauté à pieds joins : elle l'avait embrasser fougueusement, comme pour lui rappeler qu'il lui appartenait et qu'il n'avait le droit d'aller voir ailleurs. Aphrodite était consciente que ce n'était pas vraiment à elle de dire ce genre de choses... C'était assez ridicule de sa part de lui montrer cela alors qu'elle était la seule dans leur couple a empêcher une véritable union... Mais elle en ressentait le besoin urgent, un besoin de l'embrasser.
Mais, puisque leur jeu était fait ainsi, « perdre » n'était pas vraiment le terme adapté. Elle s'était faite avoir, certes, mais pour « une bonne cause ». Il avait daigné à retirer sa chemise, la laissant supposé que c'était un genre de récompense pour avoir aussi bien marché dans la combine. Arès demandait de l'attention tellement fortement et malhonnêtement que s'en devenait enivrant. Il était le seul à demander l'attention de cette déesse avec ces manières. A ne pas lui céder tout de suite. Et cela rendait folle Aphrodite. Elle en perdait la raison et tentait tant bien que mal de contrôler ses sentiments et ses émotions qui faisaient feu en elle. Tiraillée entre succomber facilement à ses désir ou se retenir, elle décida d'abord de porter sa vue sur le corps de son roi. Elle laissa un ongle parcourir toute cette peau fraîchement exposée, profitant de son égarement pour se permettre d'atteindre la limite de son pantalon. Elle sentait son corps se détaché de sa raison, elle avait envie de se laisser aller... Surtout que les petites mains se promenant sur son propre corps ne laissaient pas Aphrodite indifférente. Mais son cher Arès l'en empêcha en posant sa petite main baladeuse sur sa taille, comme pour l’interdit d'aller plus loin. La question de son amant lui fit relever la tête et croiser son regard provocateur. Se sentant défiée, elle avait resserrer ses doigts autour de la taille d'Arès alors qu'il continuait dans sa lancée.
Puis, deux coups se firent entendre. On frappait à la porte. Aphrodite n'eut le temps de rien faire, absolument rien penser qu'elle sentait les bras d'Arès la propulser sur le côté d'une force phénoménale. Comme vous l'avez certainement compris, la force n'était pas vraiment dans les qualités d'Aphrodite... Elle fut donc dans l'incapacité totale de s'opposer à ce qu'il se passait. C'est donc ainsi qu'elle roula sur le lit pour finir les fesses par terre. Aphrodite resta immobile. La chute n'avait pas été très violente, mais les fesses de la déesse lui faisaient assez mal. Le sol en verre de sa pièce favorite n'était pas vraiment aussi confortable que les cuisses d'Arès ou même simplement le lit. Elle était choquée. Elle n'avait absolument pas percuter la raison de ce soudain changement de contexte. Elle n'avait même pas tourné la tête alors qu’Arès s'était excitée contre Henri. Il allait falloir qu'elle l'adopte comme nouveau protéger... Histoire qu'Arès n'en fasse pas de la chaire à pâté. Se relevant à l'aide du lit, Aphrodite resta muette en observant la scène qui se déroulait sous ses yeux : un Arès torse nu qui courait derrière ce pauvre petit domestique qui pensait bien faire. On retrouvait là un Arès.... fidèle à son rôle. S'allongeant sur le ventre – en évitant tout contact entre de la matière et son petit derrière pour l'instant – Aphrodite observait ces deux protagonistes d'un air amusé. Elle avait glissé une de ses main sous son menton et s'était contenté d'observer. Elle avait évidement aperçu les petits cocktails qu'on leur avait apporté. Elle ne pu s'empêcher de soupirer lorsqu'elle le vit lancer son épée sur le porte, cette dernière restant plantée dans le bois... Et dire qu'elle venait de refaire cette pièce... Elle laissa sa tête tomber dans les couvertures, montrant évidement tout son découragement : jamais Arès ne ferait attention à tout cela... A quoi bon faire bien les choses ? Elle allait finir par leur consacrer une chambre rien qu'à eux où rien ne serait fragiles, où il pourrait absolument tout détruire sans que cela ne gêne notre déesse. Elle releva la tête lorsqu'il posa le plateau sur le lit. Des cocktails à la fraise. Aphrodite en bavait d'avance, sachant que ce n'était absolument pas au goût de son cher et tendre qui ne se fit pas prier pour pousser une petite gueulante. Aphrodite ne pu s'empêcher de répondre, légèrement contrariée :
« Oui, oui, je sais bien. Un petit nouveau, laisse lui sa chance. » Elle hocha la tête lorsqu'il lui demanda si elle avait soif et attrapa un verre dans la foulée : « On peut demander autre chose si tu le souhaites, pour ma part je me contenterai de ces petites choses....Tu n'as qu'a ordonner, tu es chez toi ici, après tout. »
Aphrodite n'était pas d'humeur à s'énerver, à peine remise de toutes ses émotions. Mais il fallait avouer que cette interruption avait un peu gâcher leurs retrouvailles... Mais ce n'était encore rien à côté des films qu'Arès se faisait. Franchement, il aurait pu devenir scénariste. Aphrodite était persuadée qu'il aurait pu excellé dans les histoires d'amour passionnelle, remplissant ses films d'une jalousie sans nom. Alors de nouveau assise, elle prit une première gorgée qu'elle n'eut même pas le temps d'avaler. En effet, elle s'étouffa alors qu'Arès lui demanda si elle était enceinte... ET PUIS QUOI ENCORE ? Aphrodite le regarda perplexe, il devait plaisanter, n'est-ce pas ? Son regard interrogateur se glissa dans les yeux d'Arès. Oh non... Il ne manquait plus que cela. Il était totalement sérieux. Aphrodite n'eut même pas le temps de répondre ou de lui rire au nez tant cette réplique était absurde qu'il enchaîna. Il lui en fallait peu, il s'emballait tellement rapidement que s'en était désespérant. Il était déjà en train de lui demander de ne pas garder l'enfant... de se demander si il était le père... Même de prendre des décisions à ce sujet. Il s'était même rapproché d'elle à nouveau, passant sa main sur le corps de la déesse. Que cherchait-il à faire ? Tout ce qu'il faisait était de provoquer des vagues de frissons chez Aphrodite qui ne savait même plus comme répondre à tout cela. Tout cela à cause d'un verre contenant un cocktail à la fraise... Mais où allait-on ?!
A sa dernière demande, Aphrodite reposa son verre sur le plateau, se remettant de sa série de toussotement. Elle croisa ensuite le regard d'Arès. Il était tellement sérieux qu'elle ne pu s'empêcher de le regarder avec la même intensité, lâchant :
« Tu es bien violent, tu sais bien que ce n'est pas recommandé, déjà que je me suis cassée la figure à cause de toi et que mes fesses en subissent les conséquence, tu ne voudrais pas lui faire du mal à lui aussi ? »
Lui ? Le bébé évidement. Bébé qu'elle n'avait pas et qu'elle ne voulait avoir. Elle n'était pas la vierge Marie, elle ne tombait pas enceinte comme cela ! Et vu l'absence de son partenaire adoré ces derniers temps, il allait être un peu difficile de tomber enceinte toute seule... Aphrodite savait qu'elle venait de faire une horrible blague, qu'Arès n'allait certainement pas en rire, alors elle le défia du regard :
« Arès, tu es sérieux ? Tu crois vraiment qu'un verre à la fraise implique tout cela ? Je pense que je devrais m’inquiéter si j'étais enceinte... Cela voudrait dire que j'arriverai à mettre au monde sans l'aide de personne ! Or je pense que je n'ai pas ce dont, j'ai encore besoin de ton aide pour cela. »
Aphrodite ne savait pas quoi faire. Elle trouvait la situation assez cocasse et ne se retient pas de la faire savoir en affichant un petit sourire. Elle passa ses mains sur celles d'Arès, toujours attachées à elle, et finit par ajouter :
« Mais où trouves-tu toutes ces idées ? » Elle posa une main sur sa joue « C'est le fait d'être surpris et interrompu en pleine action qui te met dans ces états ? » elle rigola avant de le prendre dans ses bras. « Allez, arrête donc de t’inquiéter inutilement. Tu le sais bien, que je t'aime plus que n'importe qui, non ? »
Elle n'avait pas envie qu'il se mette de telles idées en tête. Arès était, est et restera à jamais celui qui déteint son cœur. A jamais. Et malgré quelques écarts de conduite, elle tenait fermement a avoir un jour une bague autour du doigt symbolisant leur union. Aphrodite se battait pour cela, et se battrait toujours : elle n'était pas du genre à lâcher l'affaire facilement.
Invité Invité
Re: time together is just never quite enough. | Dim 26 Oct 2014, 01:37
Avait-il jamais été délicat ? Si bien sûr, mais il y avait là des circonstances atténuantes. Il n'avait absolument pas anticipé tout ce qui suivit, c'était ce que l'on pouvait appeler : les joies de la vie dans ce qu'elle avait de plus surprenant et d'enrichissant (enfin n'allons pas jusqu'à là). Quand il l'avait stoppé dans son élan, il avait remis ses mains sur sa taille parce qu'il voulait initier ce qui allait suivre. C'était un peu comme son honneur de guerrier de vouloir toujours initier toute initiative. Il voulait encore sentir sous ses doigts la courbure de ses formes, de son dos, glisser sa tête au creux de ses épaules. IL fallait toujours que l'on vienne le déranger à croire que les gens s'en faisaient un malin plaisir, ou peut-être s'ennuyaient-ils dans leur vie ? Dès qu'il entendit que l'on approchait, ce fut comme un réflexe. Ses bras repoussèrent la personne si chère à ses yeux qu'ils gardaient comme si Aphrodite ne s'était jamais retrouvée dans ses bras, comme si rien ne s'était passé entre eux ou ne serait passé d'ailleurs. Il aurait d'ailleurs pris ce regard innocent qui lui allait si mal contrairement à sa belle. Les doigts avaient eu beau serrer cette taille qu'il lui avait proposée, ils ne purent la retenir. Même s'il n'avait pas mis toute sa force, cela suffit à la propulser le long du lit, puis en dehors. Aveuglé par sa colère, il ne s'en rendit compte qu'assez tard comme il voulait faire la peau à cet Henri. Il aurait succombé à tout, mais non il avait tout cassé avec ses cocktails. Il n'était même pas assoiffé, alors à quoi bon hein ? Sur le coup, il avait eu juste envie de l’exploser. Arès n'avait même pas fait le lien de la salle refaite, non ça l'avait dépassé. Quand il vit Aphrodite allongée de cette façon, quand il se retrouva à nouveau près d'elle, il ne put s'empêcher de lui dire :
" Ben alors t'as bougé ?", en lui infligeant une claque plus taquine qu'agressive sur son fessier douloureux. "Oui, mais ils apprennent trop lentement, je vais les former, moi tu vas voir." Arès s'apprêtait à lui masser le dos tout en la charriant sur cette chute peu élégante, il lui dit même avant de s'imaginer toute une série de choses :
" Tu tombes d'un lit toi, tu es douée", rit-il avant de déchanter par la suite. Arès s'imaginait encore avec un môme à s'occuper. Dans les premiers temps avec Eros, il avait été présent. Passant sa main sous le ventre de la déesse, il cherchait une preuve ou quelque chose.
" Violent moi ! Mais tu l'as vu, il respecte rien, puis tu n'as rien donc tout va bI... lui aussi t'es sérieuse !"
Le lit se reçut des coups si fort que les secousses furent vives, si vives que l'on aurait pu craindre pour la survie du sommier, mais il résista. La colère lui montait au nez. Ses doigts firent une pression plus que notable sur les épaules d'Aphrodite semblables aux serres du vautour qu'il lui arrivait d'incarner.
" Je t'avais dit que je ne voulais plus d'enfant pour le moment. C'est si compliqué !", soupira t-il.
Quand il sentit qu'il s'était fait mené en bateau, il se mit à bouder sévèrement il n'aimait pas qu'on le prenne pour un idiot. Ici, ce n'étaot pas le cas, mais il tenait à fixer les choses avant d'aller plus loin, ce qui se conclut par un :
" Je vais faire des pâtes. T'as fait ta blague pourrie. T'es contente? Rah. " Je vous laisse imaginer un Arès quittant le lit même après que sa bien aimée lui ait dit qu'elle avait besoin de lui et qu'elle ne se voyait qu'avec lui. Non, c'était ses sentiments avant tout. Lorsque Monsieur était en colère ou vexé, le monde devait se plier en quatre devant ses souhaits et surtout ne pas le contrarier. Ce fut ainsi que cela se déroula. Tout d'abord une moue toute contractée comme s'il retenait certaines choses, il claqua dans ses mains pour signifier le " bon c'est fini" et courut à la cuisine cramer quelques nouilles innocentes elles aussi. Et lorsque je vous dis cramé c'était véritablement le terme puisqu'il usa de l'une de ses flammes pour les cuire en une seconde et revenir avec sa casserole. Il s'assit sur un siège devant une petite table basse non loin, puis engloutit un peu de pâtes tout en la fixant l'air mauvais :
"Et ce cher bébé en veut aussi... Nah mais autant prolonger cette blague de merde hein. "
Monsieur boudait dans toute sa grâce et sa légèreté, devant ce plat de nouilles au beurre très élaboré qu'il mangeait sas pitié. C'était une vengeance sans nom, mais contre elle, il ne pouvait pas grand chose.
" Apprends à atterrir et je t'apprendrai à me faire des blagues du genre, non mais", grommela t-il en continuant de parler la bouche pleine. Il attendit un peu dans la ferme attention de lui en laisser un peu tout de même si elle daignait venir vers lui. Décidément, il était sans pitié pour ceux qui venaient de faire une chute rude. Il ne fallait pas lui demander de compatir , en aucune façon.
" Et tu disais quoi que tu m'aimes plus que n'importe qui... j'espère bien." Sa voix grondait toujours comme un océan déchainé rentrant dans une grotte souterraine. Les roulements de sa colère d'avoir été dupe pouvaient s'en ressentir dans son obstination à vouloir se tenir éloigné à la fixer avec son saladier de nouilles dans les mains. Ah, il en avait une jolie tête dans cette position. Il se tenait droit malgré tout, digne dans sa plus grande honte. Non, mais il savait que c'était une blague. Il avait fait semblant, c'était sa femme à lui là, et pas à l'autre âne bâté qui lui servait de frère.
" Dans le n'importe qui tu inclus ton crétin de mari ? D'ailleurs je l'ai vu, il y a peu, je ne veux pas le voir ici hein. ON EST D'ACCORD ? Sa colère se calmait un peu, c'était comme un bouchon de champagne, ça partait d'un coup et ça s'oubliait vite sauf si bien sûr il vous venait l'idée très farfelue de vouloir le relancer sur ce sujet. Très prévisible Arès, mais tellement efficace dans tout ce qu'il entreprenait. Comme le disait Aphrodite, il était un condensé de sentiments si vifs que l'on pouvait difficilement trouver pire niveau scénariste. Comme si tous les mangeurs de fraises étaient tous sur le point d'avoir des enfants quoi... Il y aurait de quoi s'inquiéter si tel avait été le cas.
" Non, mais faut me comprendre, tu as grossi, du coup j'ai cru que c'était le cas."
Arès savait parler aux femmes, c'était un beau parleur parfois, mais avec celle qu'il aimait il pouvait être très rude. Tout simplement parce qu'il l'aimait, c'était ce que l'on pouvait appeler l'amour vache. Il revint vers le lit en laissant son saladier au sol et tandis qu'il approchait... il se déhanchait un peu. Il s'arrêta pour s'adosser à un mur en fermant un oeil.
" Comment pourrais-tu aimer un autre homme que moi hein, dis moi ? "
Juste après une pique quoi de mieux que de flatter son égo, c'était un bon moyen de garder une relation à long terme. Cette attitude ne lui octroyait pas beaucoup d'amis dans son entourage, loin de là. Tirant un peu sur son pantalon pour laisser entrevoir le haut de son caleçon, il se mit à rire. Cela l'amusait d'agir ainsi il faut croire, après tout c'était un bon moyen de faire passer sa mauvaise humeur... Il se tenait là dans une posture de séduction tout en adoptant un air de supériorité du genre " tu crois sérieusement que je croyais à mon histoire ? ". Que ne fallait-il pas faire pour faire passer un moment difficile?
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Re: time together is just never quite enough. | Dim 26 Oct 2014, 22:22
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L
e personnel, chez Aphrodite, il n'était pas vraiment choisis pour... l'efficacité. La beauté était plus prise en considération que les capacités d'action. Après tout, servir quelqu'un, ça s'apprend, alors Aphrodite faisait en sorte de former efficacement de belles personnes pour l'accompagner au quotidien. Évidement, Henri était un petit nouveau. Et, dommage pour lui, ce soir était un soir où Arès était présent à la maison. La grand maître de la maison était rentré et détestait être interrompue. La déesse avait imaginé que les collègues de ce petit Henri l'aurait prévenu, mais il était certainement plus marrant de lui faire une farce. Cela fit rire notre déesse, bien qu'à cause de tout cela elle ait fini les fesse par terre, propulsée hors du lit par son grand amour à grande force. C'était un autre inconvénient d'avoir un certain Arès comme amant. Il n'était pas le genre à montrer aux autres – et même à Aphrodite – qu'il aimait la déesse de l'Amour. Mais avec toutes les années qu'ils avaient passé ensemble, toutes les histoires qu'ils avaient vécu, Aphrodite savait qu'il l'aimait. Et elle savait aussi qu'Arès pouvait être sûre de ses sentiments sans qu'elle lui répète et l’étouffe avec. Arès n'était pas étouffé par les compliments, les douceurs et les caresses... Mais quand on parlait trop, cela pouvait l'embêter. Bien que le sachant, Aphrodite ne pouvait s'empêcher de lui dire par moment. Elle n'éprouvait aucun mal à parler de ce qu'elle éprouvait pour lui, mais préférait, sûrement comme Arès, passer par les regards ou autres mimiques afin de communiquer sincèrement. C'était ça, leur force. Pensant à tout cela, la déesse s'installa sur son lit, sur le ventre et attendit que son joli cœur vienne la rejoindre. Ce qu'il ne tarda pas à faire. Délicat comme il l'était, il ne pu s'empêcher d'infliger à la déesse une petite claque taquine sur son postérieur. Postérieur qui lui avait fait mal. A ce contact, elle couina et tourna son regard dans ses yeux, affichant une petite moue.
« Non non, ils sont très bien comme ils sont mes domestiques Arès. Donne leur du temps, ils ne sont pas habitués à ta divine présence » dit-elle en rigolant.
Vient ensuite un petit moment calme. Monsieur commença à lui masser le dos. Aphrodite aurait pu ronronner de plaisir si cela avait duré plus longtemps silencieusement. Mais Arès était décidée à l'embêter :
« Et... A ton avis, je suis tombée à cause de qui ? » lui répondit-elle, un sourire en coin.
Il était fort don Arès. Peut être trop comparer à elle, mais elle ne l'avait jamais craint. Il ne lèverai pas la main si elle, Aphrodite en était certaine. Pour les mêmes raisons que ce dont j'ai parlé ci-dessus. Il obligea ensuite sa déesse favorite à s'asseoir pour lui masser le ventre à la recherche d'un enfant. Ah, il pouvait toujours chercher, il ne trouverait rien. Aphrodite n'était pas enceinte – pas encore. Mais il était tellement mignon à s'affoler pour savoir si elle était enceinte que notre charmante déesse ne pu s'empêcher d'aller dans son sens, lui faisant certainement la blague la moins drôle qu'il puisse entendre. Oui, on parle bien de lui, car Aphrodite riait aux éclats. Il était tombé dans le panneau, comme un as. Ah, c'était vraiment trop facile. Il avait beaux se venger sur le lit ou bien sur les épaules de notre déesse, cela ne changeait rien. Aphrodite riait toujours aux éclats lorsqu’il lui annonça qu'il avait trouvé sa blague de très mauvais goût et qu'il allait se faire des pâtes. Il était vexé. Il allait bouder en se faisait des petites pâtes. Aphrodite finit par se clamer lorsqu'il fut partie. Elle descendit cul sec son verre et posa le second non loin d'elle. Il ne fallait rien gâcher. Profitant de l'absence de son Apollon, la déesse s'étira et reprit les caresses sur la tête de son chat : « mais qu'est-ce que tu fais à dormir ici mon mignon... Avec tout ce vacarme. », pensa-t-elle. Elle eu envie de l'emmener ailleurs, mais son cher et tendre était déjà de retour, usant de ses pouvoir pour cramer des pâtes. Aphrodite rit encore. Il était vraiment adorable quand il boudait. Elle savait que, dans ce genre de situation, la seule chose à faire était d'attendre, de calmer le jeu. Arès était un peu impulsif quand il le voulait et Aphrodite ne voulait pas vraiment se disputer avec lui alors qu'elle venait de le retrouver. Elle avait plutôt envie de le serre dans ses bras, de le sentir contre elle et de lui montrer une fois de plus tout l'amour qu'elle lui portait.
A la question de son cher et tendre, question dans le but de surenchérir cette blague de merde, la déesse se caressa le ventre, allongée sur le dos, tout en le regardant droit dans les yeux. Elle touchant son ventre en se tâtant : avait-elle envie de ces pâtes ? Pâtes qui au passage avait l'air tellement appétissante et préparé avec tant d'amour...
« Non merci papa, bébé ne veut pas de tes pâtes, reprend donc des forces ~ » oui, elle insistait...
Il était tellement élégant, à bougonner... Aphrodite aurait voulu le serrer dans ses bras, le rassurer, le consoler, aller dans son sens... Mais c'était ce qu'il attendait et... Elle ne voulait pas céder. Elle profita donc du spectacle, sachant que la suite ne tarderait à arriver. La déesse s'empara de l'autre verre... Un fou rire, ça donne soif. Et puis, le parfum de la fraise était si bon... Elle ne comprit pas ce qu'Arès voulu lui dire : il se mettait à présent à parler la bouche pleine. Alors elle hocha la tête. Elle approuverait tout. Toujours. Et ne lui ferait pas tout de suite la remarque comme quoi parler la bouche pleine n'était pas l'idéal. Aphrodite resta sur son lit, elle n'était pas intéressée par une Arès mangeant des pâtes, non... Elle se remit sur le ventre, caressant du bout des doigts son chat qui LUI était accessible. Sûrement frustré, Arès revient sur les belles paroles de sa déesse. Il espérait bien qu'elle l'aimait plus que n'importe qui. Aphrodite souri avait de prendre une autre gorgée de son breuvage, souhaitant finir ce verre au plus vite pour en être débarrassée. La voix d'Arès ne changeait pas de ton. Aphrodite lui assura donc en un regard que... OUI, il n'y avait que lui. Lui, lui, lui et lui seul. Arès toujours et tout le temps. Il le savait ! Alors pourquoi parlait-il d'Héphaïstos ? Avait-il conscience qu'il n'avait pas besoin de préciser qu'il ne le voulait pas dans les appartement de son amante ? Aphrodite elle même ne voulait pas le voir. Mais non, il était obligé d'en rajouter.
« Oui Arès, on est d'accord... » dit-elle un sourire au lèvre, ton léger, presque attendrit. Enfin non, elle l'était.
Monsieur devait à présent commencé à se clamer non ? Aphrodite allait dans son sens, alors il devait être content. Il fallait le brosser dans le sens du poil pour avoir une chance de parler de tout cela plus tard, plus calmement peut être. Enfin, cela ne serait peut être pas utile. Aphrodite voulait juste être avec lui, pas se disputer avec lui. Et pour cette simplement volonté, elle était prête à accepter touts les piques de son amant adoré, même celui d'être grosse. Quand il lui dégaina qu'il l'avait cru enceinte parce qu'elle avait grossi, Aphrodite le défia du regard « Vraiment ? J'ai tant grossis que cela ? » lui demandait-elle. Elle aurait eu envie de lui faire une remarque, comme quoi il fallait bien s'occuper en son absence, mais elle se retient, elle n'avait pas envie de remettre ça sur la paille et elle connaissait Arès et son caractère. Aphrodite devait être une des seules personnes en ce monde à l'aimer à cet instant, alors qu'il faisait sa crise. Mais il fallait voir ça autrement : certes, il était désagréable, certes il disait des choses qu'il ne pensait pas, certes il était têtu (héhé), mais il n'en restait pas moins touchant. Pourquoi se défendre autant ? Il s'était directement inquiété pour l'enfant, comme si Aphrodite choisirait de faire un enfant sans lui en parler... Elle voulait qu'il soit un père consentant, pas qu'elle l’emprisonne à cette tâche. Non, elle ne voulait pas que son couple ressemble à cela. A quoi bon avoir un dominant quand on peut être à égalité. Même si ils n'arrêtaient pas de se chercher, il savait que l'autre avait une place bien défini.
« Aimer un autre homme que toi ? » demanda-t-elle intriguée.
Aphrodite n'avait pas vraiment prévu cette question. Elle ne pensait pas qu'Arès avait besoin d'autant de preuve ce soir. Un grand sourire s'installa sur son visage et ne le quitta plus alors que ses yeux le suivait. Lui, le séduisant dieu de la Guerre, torse nu, osait se déhancher de la sorte devant notre déesse ? Mais il n'avait pas peur de se faire dévorer vivant... Aphrodite observa son roi s'installer contre le mur. Cela aurait été trop beau qu'il vienne jusqu'au lit. Beaucoup trop simple. Beaucoup trop facile. Arès n'était pas un homme facile. Et... Aphrodite n'était pas une femme facile non plus. La déesse le regarda jouer avec son pantalon. Il allait falloir que ce bout de tissu saute à son tour. Il la provoqua du regard – quand elle détacha son corps de rêves des yeux – et elle comprit exactement dans quel sens il voulait allé. Ah, Arès, tu veux jouer à ce jeu...
Aphrodite se mis à quartes pattes sur le lit, saisit son animal dans ses bras et, tout en lui caressant la tête, se dirigea vers sa vrai chambre afin de le déposer sur le lit. Évidement, tout en se déhanchant sensuellement. Elle avait une idée en tête, mais ce chat n'avait rien à faire ici. Elle ne s'absenta que quelques instants. Restant silencieuse, elle retira son espèce de kimono transparent, le jetant sur le lit et s'avançant vers l'étagère, à l'opposé d'Arès. Elle n'eut à appuyé que sur un bouton pour que la musique commence. Aphrodite était une grande fan de musique et... C'était tout ce qu'il manquait en cette séquence – et l'alcool lui donnait envie de danser. Elle se tourna ensuite en direction d'Arès et avança vers lui doucement. Très lentement. Elle se laissait aller au son de la musique, marchant en rythme, déhanchant ses hanches et ondulant son corps en fonction de la musique. En quelques instants, elle se retrouva vers Arès. Le premier contact : les yeux. Elle le fixa dans les yeux, se mordant légèrement la lèvre. Deuxième contact, ses mains sur ses épaules. Elle caressa sa peau légèrement, faisant parfois pression sur cette partie de peau à l'aide de ses ongles. Troisième contact, une prise de parole :
« Alors, et si on reprenait là où on en était, mon cher Arès ? »
Une voix séduisante, des caresses et des yeux plongeant dans le regard de son amant, Aphrodite n’attendit pas de réponse pour le tirer contre elle, l'obligé à décollé son dos de ce mur pour venir se frotter contre elle. Elle glissa ses bras autour de son cou, réduisant la distance entre leurs visages. Elle se hissa sur la pointe des pieds et se saisit de ses lèvres dans l'instant qui suivit, y déposant un long et doux baiser. Toujours au rythme de la musique, Aphrodite obligea son cher amant à danser avec elle, très légèrement. Elle ne faisait que balancer ses hanches contre les siennes.
« Accorderais-tu cette danse à ta chère « grosse » amante ? »lui demanda-t-elle. « Une petite danse de retrouvailles... »
Invité Invité
Re: time together is just never quite enough. | Mar 04 Nov 2014, 00:06
Quand on s'appelait Arès, c'était commun de ressentir une pareille colère, c'était comme une sorte de naturel qui ne cessait de le poursuivre. Il avait bien vite oublié cette taquinerie qui lui avait faite, cette petite tape sur le postérieur. Oui, il avait même oublié qu'elle lui avait dit de ne pas s'en prendre à ses domestiques. Le caractère de chien c'était tout de même bien pratique, cela pouvait créer de omissions. il avait oublié comment il avait traité celle qui éclairait ses jours par sa seule évocation. Il réagissait toujours de façon très délicate. Quand Aphrodite lui fit remarquer qu'il était bien la raison de sa chute, il claqua sa langue dans sa bouche en souriant. Arès avait appuyé sur son manque de réflexe, son manque de délicatesse et que ce n'était pas une façon de tomber pour une déesse de son rang. Se penchant au dessus de se tête, il voulait lui faire plaisir, il lui avait massé le dos en s'appliquant de son mieux. Arès n'avait pas un toucher très doux, mieux valait ne pas s'être cassé le dos avant de lui demander un service pareil. Vu la personne qu'il était, personne ne s'y risquait avec raison. Ses doigts avaient décrit des cercles, bien appuyés contre sa peau jusqu' à ce fameux drame.
Un enfant ? Et puis quoi encore ! Il s'était emporté, avait tempêté comme d'habitude. Comme la déesse ne l'avait pas rassuré, il était parti chercher des pâtes. Quand il revint, il eut un regard pour ce chat qui avait pris sa place. D'ailleurs pourquoi était-il resté ici lui ? Il n'attendait que cela hein ! Ce chat voulait lui piquer la place. Assis plus loin, il en se fit que plus grognon. Aphrodite entretenait sa colère par ses mimiques, qui lui donnait une folle envie de dévorer ses pâtes plus vite comme si le fait d’ingurgiter tout cela le rendrait de meilleure humeur. Les genoux serrés sur ce siège qui lui semblait bien petit, il tapait du pied en ne comprenant pas pourquoi son amante ne venait pas vers lui. Il aimait se sentir gagnant et s'excuser ce n'était pas son fort. Mais elle continuait en se massant le ventre, tout en lui disant que le petit n'avait pas faim. Leurs disputes se finissaient souvent sur le même sujet : Hephaistos. C'était souvent le signe que l'ouragan passait étrangement, même si cette histoire n'avançait pas et qu'elle était le sujet qui lui faisait le plus mal. Quand elle lui dit qu'ils étaient d'accord, il se recula un instant juste assez pour vérifier si elle était sincère. Ses yeux n'étaient pas plissés de malice, bien ouverts et empreints de cette légère émotion qu'il savait sincère... Et cela l’apaisa pour cette fois.
Quand il commença à vouloir la séduire en se vantant d'être un bon amant presque, qu'il se déhancha, il l'attendit avec la ferme intention de reprendre le dessus. Son effet ne fut pas celui qu'il espérait une nouvelle fois, il pensait voir Aphrodite venir à lui comme cédant à son charme. Et non il la voyait partir. N'en croyant pas ses yeux, il la suivit dans ce silence étrange qu'elle avait imposé. Que se passait-il ? Quand il remarqua que sa peur se voyait sans doute, il tourna la tête l'air blasé et parfaitement calme. Nooooon monsieur n'était pas vexé dans son ego. Les soucis avec Arès venaient aussi de cette impatience qu'il avait à vouloir agir rapidement et ces quelque instants où il s'acharnait à paraître l'homme le plus détendu de l'univers pesèrent lourdement. Il tapotait ses doigts entre eux en tentant de retrouver un semblant de paix intérieure.
" Tu fais qu....?"
Il la vit revenir, ne pas venir vers lui ce qui amplifia sa frustration. Se moquait-elle encore de lui une nouvelle fois? Elle mit une musique qui rendit perplexe Arès, oui très perplexe. Aphrodite ôta son kimono pour s'avancer vers lui aussi lentement qu'un vol de papillon. Non, elle n'était pas le papillon en cet instant, il ne voyait plus qu'elle comme une lumière aveuglante. Son regard narquois fit place à un plus charmé ainsi qu'à un sourire plus coquin. Il secouait doucement la tête en rythme tandis qu'elle approchait. Ses yeux ne se plantèrent pas dans les siens, ils vinrent se glisser dans les siens toujours plus près, toujours plus intenses. Il écarta les bras comme s'il ne pouvait réagir autrement. Aphrodite ne se cala pas contre lui, elle plaça ses mains sur ses épaules. Elle s'imposait de la façon la plus subtile au monde, en même temps, il avait joué à un jeu très dangereux : séduire la déesse de l'amour en croyant avoir le dessus sur elle. Là il se sentait impuissant face à son charme, il se voyait déjà fondre.
Quand il la regardait, lui l'homme au coeur de loup solitaire, il se sentait comme un géant de papier. Tous ces palabres, ce n'était que du spectacle, là il était devant le fait, devant le fait qu'il n'aimait qu'elle. D'ailleurs, cela faisait combien de temps qu'il n'avait pas repris la parole ...? Quand elle lui parla de reprendre, il aurait voulu dire un mot, dire ce mot qu'il lui avait dit une fois, juste une fois. Elle ne lui offrit pas ce luxe et le tira vers elle pour le décoller de son mur. Arès l'avait ce regard, il l'avait ces yeux quand il s'était mis une fois à nu.... Cela avait été très discret et bien dur, mais il ne le regrettait pas en cet instant. Il lui souriait de cette petite mimique avec ses yeux pétillants d'énergie. Le feu de ses yeux ne brûlaient que pour elle, il se serait volontiers brûler les ailes dans le plus ardent des volcans juste pour avoir plus de faveur. Quand il la sentit contre lui, son coeur s'accéléra comme si lui aussi était heureux de retrouver cette sensation lointaine. Levant ses pieds délicats, elle se grandit pour atteindre ses lèvres. Il ferma les yeux en suivant le balancement qu'elle lui suggérait. Ses jambes raides suivaient en revanche avec peine, mais son esprit tout entier était à sa disposition.
"Danser... ? "
Prochaine fois, on tentera de faire une phrase. Arès ne parvenait pas à se reprendre comme hypnotisé par son regard, sa voix, ses formes. Il se frottait contre elle en tentant de la suivre, puis ne bougea plus calé contre son épaule. Le dos recroquevillé, il semblait comme vouloir à la fois se reposer sur elle et la protéger. Elle était tant pour lui... peut-être la seule qui le connaissait autant, un être aussi précieux avec qui l'on partageait une telle passion ne saurait être attribué à un autre. Arès avait déjà oublié comment danser, mais il n'avait pas, en dépit des apparences, oublié ce qu'était ce verbe qui lui donnait une telle indifférence dans un autre contexte. ** Je t'aime Aphrodite, ... je t'aime, laisse moi juste rester près de toi**. Il l'accompagna dans une espèce de léger balancement qui n'avait rien à voir avec le rythme de la musique, mais plus un bercement. Arès se mit à accélérer petit à petit sans vraiment suivre réellement le rythme, il se décolla d'elle pour la prendre dans ses bras puissants.
"Oui, reprenons.", murmura t-il.
Arès voulait la serrer contre lui, il voulait rester avec elle toute la nuit toute cette malice, cette joie de vivre et ce charme, ce charme. Même si son sourire était plus discret que tous les autres, il était empreint de tout ce bonheur qu'il avait à juste demeurer près d'elle. Il la fit tournoyer en suivant la musique toujours dans ses bras.
"La danse n'est pas un point fort", rit il doucement.
Tous les domaines, où il était sûr de ne pas exceller, il les évitait scrupuleusement... Et la danse en faisait partie, à vrai dire.
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Re: time together is just never quite enough. | Sam 08 Nov 2014, 00:00
Time together is just never quite enougt.
f e a t ; arès ♥
L
orsque le grand Arès était en colère, il n’y avait malheureusement qu’une chose à faire si l’on souhaitait que cela passe : attendre. Aphrodite n’était pas très patiente habituellement, mais… Pour Arès, elle pouvait mettre en veille tous ses défauts. Son amour pour le dieu de la Guerre lui permettait d‘accomplir de grande chose. Enfin, ce soir, c’était un petit peu différent, Aphrodite avait fait la blague de trop, celle qu’il fallait éviter avec le beau Arès : les enfants. Il était donc parti au quart de tour et avait abordé quelques sujets fréquents de dispute dont Héphaïstos. Aphrodite se serait bien passée de son évocation, elle n’avait point la tête à s’intéresser à son mari… Surtout que son actuelle compagnie était beaucoup plus importante – même si Arès faisait comme si il ne le savait pas, se faisant le plus jaloux possible pour qu’Aphrodite finisse par craquer et tout lui céder (ce qui marchait parfois). Notre déesse ne connaissait que trop biens les mécanismes de son roi. Elle avait eu le temps de les expérimenter de bien des façons, mais Arès restait avant tout quelqu’un d’imprévisible – quand il s’agissait de colère du moins. La déesse avait donc profité de douceurs proposées par son amant. Rare étaient les moments où Arès prenait l’initiative d’un tel massage, cherchant à être le plus doux possible. Aphrodite appréciait l’intention et le geste. Oui, ce n’est pas parce qu’elle représente la sensualité, la douceur et la délicatesse qu’elle n’appréciait pas d’autres sortes de sensations. Au contraire, il n’y avait rien d’égal à un massage appliqué et appuyé. Les doigts d’Arès étaient experts en cette matière, mais Aphrodite serait prête à parier qu’il doutait de lui alors qu’il lui accordait une telle attention. Bien que ce moment ne dura pas, Aphrodite avait fermé les yeux, profitant des attentions de son amant. Elle avait envie de lui dire à quelle point cela faisait du bien, mais voilà la discussion sensible commença au mauvais moment, avant que notre déesse ne puisse dire quoique ce soit.
Les enfants : un sujet quelque peu sensible dans le couple depuis bien longtemps, même si à présent, monsieur avait plus évoqué une tromperie, croyant que la déesse était enceinte d’un autre. Hélas, Aphrodite savait qu’Arès ne souhaitait pas ré-avoir d’enfants pour le moment – tout comme elle – et n’avait pas hésité à renchérir le sujet. Aphrodite aimait plaisanter avec Arès. Son amant était un peu brut de pomme, il n’avait pas vraiment d’humour… Enfin non, tout dépendait du sujet. Après tout, il avait charmé Aphrodite en la faisant rire. Comme on dit, femme qui rit, femme à moitié dans son lit – Arès, avait lui, bien prouvé le dicton. Mais il y avait encore un peu de travail à faire sur ce côté de sa personnalité. Et Aphrodite, de toute sa malice, aimait jouer avec Arès. Cependant, que l’on s’entende bien, elle savait s’arrêter quand il le fallait. Elle ne tenait pas à le dégouter, juste mettre en évidence qu’en sa présence il pouvait rigoler, s’amuser, jouer et profiter d’un peu de bonheur partagé. Elle connaissait bien le côté solitaire d’Arès, elle l’admirait grandement pour cela. A sa place, elle n’aurait pu faire le huitième de son parcourt. Depuis qu’elle était petite, elle avait toujours reçu l’attention et l’amour de la plus part des habitants de l’Olympe… Exactement le contraire d’Arès. Et ce point n’était pas le seul qui lui opposait. Beaucoup voyait dans leur union une sorte d’hérésie : « la Guerre et l’Amour, ensemble ?! ». Aphrodite riait de cela. L’amour suivait-t-elle les normes et les avis d’autrui ? Absolument pas. Au contraire. Surtout qu’Arès n’était pas un amour comme un autre…
Sachant qu’Arès avait compris le petit message qu’elle avait soigneusement glissé dans ses yeux, Aphrodite se rassura : la crise était bientôt finie. Malgré tout, elle ne pensait pas devoir monter une telle scène pour qu’ils puissent se retoucher, mais… Il l’avait provoquée, et c’était certainement le « coup de trop ». Le voir s’avancer en sa direction puis dévier tout en jouant avec son pantalon… Oui, c’en était trop ! Aphrodite se permit donc un petit tour de séduction. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas eu la chance de se mettre autant en scène devant Arès. Elle se permettait de faire cela quand ils étaient seuls, juste tous les deux. Elle savait qu’Arès et les marques d’affections en public n’était pas bon mélange… La preuve quelques minutes auparavant : à l’interruption d’un simple domestique, Aphrodite s’était vue voler…. Monsieur n’aimait pas être surpris, être vu… Et même si cela attristait parfois madame, elle le respectait. Elle ne voulait pas nuire à sa réputation de gros dur, un côté de lui qu’elle aimait aussi… Et puis, elle se doutait bien que la passion qu’ils partageaient devait être une faiblesse d’Arès, faiblesse que les autres devaient chercher à l’affaiblir en évoquant le nom de celle qu’il aimait. Mais elle ne s’inquiétait pas trop pour lui à ce sujet. Il n’était pas du genre à se laisser abattre. La déesse aimait le voir ainsi… Mais elle ne disait pas non lorsqu’il se montrait doux, affectueux, souriant… Amoureux. C’est pour cela qu’elle tentait de tel coup de séduction, pour faire retomber toute cette colère et se rapprocher de lui. Avec un peu d’alcool, un peu de musique et quelques pas de danse, Aphrodite laissait son naturel revenir au galop. Elle ne se pressait pas, faisait cela doucement, correctement. Une fois qu’elle fut au niveau de son Arès, il avait été difficile de ne pas le toucher, l’embrasser. Elle n’avait pas résisté à ce désir. Elle avait envie de reprendre là où ils en étaient… Elle avait été tellement frustrée par cette interruption… Et quoi de mieux qu’une danse pour se rapprocher ? Lorsqu’il interrogea, presque surpris, Aphrodite en ne laissant sortir de sa bouche que le mot danser, la déesse hocha la tête doucement. Ses hanches répétaient le même mouvement en même temps que celle d’Arès, elle resserra donc ses bras autour de son cou musclé et, tout en lui faisant quelques caresses sur les épaules, elle lui répondit :
« Oui…. Une petite danse, ça fait si longtemps… »
Son regard était profondément ancré dans le sien. Des yeux rouges. Des yeux de feu. Des yeux de passion. Comment pouvait-on les trouvé effrayants ? Ils étaient remplis d’émotion si forte, si intenses. Aphrodite lisait en eux comme dans un livre ouvert, elle espérait qu’Arès en fasse de même. Aphrodite, de ses grands yeux verts, tentait de lui communiquer tout l’amour qu’elle portait à son égard, toute la passion qui l’envahissait. Arès s’arrêta subitement, alors qu’il était si bien parti dans ce petit déhanché. Il se posa sur l’épaule de la déesse qui s’était empressée de changer la position de ses bras les passants de ses épaules à sa taille pour qu’il soit mieux installé. Ses bras s’enroulèrent automatiquement autour de lui, les amenant plutôt à partager un câlin, un moment de réconfort et de retrouvaille, qu’une danse. Aphrodite esquissa une sourire, ferma les yeux et profita de cet instant pour se reposer elle aussi contre lui, sans même sire un mot. Elle savait ce qu’il pensait, elle le sentait. Elle lui faisait comprendre par des caresses. Le dos d’Arès était si tentant… Lorsque ses mains se retrouvait ainsi contre cette parie de son corps mise à nue, elle ne pouvait s’empêcher de redessiner des petits cercles sur sa peau. Ces fameux cercles. Elle n’osa dire un mot. Le moment était si doux, si fort qu’elle préférait le vivre plutôt que le commenter. Elle attendit qu’Arès prenne les prochaines initiatives. Ne se faisant pas tant attendre que cela, madame sentit les hanches de monsieur reprendre les précédents mouvements plus lentement. Le rythme et la musique étaient à des années lumières de leur petite bulle. Aphrodite se sentait bien contre lui, elle suivait ses mouvements profitant de la protection et de la douceur des bras de son amant. Elle laissa passer les minutes, souhaitant que cet instant ne s’arrête jamais… Elle était trop bien dans ses bras. Tellement bien qu’elle n’avait même pas réellement percuté qu’il venait de changer de rythme.
Une belle surprise s’afficha sur le visage de la déesse lorsqu’Arès la prit dans ses bras, la soulevant ainsi entièrement. Elle se laissa faire docilement en rigolant. Une fois qu’elle fut confortablement installée, soit quelques secondes plus tard, elle enroula ses bras autour de son coup, se serrant contre lui. Elle mettait dans cette « force » tout le bonheur et toutes les émotions qui la traversaient. Son rire se clama lorsqu’elle fut blottie contre lui. Elle le regardait du coin de l’œil et profitait de son sourire. Arès… Son Arès… Il était tout contre elle, elle était dans ses bras. Elle colla sa tête contre la sienne. Il ne se disait pas doué en danse… Mais il n’avait simplement pas compris qu’Aphrodite n’attendait pas de lui à ce qu’il soit le meilleur en danse… Juste qu’il partage un moment avec elle. Car c’était cela le plus important : qu’ils soient ensemble. Aphrodite voulait passer sa vie à ses côtés, elle le souhaitait de tout son cœur et de toute son âme. Comme préciser précédemment, Arès n’était pas qu’un simple amour… beaucoup plus… tellement plus… Aphrodite elle-même n’avait pas de mots pour le qualifier. Mais la vie de tous les jours nous demande de qualifier toutes les personnes qui nous entoure, de les classer à travers des rôles, des statuts… le langage a bien trop de limite.
Et la danse repartie naturellement. En rythme, Arès se mit à tournoyer avec Aphrodite bien installée dans ses bras. Elle rigola de plus belle, se détachant légèrement de lui pour basculer la partie haute de son corps en arrière. Elle se sentait comme libérée, libre lorsqu’elle était avec lui. Il avait la capacité formidable de l’installer confortablement dans un petit monde : le leur. Alors certes, ce monde n’était pas toujours rose, rouge ou blanc… Mais qu’importe, c’était le leur. Elle y était chez elle. Son vrai chez elle.
« Pas ton point fort ? » répéta-t-elle.
Aphrodite se rapprocha de lui pour le regarder dans les yeux. Ses beaux yeux rouges dont elle était tombée amoureuse au moment où elle les avait vus.
« Je ne suis pas tout à fait d’accord… » Ajouta-t-elle, la malice dans les yeux « Je trouve que tu as bien plus le rythme qu’avant… Les premières fois étaient peut être catastrophiques – et encore – mais maintenant… »
Elle lui adressa un tendre sourire. Il était vrai que les premières fois avaient été un peu compliquées. Arès n’était pas vraiment enthousiaste à l’idée de danser. Mais Aphrodite l’avait convaincue, et ils s’étaient aventurés dans cette aventure sans vraiment appréhender tous ces pas de travers qui valaient à l’un comme à l’autre un pied endommagé. Ces souvenirs étaient de bons souvenirs pour la déesse. Elle ne voyait en Arès aucun mal à ce qu’il ne sache pas danser…
« Et puis… Après tout, j’ai choisi un guerrier, pas un danseur. Je n’aurais donc pas de telles exigences envers toi. »
Des exigences ? Arès se les imposaient lui-même. C’est ce qui en faisait un homme de qualité. Allez savoir pourquoi il esquivait tant les domaines où il n’excellait pas. Même les dieux ne sont pas parfaits, cela se saurait. Aphrodite adressa un clin d’œil avant de déposer un baiser sur la joue de l’homme de sa vie. Elle était heureuse.
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Re: time together is just never quite enough. | Mer 12 Nov 2014, 01:16
Arès se sentait gauche et en cet instant idiot, cela l'agaçait un peu, même si ce contact était si agréable. Alors il se laissa plus ou moins faire, il sentit des bras glisser autour de son cou, il sentit qu'il n'allait pas lui donner ce qu'elle demandait. Pour une fois, cela le gênait. Il se mordit les lèvres en restant aussi rigide qu'un bout de bois qui ne pouvait faire que de se rompre. Beaucoup d’escrimeurs talentueux disaient que l'escrime et la danse étaient comme deux frères, l'un n'allait pas sans l'autre. Arès ne partageait pas ce point de vue, personnellement pour lui se battre n'avait rien à voir avec le fait de danser, déjà dans sa tête si c'était le cas, il serait bien meilleur. En duel, on cherchait à surprendre l'autre, à briser son avancée pour imposer la sienne. Pour danser, il fallait accepter de guider et de se laisser guider dans une marche à suivre établie.
S'adapter à l'autre, voilà quelque chose que Arès faisait rarement, il avait appris à être un conquérant, à taper du poing sur la table, à se faire entendre quand quelque chose n’allait pas. Quand elle était devant lui si désireuse de sa présence, il s'en sentait flatté bien qu'il soit sûr de mériter ce regard. Ce n'était pas ceux d'un régiment envers son général... non et cela avait été un des problèmes dans leur couple. Arès avait quelques difficultés parfois à s'adapter. A son balbutiement parfaitement ridicule qui le fit pester contre lui-même, elle lui fit le regard le plus attendrissant qu'elle put. Il ne voyait plus qu'elle pour être honnête, ses yeux ne cillaient presque pas comme pour apprécier ce regard et toute son intensité. Il la voulait contre lui, sentir sa présence si près qu'il ne pouvait la nier, qu'il ne pouvait que se sentir vivant. Dans le fond, c'était la raison de vivre d'Arès, il ne voulait pas devenir un de ces dieux résignés qui restent sur leur siège. Il voulait se sentir vivant, même si cela pouvait paraître égoïste peut-être parfois, même si cela le conduisait à se comporter en parfait comploteur, si cela le faisait passer pour un homme de colère, capricieux. Se sentir vivant pour que personne ne l'oublie. Se sentir vivant pour sentir toujours ce sentiment de fierté. Se sentir vivant pour... pour... ceux qui l'aiment vraiment, même s'il ne savait pas le leur rendre. La tête posée contre son épaule, les mains autour de la taille de sa reine, il était si bien.
Quand il sentit qu'elle le massait, il se redressa subitement comme un électrochoc donnant un petit coup de tête dans la tête de sa bien aimée. Arès tourna la tête vers elle, lui frotta la tête comme pour soigner ce qu'il venait de faire, puis se détendit succombant aux massages. Ses massages le faisaient frissonner, il savait qu'elle l'aimait et c'était bête, mais il réagissait un peu ainsi d'autant que la déesse avait un savoir faire pour se faire aimer. Tout deux avaient leur domaine : lui savait comment se faire détester et elle se faire aimer. Après ce qu'il aimait, c'était qu'elle n'était pas qu'adorable, cela lui était déjà arrivé de suivre les vengeances de sa préférée et limite quelle que soit la vacherie qu'elle ait fait subir, la personne aurait morflé si elle chercherait des noises à sa chérie. Elle avait tous les droits à ses yeux ou presque. Ses mains lui massait doucement le tour de taille, glissait sur ses hanches, il se laissait complètement aller. Puis, il voulut s'imposer à nouveau par un petit rythme qui se faisait de plus en plus pressant. Quand il la fit décoller du sol. Elle se mit à rire. Ce son le rendit encore plus fou d'elle, il se mit à sourire en penchant la tête.
" Ma petite reine...", lui faisait-il en murmurant. Et mine de rien, il tentait d'aller au rythme de la chanson, il la sentit se pencher en arrière, il s'assura de bien la tenir pour ne pas qu'elle tombe une nouvelle fois. Cette fois, il ne ferait pas son taquin, il allait se montrer plus avec elle... Quand elle répéta ce qu'il venait de dire, il se renfrogna un peu et grogna un peu. Elle revint presque aussitôt vers lui après cette remarque, il chancela comme surpris. Il la rattrapa en la serrant contre lui, elle n'était pas tombée. Un " mais ça va pas" lui brûlait les lèvres que déjà il avait entrouvert la bouche pour rouspéter, mais elle le coupa. De cette façon, elle le maintenait dans cette bulle qu'elle avait réussi à créer et qu'elle maintenait. Résultat, à nouveau Arès n'écoutait qu'elle. Elle lui rappela leurs premières danses ce qui le fit grogner à nouveau, mais il se tut comme s'il savait qu'il avait perdu le contrôle dès lors qu'il n'avait pas su rouspéter. Il s'y soumettait plus ou moins, mais il le faisait avec un tel bonheur. Alors dans le fond, ce n'était pas une soumission, même si toujours au début il le vivait comme tel. Il fallait le faire descendre de sa haute montagne le petit Arès.
"Je suis ton guerrier, ma douce.", fit-il avant de se voir gratifier d'une bise sur la joue à l'instant même où la musique s'arrêta. Le silence s'installa, mais il n'avait rien de comparable à avant, tout simplement parce qu'ici... Arès avait changé ses plans. Il porta Aphrodite jusqu'au poste de musique, remit la musique en action et la regarda... Ses mains se placèrent sur ses hanches, balança son bassin par des mouvements hésitants, ses épaules tentèrent de faire de même, et pour finir il plaça son front contre le sien en s'inclinant contre le sien. Sa gêne devant ce défi qu'il s'était imposé, était visible. Ses yeux fixaient le sol pour éviter les pieds de son aimée. En se déhanchant, il remarqua qu'il ne la regardait plus, il se sentit très honteux et redressa la tête en la reculant pour éviter encore une nouvelle fois de l'assommer. Sans s'en rendre compte, sa danse devint très sensuelle, était-ce parce qu'il se trouvait torse nu, que toute cette ambiance l'émoustillait quelque peu. Sa démarche était toujours maladroite, hésitante, peu gracieuse, mais cela dégageait une certaine sensualité. Il voulait tant bien faire qu'il ne pensait qu'à elle dans chacun de ses pas du coup ses pas sonnaient chacun comme une demande. La musique s'arrêta à nouveau...
"Voilà pourquoi je n'aime pas la danse, c'est trop court", fit-il avant de vouloir se détacher d'elle. Mais il sentit que la main qui l'avait serré tout durant cette musique le tenait encore, alors il revint tête baissée.
"Toi, tu es divine.", lui fit-il en la gratifiant d'un regard brillant.
Doucement, il la cala contre lui pour ne pas qu'ils fassent mal, puis il tomba avec elle dans ses bras sur le lit sur le dos. Une fois allongée, il dégagea ses cheveux pour apercevoir à nouveau ce beau sourire qu'il avait vu. Il inspira un grand coup, puis par petits coups. Il lui caressait le haut des cuisses tout en la gardant recroquevillée contre lui. Arès savait qu'elle aimait se trouvait contre lui comme il l'avait fait quand il la portait.
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Re: time together is just never quite enough. | Lun 17 Nov 2014, 01:00
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L
a danse était un activité sensuelle, pour ne pas dire l'activité sensuelle par excellence. Il était donc évident qu'Aphrodite se soit intéressée de près à cette occupation, et cela il y a déjà bien des années. Elle n'avait pas été excellente, au début, mais avec l’entraînement, elle avait appris à être des plus délicate et des plus sensuelle. Désormais, elle était devenue experte. Et elle comptait bien faire en sorte qu'Arès le devienne aussi, même si Monsieur n'était pas vraiment facile à décider... Il fallait le décider... Le motiver... Un peu comme aujourd'hui. Aphrodite savait comment y faire, avec son Arès. Depuis le temps qu'ils se connaissaient, qu'ils se fréquentaient, elle savait se présenter et comment le faire craquer. Elle aimait le faire craquer, qu'il cède à ses petits caprices de diva. Et la danse en était typiquement un. Car Aphrodite savait qu'il n'aimait pas cela, qu'il n'était pas réellement à l'aise. Cela se sentait aussi d'ailleurs. Il avait du mal à se laisser aller, à se détendre au rythme de la musique... C'était quelque chose que notre déesse comprenait très bien, ayant elle même passée par ce stade. Elle savait donc que c'était quelque chose qui pouvait changer. Elle pouvait le faire changer, elle en était sûre. Elle tenait à sa danse avec son amant, elle y tenait dur. Elle appréciait vraiment le fait qu'il ne lui prenne pas vraiment la tête avec cela, qu'il la laisse faire. Et rien que pour cela, rien que pour quelques pas de danse sur une musique avec son amant, Aphrodite était comblée. Elle aimait se sentir contre lui. Elle ne faisait pas attention au fait qu'il ne soit pas très fluide. Au pire, elle se contenterait bien qu'un léger balancement, sans même décollé les pieds du sol. Un genre de câlin amélioré, au rythme de la musique. Mais Arès n'était pas un dieu qui faisait les choses à moitié : il voyait les choses en grand et tentait de faire de son mieux. Aphrodite était vraiment réceptive à cela.
Lorsqu'il posa sa tête sur l'épaule de la déesse, Aphrodite ne pu s'empêcher de le prendre dans ses bras délicatement. Déjà que la distance entre leurs deux corps n'était pas vraiment grande, le fait qu'elle passe ses bras autour de son corps musclé et se colla contre lui un peu plus ne faisait que les rapprocher. Encore et toujours. Mais Aphrodite aimait se sentir contre lui, surtout que cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas été en contact avec son amant, puisqu'il pouvait parfois prendre du temps à montrer sa petit frimousse. Mais il finissait par revenir et Aphrodite lui sautait dessus. Elle profita de ce petit moment de tendresse pour reprendre ses massages. La peau d'Arès était addictive, une fois que l'on commençait à la caresser, on ne pouvait s'arrêter. Qui aurait cru qu'un dieu si violent aurait la peau aussi douce ? Aphrodite était accro à se toucher, elle voulait sentir sa peau contre la sienne... Mais tout ce qu'elle eut sur le moment, c'est un coup de tête de son cher et tendre. Cela ne lui avait point fait mal, non, mais sourire oui. Elle lui avait d’abord adressé un petit regard inquiet pour savoir si lui ne s'était pas fait mal, mais sentant la main d'Arès sur sa tête, elle lui adressa un beau sourire. Il était vraiment trop adorable. Elle aurait bien voulu recoller ses lèvres contre celles de son amant, mais voyant qu'il préférait profiter de ce massage – maintenant que l'instant de surprise était dépassé – elle continua. Toujours le même rythme, toujours les mêmes mouvement et la même pression sur sa peau jusqu'à ce qu'elle sente ses pieds décollés. Aphrodite rigola. Sa petite reine, comme il l'avait si joliment appelé, se sentait libre. Dans ses bras, portée de cette manière, elle pensait que rien ni personne ne pouvait les atteindre. Ce qui l’amena d'ailleurs à faire quelques folies, quitte à presque les faire tomber tous deux. Mais Arès était fort, Arès savait comment la porter. Il fallait bien quelqu'un de fort pour supporter une gamine pareille. Aphrodite elle-même le disait : elle était un peu gnangnan par moment quand elle était amoureuse. Donc cela arrivait souvent avec Arès. Mais cela n'avait pas vraiment l'air de déplaire à l'intéressé. Elle s'attendant à ce qu'il lui fasse une réflexion là dessus, comme il avait l’habitude de faire, mais.... Non, elle l'avait pris de court. Elle le complimenta d'une manière un peu moins directe que d'habitude. Mais il avait compris. Il avait saisis où elle voulait en venir, ce qu'elle voulait dire et l'avait d'ailleurs répété. Il était son guerrier. Elle l'embrassa sur la joue, à la fois délicatement et fougueusement. En fait, en réalité, elle aurait bien pris possession de ses lèvres, mais elles n'étaient pas vraiment accessibles. Tout n'était qu'une question de temps....
Le silence s’installa. La musique s'était arrêtée, Arès avait arrêté de se balancé au rythme de la musique. Le clame s'installa dans la pièce. Pendant peu de temps certes, mais Aphrodite eut le temps se repasser ses bras autour du cou de son amant le temps qu'il se dirige vers le poste de musique. Notre déesse se demandait bien ce qu'il pouvait avoir en tête. Mais elle ne demanda rien, elle préférait avoir une surprise. D'ailleurs, elle ne du pas vraiment attendre longtemps avant d'avoir sa réponse. Une fois vers le post de musique, il déposa délicatement Aphrodite par terre. Elle lui afficha une moue tristounette, histoire de lui montrer qu'elle n'avait pas envie de le quitter. Elle voulait retrouver ses bras et y rester toute la nuit. Elle ne voulait pas le quitter. Mais cette moue se transforma en un brillant sourire quand elle entendit la musique recommencer et sentit les mains d'Arès sur ses hanches. Elle était heureuse. Cela pouvait se lire dans ses yeux, dans son sourire, dans ses gestes. Elle était légère. Elle se laissa complètement faire, ayant une parfaite confiance en Arès. Elle voulait danser avec lui, qu'il prenne les devants et qu'il la fasse valser. C'est ce qu'il ne tarda pas a faire. Comme préciser précédemment, Aphrodite adorait ce genre de petits instants avec son amant. Cela la rendait toute chose. Elle se retrouvait encore contre Arès, peut être un peu plus éloignée cette fois, mais c'était une vraie danse.
Les yeux ? Elle n'avait pas vraiment fait attention au fait qu'il ne la regardait pas, profitant de son front contre le sien, elle avait gentiment fermé les siens. Elle se laisser bercer, elle se laissait faire. Elle ne craignait pas pour ses pieds, elle savait qu'il ferait attention. Et au pire ? Elle avait déjà subit ça quelques fois, ce serait un petit souvenir. Leur danse, ainsi, était devenue assez sensuelle. Aphrodite caressait toujours la peau d 'Arès du bout des doigts, sans décoller sa paume de main de l'épaule d'Arès. Elle était si bien. Ce havre de paix dans lequel ils étaient donnait l'impression que rien ne pouvait les atteindre. On a tous besoin d'un endroit où être au calme, d'être bien, sans se sentir jugé. Aphrodite veillait personnellement qu'Arès trouve son petit havre, à sa manière certes, mais qu'il soit heureux. Et cette danse, mine de rien, faisait certainement partie de leur bulle. Mais malheureusement... La musique s'arrêta de nouveau... Arès fut plus contrarié que la fois précédente. Aphrodite ne lâcha pas sa main pour autant, au contraire. Elle avait même commencer à la caresser. Il ne devait pas la quitter. Il ne devait pas aller trop bien... Elle voulait ses bras. Elle voulait être contre lui. Elle resta étrangement calme en attendant que ce petit coup de frustration parte.
« Même si c'était court... trop court, même, j'ai beaucoup apprécié. » dit-elle en le voyant revenir.
Un grand sourire s'installa sur son visage. Ce qu'elle venait de dire, elle le pensait. Enfin. Il n'avait spa besoin d'être le meilleur pour que ce qu'il fasse lui plaise. Mais disons qu'elle avait été épatée qu'il prenne une telle initiative. Son sourire se renforça lorsqu'il lui dit qu'elle était divine. Elle en était sure. A présent, elle voulait l'embrasser. Ce regard brillant qu'il lui faisait, ce regard lui donnait tant envie. Mais Arès n'avait pas prévu cela. Il était si bien partie dans les initiatives qu'il continua, au grand plaisir d'Aphrodite qui, finalement, appréciait prendre son mal en patience. Elle se retrouva alors tout contre Arès, de retour sur le lit. Il dégagea les cheveux de la déesse, ces cheveux qui avaient une fâcheuse tendance à faire tout et n'importe quoi dès qu'elle s'amusait à bouger. Déjà tout à l'heure, ils les avaient embêter. Le sourire était toujours attachée sur les lèvres de la déesse lorsqu'elle sentit les mains d'Arès sur le haut de ses cuisses. Ah des caresses. Aphrodite en ronronnerait de plaisir si elle était un chat. Mais à la place, sa peau se marqua de frisson. Son corps entier devenait réceptif à cette attention si particulière. Maintenant qu'ils étaient installés, elle pouvait commencer non ? Elle obligea Arès à la faire basculer sur le côté, de la manière la plus douce possible, afin qu'il ne soit pas obligé de supporter tout son poids.... Et surtout pour gagner en liberté d'action. Aphrodite avait mille et une idée pour faire plaisir à son Arès, elle n'était jamais à court... Encore fallait-il lui en donner l'occasion. Elle se retrouvait ainsi face à lui, sur le côté. Sans attendre, elle glissa ses jambes entre celles d'Arès, frottant ses pieds contre les siens. Sa peau, elle voulait sentir sa peau.
« Et puis... Tu étais bien meilleur cette fois-ci. » finit-elle par ajouter, glissant son regard dans le sien.
En changeant de position, Aphrodite avait veillé à ce que la main d'Arès reste confortablement installé sur sa cuisse. Histoire qu'il continue ce qu'il avait commencé, si l'envie lui prenait – en fait, elle lui faisait comprendre que c'était ce qu'elle souhaitait. Elle plaça ses mains sur le haut de torse de son amant, descendant son regard sur ses mains pour s'appliquer dans quelques douceurs. Aphrodite ne se laisserait pas prendre de court cette fois. Elle reprit le chemin de son abdomen à l'aide d'une de ces mains, puis, une fois que ses doigts furent en contact avec la matière de son pantalon, elle se saisit de cette manière. Quelques doigts s’aventuraient à l'intérieur de ce pantalon, juste pour rentrer en contact avec le caleçon de se monsieur. La bordure simplement. N'allons pas trop vite. Ses quelques doigts logèrent la bordure de ce pantalon pour arriver au niveau des boutons et de la fermeture éclaire – évidement tout en s'amusant à chatouiller la peau d'Arès.
« Dis moi... » commença-t-elle la voix presque tremblante « Comment ce fait-il qu'il soit encore là, lui ? »
Elle fit descendre sa seconde main vers les boutons de ce pantalon. Comme habituée, elle ne le quitta pas des yeux tout en retirant la première barrière, puis la seconde pour finir par la fermeture éclaire. Elle fit ça dans une lenteur insoutenable, autant pour elle que pour lui, certainement. Mais sa peau... Elle voulait sa peau. Maintenant, il était ouvert... Mais en vu de la position actuelle d'Arès, Aphrodite n'allait pas vraiment pouvoir faire quelque chose de plus... Elle garda donc ses mains sur les hanches de son amant tout en se rapprochant de lui. Quitte à ne rien pouvoir faire avec se pantalon, autant rabattre sa frustration sur autre chose, non ? Quoi de mieux que des lèvres et un cou ? Aphrodite plongea son visage dans le cou d'Arès pour y déposer quelques baisers, toujours accompagné de caresses. Toujours les mêmes ronds, dans un sens ou dans un autre.... Aphrodite ne s'en lassait pas, et elle espérait qu'il en soit de même pour Arès. Ces baisers dessinaient un chemin sur cette peau blanche. Un dessin très particulier, très précis jusqu'à ses lèvres. S'installant du mieux qu'elle pouvait, Aphrodite se saisi enfin des lèvres de son amant. Elle colla délicatement ses lèvres contre les siennes afin de partager un premier contact doux et délicat, un second un peu plus demandeur, et elle continua comme cela jusqu'à ce qu'elle partage un long et langoureux baiser avec son amant. Un baiser comme elle les aimait, un baiser comme elle l'attendait depuis toute à l'heure. D'ailleurs, cette attente c'était transformé en désir incontrôlable. Aphrodite avait un peu de mal à contenir ses émotions.
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Re: time together is just never quite enough. | Lun 17 Nov 2014, 22:57
Arès en vérité s'il était prévisible comme le disait souvent Athéna, c'était parce qu'il ne s'aventurait jamais dans une tactique qu'il ne connaissait pas, il était assez farouche au changement. Au pire des cas, il essayait de faire mieux que les autres fois à chaque fois. La danse c'était un peu du même ressort. Un pas à gauche, puis un pas à droite. Il s'était tout au long ou presque concentré sur ses jambes, mais elles semblaient si raides comme si elles craignaient de faire un faux pas. A ses yeux, c'était simplement par fierté qu'il ne voulait pas danser.C'était pour lui un véritable effort et il ne le faisait que pour elle, rien que pour elle. Le premier qui irait raconter qu'il dansait, il lui aurait expliquer sa manière de penser. Enfin, il se laissa aller en faisant de petits mouvements, il appréciait le contact de cette épaule, la caresse de ces mains qu'il connaissait si bien.
Lorsqu'il l'avait porté, c'était loin d'être une tâche ardue, non il se sentait si heureux de la soulever, c'était une sensation qu'il aimait. Sentir que l'être aimé se trouve si près était si délicieux. Son regard se faisait si tendre qu'on aurait presque juré qu'il n'avait jamais été aussi heureux qu'en cet instant. C'était son rire, oui ce n'était que cela voyons et pourtant c'était tellement plus. Comme hypnotisé par cette petite ronde qu'il faisait en rythme et par la puissance de ce regard qu'il ne lâchait pas. Il sentit un souffle chaud, suivi du toucher de ses lèvres sur sa joue. Un rire partit tandis qu'il fermait les yeux pour se retrouver, pour se dire qu'il était heureux et garder cela au fond de lui. Lorsqu'il rouvrit les yeux presque l'instant d'après, la musique était éteinte, la magie s'était envolée. Blasé, il avait ajouté qu'elle était trop courte, aussitôt il avait voulu remettre de la musique comme pour pallier ce manque...
La musique recommença, elle était rythmée. C'était étrange, mais comme il savait qu'en ce domaine c'était elle qui menait, il cherchait son soutien à un moment sans l'avouer. Dès le moment où il déposa ses mains sur ses hanches, il tenta de prendre une cadence. Allez on reprenait ce qu'il avait en tête précédemment. Un pas à gauche, sur le côté, recul. Un pas à droite, sur le côté, recul. C'était une danse assez peu osée, trop peu digne de lui. Il serra les dents, roula un peu plus ses mouvements. Sa tête dodelina jusqu'à coller son front comme s'il s'effaçait devant elle, ne devenait plus que cet amour qui le submergeait. La guerre était l'inverse de l'amour, ce que l'un détruisait l'autre bâtissait, mais ils avaient en commun des flammes qui, lorsqu'elle ne détruisaient plus, construisaient, construisaient et construisaient encore. Par pure curiosité, par pure volonté de vouloir un tant soit peu contrôlé, il entrouvit son oeil droit pour voir que ceux d'Aphrodite s'étaient clos. Arès lui massa les hanches en l'attirant vers lui même il ne pouvait difficilement faire plus près, une de ses mains se leva pour effleurer son dos jusqu'à toucher les cheveux en vague d'Aphrodite. Quand la musique s'arrêta, il râla mais bientôt une remarque l'apaisa aussitôt.
Comme une envie se précisa, il voulait l'avoir tout contre lui. Elle semblait partager cette envie puisqu'elle s'arrangea pour se placer au dessus de lu tout en veillant à son confort. C'était toujours son Aphrodite, il avait beau être parfois un parfait abruti, elle était égale à elle-même. C'était ce qui lui plaisait car il en fallait du courage pour être avec lui. Il avait une très bonne image de sa personne, mais il était lucide qu'il n'était pas la compagnie la plus plaisante qu'il soit parfois. Arès ne comptait pas changer et ceux qui voudraient le changer n'auraient jamais ce qu'ils voulaient. Il fallait le prendre avec ce qu'il était, voilà tout. Ce contact contre lui donna encore ce petite sourire qui e disait tellement plus qu'il n'en exprimait. Comme elle continuait toujours de caresser cette hanche qu'il massait toujours depuis leur danse. Elle était si heureuse qu'il redressa la tête de fierté, car oui c'était lui qui lui procurait ce bonheur, il en était si fier, fier de lui, d'elle et fier d'eux. Dès qu'il sentit la jambe d'Aphrodite se frotter contre la sienne, il s'étira très légèrement. Il cherchait à être le plus à l'aise possible. Quand elle lui dit qu'il avait été meilleur cette fois, il reprit son petit sourire malicieux en coin.
" Que crois-tu ? Je ne suis pas si prévisible que ça, hein.", affirma t-il l'air goguenard.
Il avait pris sa voix viril et assurée de celui qui aurait affronté mille et un dangers. Arès savait parfaitement prendre cet air de pirate, boucanier de ces mers oubliées sur lesquelles il aimait se retrouver avec son aimée. Il détestait qu'on vienne les déranger. Tout simplement parce que elle le faisait plier et réagir autrement. Personne n'avait besoin de le savoir. Il se laissait faire, il avait arrêté les caresses pour ne fixer son attention que vers cette femme qui lui accordait toute son amour. Il s'amusa de l'initiative de sa bien aimée, se tortilla un peu en souriant malicieusement. Oui, il l'avait bien vu venir depuis un moment, mais il aimait se faire désirer, la faire languir. C'était peut être un brin égoïste, mais il savourait tellement ces instants comme celui-ci.
" Tiens donc... tu as remarqué ma douce", fit-il en riant davantage que la première fois. Arès allait s'exécuter quand Aphrodite le stoppa de nouveau. Au niveau des initiatives, elle avait souvent un train d'avance même si Arès s'obstinait à vouloir le nier. Quand elle s'engagea à combler son cou de caresses, il se sentit non pas frissonner mais frémir. C'était une zone très sensible chez lui. Elle lui provoquait quasiment une extase à chaque fois qu'elle déposait ses lèvres. C'était comme si son corps ne répondait plus ou lui répondait trop, il ne savait plus trop. Il la serra contre lui, la pressa doucement pour qu'elle sente chacun de ses frémissements, pour qu'elle sente qu'il était tout à elle. Cette fois, il n'allait pas la frustrer, il n'en avait pas le pouvoir ou plus le pouvoir. Il creusa son dos pour se redresser légèrement et pouvoir chasser celui qui perturbait son aimé. Bougeant les jambes contre les siennes, il sentit venir sur lui un baiser plein de passion. Ses jambes devinrent raides, puis se laissèrent tomber. Son pantalon glissa, il n'était plus... et lui non plus à vrai dire. Oui, il en perdait la raison à la regarder. Ses yeux n'avaient eu de cesse de la regarder. A chacun de ses baisers, il l'avait observée jugeant de cette fièvre qui la poussait son bonheur comme un appel, un ordre imposé à elle même.... A nouveau, il aurait pu le dire, il aurait du le dire... Tout ce qu'il sut dire fut un :
" On est si bien ici..." C'était tellement nul à côté de ce qu'il pensait, il lui caressa la joue... Comment ne pas succomber à cette femme? Comment avait-il fait pour ne pas succomber plus tôt ? A présent, elle se tenait si près de lui. Sa femme comme il l'appelait en dépit de tout titre, oui elle lui appartenait. Cela le rendrait malade qu'un autre reçoive ce même regard, ces mêmes attentions et profite de ce bonheur qui avait un nom : c'était leur passion. La passion n'est pas partageuse, d'autant plus quand on parlait d'un dieu aussi patient qu'Arès.
" On parle de moi... mais dis donc j'ai une longueur d'avance sur toi là on dirait", lui fit-il en prenant un bout de tissu de son haut. Avec tout cela, il n'avait même pas remarqué que pendant son désapage, Aphrodite avait gardé toutes ses affaires, signe qu'elle maitrisait son jeu de charmes sans avoir besoin d'aucun autre attribut.
" Tu es redoutable, je ... le reconnais".
Redoutable... voilà donc un bien étrange mot... Oui, mais bon c'était bien celui qu'il avait employé, il n'allait certainement pas revenir dessus, surtout quand se cachait derrière un bien autre mot.
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Re: time together is just never quite enough. | Mar 18 Nov 2014, 01:50
time together is juste never quite enough.
f e a t ; arès ♥
A
rès et Aphrodite ensemble ? Une union entre l'Amour et la Guerre ? On pouvait facilement comprendre les yeux ahuris qui s'étaient posés sur eux lorsqu'ils l'avait annoncé, lorsqu'ils avaient été pris en flagrant délit. Malheureusement, il n'y avait jamais vraiment eu d'annonce officielle... Et il n'y en aurait certainement jamais... Aphrodite se fichait bien des regards qu'on lui lançait, des avis qu'on lui donnait. Comment ça, quelqu'un de plus délicat ? Arès l'était, il fallait juste avoir la chance de le connaître tel qu'il était, pouvoir apprendre à la connaître sans juger ses actes, ses habitudes, son caractère. Il était parfait comme il était. Un peu embêtant pas moment certes – notre déesse elle même ne dirait le contraire – mais si attentionné et si bon quand on arrivait à l'atteindre réellement, personnellement. Arès était un homme à secret, un homme à apparences. En plus d'une élégance naturelle, il avait appris à construire cette image de gros dur qui le représentait si bien. Aphrodite avait été complètement charmé par cette image, contrairement aux autres. La manière dont il se présentait l'avait touchée, l'avait attirée. Et derrière cette image se trouvait quelque chose d'encore plus grand et plus précieux. Comment ne pas craqué devant un être aussi complexe et aussi... Humain ? Arès défendait tellement de belles valeurs qu'il était difficile de lui reprocher un tel comportement... Aphrodite n'avait certes – et bien heureusement – pas accès à tous les petits secrets de son amant, mais elle connaissait sa vie, ses sentiments, ses ressentis à propos de tel ou tel événement. Derrière cette image de guerrier, derrière ce mec viril et têtu se cachait un cœur, des émotions, une forme de tendresse... Une grande douceur qu'Aphrodite entretenait de mieux qu'elle pouvait. Elle tenait à garder son exclusivité sur cette douceur et cet amour qu'ils partageaient. Finalement, Arès pouvait bien lui dire qu'il était allé voir ailleurs, la déesse de l'Amour savait qu'il ne se comportait jamais de cette manière là avec les autres. Mais bon, cela ne l'empêchait pas d'être jalouse. Pas qu'elle n'avait pas confiance en lui, finalement, mais plutôt... Parce qu'elle avait l'impression que ce genre de discussion était une manière comme une autre de dire à quel point ils s'aimaient. Une manière comme une autre de faire une petite dispute, de se chamailler avant de se jeter dans les bras l'un de l'autre. Donc pour rien au monde Aphrodite ne changerait cela. Elle n'appréciait que très rarement les petites histoires d'Arès, mais... Elle les écoutait tout de même et y réagissait assez bien. Après tout, n'était-ce pas ce qu'il souhaitait, la faire réagir ?
La danse. Cette fois, c'était à mouvement de bassin et caresses sur les bras ou les hanches qu'ils se retrouvaient. Avec l'interruption d'Henri, Aphrodite avait eu l'occasion de mettre un peu de musique pour s'abandonner dans les bras d'Arès le temps de deux petites danses. Oui, c'était bien trop court... Mais n'était-ce pas le but ? Il ne fallait pas que cette activité dure des heures, Madame ne pourrait contenir cette nouvelle énergie qui s'était installée en elle bien longtemps. Mais par plaisir, plaisir de partager un moment tel que celui-ci avec son Arès elle avait pris son mal en patience. De toutes façons, elle les aurait ses lèvres, tout n'était qu'une question de temps. Cependant, elle fut assez amusée de voir que son cher et tendre trouva cette danse trop courte. Alors qu'elle s'en réjouissait presque : elle sentait qu'elle se rapprochait de son but. Elle sentait qu'elle lui appartiendrait et qu'il en ferait de même. Car oui, Aphrodite n'avait jamais pris un malin plaisir à jouer avec Arès. Il lui était souvent arrivée de le faire auparavant. Bien avant de le connaître. Elle cachait sous le mot de l'amour un simple désir de contact. Arès, lui, faisait naître en elle quelque chose de bien plus violent. Une passion sans vraiment de limite, du moment que cette passion était partagée, qu'il était avec elle, qu'il était à la même hauteur qu'elle. Elle ne demandait aucune soumission et ne s’abandonnerait jamais à cette pratique avec lui. C'était tellement bien quand ils étaient tous les deux à égalité. Tous les deux gagnants... Aphrodite profita donc de la danse en se disant que ce qu'elle attendait tant arrivait... Elle savourait ces instants de patience, esquissant un sourire lorsque Arès effleura son dos, ses cheveux. Elle avait envie de le sentir près de lui... Le savait-il ? Oui, oui... Évidement. Elle ne lui montrait que cela à travers des caresses et des attentions particulières. Et tout son corps lui répondait. Tout son corps était réceptif.
Aphrodite n'aurait pas été jusqu'à dire que cela faisait du bien de ne plus danser. Non. Surtout qu'à la fin de cette musique, Arès s'écarta subitement d'elle pour marquer sa colère. Alors elle avait prit la parole, elle avait gardé sa main dans la sienne, l'avait caressée tendrement. Et finalement, il avait comprit ce qu'elle voulait, l'attrapant dans ses bras et retournant s'installer sur le lit avec elle. Il se retrouva au dessous d'elle quelques instants, le temps d’atterrir, de se retrouver. Aphrodite s'était faite petite, n'ayant pas voulue gêner, elle avait basculer sur le côté, redécouvrant à son tour la délicatesse des draps. N'étaient-ils pas bien, ici ? Notre déesse aurait pu passer des heures allongée à ses côtés. Comme ils l'avaient beaucoup fait par le passé. Elle se souvenait de toutes ces fois où elle avait commencé par glisser sa main dans celle de son préféré, puis se rapprochant toujours plus, finissait par être collée tout contre lui et s'endormir. Mais cela n'était pas réellement ce qu'elle avait envie de faire en ce moment même. Tout en appréciant les caresses de son amant, elle mêla une nouvelle fois ses jambes à celles d'Arès. Même si ce pantalon était encore là. Mais ce n'était qu'une question de temps. Tout n'était que question de temps.
« Qui a dit que tu étais prévisible ? » lui demanda-t-elle doucement.
Il est vrai qu'Aphrodite affirmait toujours le contraire. Elle était toujours surprise par son amant. Et dans le cas présent, elle prenait un malin plaisir à profiter de ses belles attitudes. N'était-il pas adorable comme cela ? Viril, assuré, avec un presque air de mauvais garçon ? Il avait complètement compris comment faire fondre sa déesse. Aphrodite ronronnait presque que son de sa voix. Ajouter à cela les quelques caresses de tout à l'heure et elle se sentait déjà partir. Son désir commençait à prendre le dessus sur elle. Elle allait prendre un grand plaisir à se laisser aller. Mais en attendant, il fallait qu'elle retire ce pantalon. Elle s'attaqua d'ailleurs à la tache bien que son amant ne soit pas idéalement positionné. Il avait toujours l'art de lui mettre des bâtons dans les roues. A croire qu'il souhaitait la défier. Elle acceptait tous les défis, elle les relevait tous. D'ailleurs, Arès affichait ce sourire malicieux. Il voulait continuer à jouer ? Aphrodite prit un regard amusé alors qu'elle prenait tout son temps pour ne descendre qu'une simple fermeture et quelques boutons. Elle aussi savait comment le faire réagir. Elle espérait juste que son amant appréciait ces quelques attentions. Mais en vu de ses réactions, elle observait qu'il devait assez bien apprécier cette petite initiative, même si elle ne saurait être menée à bout.
Ne pouvant resté sur un échec, Aphrodite ne se découragea pas et partie à la conquête du cou de son amant. Elle l'embrassa. Parfois délicatement, du bout des lèvres, d'autre fois un peu plus durement... Elle aurait eu envie de le mordre. Le sentir frémir contre elle ne pouvait que lui faire plaisir. Elle savait que c'était sa zone sensible, et c'est bien pour cela qu'elle était passée par ici avant de prendre la direction de ses lèvres. En réponse, Arès retira son vêtement et la serra encore plus contre elle. Il est vrai que du coup, elle n'avait plus besoin d'espace entre leurs corps respectifs pour s'occuper de ce pantalon, alors pourquoi laisser l'air passer ? Surtout que ce pantalon avait finalement fini par être retiré... Au grand bonheur de Madame. Elle s'accrocha donc à lui alors qu'ils échangèrent un des baisers les plus intimes de leur soirée – ou nuit. Ses jambes nues n'arrêtaient pas de se frôler contre celles d'Arès. C'était enivrant, addictif comme sensation. Aphrodite en était toute retournée. Elle ne quittait pas pour autant les yeux d'Arès, bien qu'elle ne le regardait plus avec la même intensité. Elle le dévorait littéralement du regard, à présent. Ils interrompirent ce baiser pour qu'Arès puisse dire qu'il était bien ici. Enfin non, qu'ils étaient bien ici, tous les deux. Aphrodite sourit malicieusement à son tour. La main de son amant lui caressa la joue alors qu'elle le regardait intensément : « est-ce vraiment ce que tu as voulu dire ? » lui demandait-elle en un regard. Elle aurait tant aimé l'entendre. Cela l'aurait certainement fait craquer pour de bon... Mais elle en avait tellement envie. Arès n'avait pas envie de lui céder ce plaisir, il fit donc une remarque très pertinente : comment se faisait-elle qu'elle n'est encore touchée à aucun de ses vêtements ? Elle sentit une pression sur son haut au moment où il lui fit la réflexion. Ce qui la fit immédiatement sourire. Ah, c'était un secret, ça. Elle savait qu'elle était redoutable. Avec autant de malice possible dans ses yeux, Aphrodite prit un ton enjôleur pour répondre à son amant :
« Ah, mais en même temps tu as joué à un jeu dangereux, mon Arès... » Elle marqua une pause, revenant sur ces précédents propos : « En revanche, tu as raison sur un point : il va falloir que je rattrape tout ce retard... Je n'ai pas beaucoup été aidée, moi. »
Son regard de biche quitta finalement celui d'Arès pour observer cette main, la main d'Arès qui avait saisit son haut. Elle esquissa un sourire en ramenant son regard dans celui d'Arès. Elle s'écarta légèrement de lui, saisit sa main et fit en sorte que ce haut passe au dessus de sa tête pour finir quelque part dans cette pièce. Elle avait personnellement veillé à ce que ça soit la main d'Arès qui retire ce haut, et non la sienne. Elle savait de déshabiller seule, elle le faisait tous les jours... C'était plus amusant de le faire à deux... Non ? Si, pour Aphrodite si. Elle voulait jouer. Mais plus dans le même sens. Elle voulait jouer tout en étant à la même hauteur qu'Arès, au même niveau. Elle ne voulait pas de rivalité, juste de la légèreté. Oui c'est cela, de la légèreté. Maintenant, ils étaient tous deux au même niveau, lorsque l'on parle de vêtement évidement. Aphrodite n'avait pas quitté son Arès des yeux. Il suffisait qu'il demande pour qu'elle exécute ce qu'il lui souhaitait. Même si, puisqu'il le demandait d'une manière un peu spéciale, elle répondait de la même façon. Elle finit par se recoller contre lui, collant sa peau contre la sienne. Son souffle commençait à se faire plus dense, lent. Elle tentait de le contrôler, pendant qu'elle en avait encore l'occasion, mais elle se sentait fondre.
Invité Invité
Re: time together is just never quite enough. | Mar 18 Nov 2014, 23:36
Arès se sentait prêt à capituler à tous ses désirs bien qu'il essayait de toujours imposer les siens, ne pouvant décidément pas rester trop passif. Alors qu'ils se répondaient en s'adressant des caresses et des manifestations tendres de leur amour réciproques, Aphrodite lui posa la question qui tue à laquelle il ne répondit que très rapidement entre deux respirations comme si ce mot était rempli d'affects.
" C'est Athéna." Athéna, sa rivale, oui c'était bien elle. Arès n'était pas douilet sur les remarques mais vous comprenez qu'en qualité de rival, il s'intéressait aux remarques pouvant lui être adresser pour s'améliorer et dans un futur proche la battre à son propre jeu. Son côté prévisible, comme elle lui avait énoncé à maintes reprises, lui donnait envie de grincer des dents. En fait, cela dépendait de qui venait le reproche. Sa réaction était en général à peu près identique vu sa fierté mais la conséquence était très variable elle. Enfin, il ne s'appesantit pas à ce constat et retourna vers elle en multipliant les gestes d'affection pour lui montrer qu'il ne tenait pas à épiloguer sur le sujet. Aphrodite voulait une réponse, elle l'avait mais en cet instant ils avaient bien d'autres choses à penser.
La main posée sur ce ventre qui lui avait fait tant de frayeurs, Arès brûlait du désir d'offrir à son aimée une nuit de retrouvailles remplie du désir qui l'animait et le consumait. Il apprécia la faculté qu'avait Aphrodite de s'amuser autour de peu de choses. C'était cette joie de vivre qu'il aimait tout particulièrement, ses attentions, sa générosité et aussi il devait bien l'avouer : le fait qu'il ait un statut particulier à ses yeux. Enfin c'était des critères parmi bien d'autres, il ne se sentait plus lorsqu'il se trouvait près d'elle et aucun mot ne pourrait traduire cela. Quand elle le fixa dans l'attente de ce mot qu'il ne parvenait pas à dire, il ne put que rire et lui faire une pichenette sur le nez.
" Tu t'imagines quoi, toi encore. Ahlalala".
Que ne ferait-il pas pour esquiver ce mot, que ne ferait-il pas ... même avoir l'air d'un parfait idiot lui convenait en cet instant. Enfin, il ne falait pas en rajouter et vite lui faire songer à autre chose. Quand il lui fit remarquer qu'elle n'était pas aussi dévêtue que lui, il sentit que là il n'avait plus le choix. Il l'accompagna dans ce désir mutuel avec fougue et passion. Quelques heures plus tard, après qu'Arès ait voulu déblayer un peu la chambre d'Aphrodite de ses affaires qui trainaient ça et là, il la rejoignit de nouveau pour s'endormir près d'elle. Au milieu de la nuit, il eut comme un souhait brusque et la réveilla sans ménagement, car il n'aimait pas attendre.
" Eros me manque..." Puis il s'endormit, c'était comme un regret nocturne qu'il ne pouvait pas décemment développer. C'était déjà rare qu'il avoue ce genre de chose, il ne fallait pas trop lui en demander tout de même... Il était vraiment très fatigué en cet instant...