Parce qu'il y a tellement de choses à découvrir... Et de rencontres à faire! (Avec Isalyss)

PARCE QU'IL Y A TANT DE CHOSES
A DECOUVRIR ET DE RENCONTRES A FAIRE

On était un vendredi de juillet, le ciel était d'un bleu éclatant, le soleil tapait fort en ce milieu d'après-midi, il fait chaud, lourd, sans un brin de vent. Un temps caniculaire d'avant orage, insupportable qui te donne envie de te foutre à poils cela même dans la rue tellement tu étouffes. Moi j'étais sortie pour déjeuner dans un petit restaurant avec une de mes amies, une des seules personnes de se monde que je dont je pouvais supporter la compagnie H24. Je m'étais bâfrer comme pas deux sous les yeux écarquiller du personnel qui semblait se demander ou je mettais tout ça et pourquoi ils avaient eu la bonne idée de faire un libre service à volonté. J'avais pas ménager les doses entre les ailes de poulets, les frites, les beignet de calamar, les pizzas jambon, merguez, quatre fromage, les escalopes panées ainsi que tartelettes framboise, fondant au chocolat, madeleines et glace vanille ainsi que menthe-chocolat. Bon j'ai pas pris une assiette de chaque non plus, mais en tout cas j'ai peu être malgré tout exagérer. Pendant une bonne heure je suis resté allonger dans l'herbe du parc en me répétant avec conviction " ne vomit pas, tu ne vomiras pas, ton ventre va mieux, aller la prochaine fois tu sera plus raisonnable, promit ". J'ai ensuite réussit à dormir un petit quart d'heure, disons la sieste digestive , avant de me réveiller brutalement quand je me suis pris un ballon de foot appartenant à des gamins haut comme trois pommes. Je me souviens quand grand père faisait la sieste aussi, toujours devant la télé, l'été devant le tours de France, c'est barbant se truc j'ai jamais compris comment des gens pouvait passer des heures dans leurs canapé à regarder des gens faire du vélo. Alors mon p'tit vieux adoré s'endormait là dessus, là j'arrivais en mode ninja sans faire un bruit, je vérifiais qu'il dodotait et dès qu'on changeait de chaîne, PAF, il se réveillait puis râlait " Tu fais quoi là j'étais en train de regarder ! " C'était inquiétant sérieux. Mais bref, ça tout le monde s'en contrefiche. Bon il devait être 16h, j'allais passer à la bibliothèque avant de rentrer chez moi, j'avais un livre à prendre pour les cours, en plus de ça j'avais épuiser ma réserve de livre à lire, aussi fallait que je rembourse le bouquin qui avait brulé sous un de mes coups de colère intense. Bref j'ai remonter les allées du parc puis les rues jusqu'au grand bâtiment du savoir et des lettre. Je suis d'abord passer à l'accueil ou j'ai remboursé mon livre avant de me diriger vers un magnifique rayon de : philosophie. '-' Héhé oui, triste et cruelle vie, même ici on a le droit à cette matière, avec des profs toujours aussi assommant. J'ai pris le bouquin sans y jeter un œil, j'aurais sans doute plus de foi pour le lire la veille de faire le compte rendu. J'étais une élève sérieuse et brillante, j'aimais les études sa veut pas dire que j'aime chaque matière et que je suis exemplaire. Puis je me met en quête de quelque ouvrage intéressant que je pourrais lire à mes heures perdue, pour le plaisir et pendant les cours de philo. Maintenant je cherchais le livre que j'avais vu la fois dernière, je n'avais pas pu le prendre à cause du nombre limite d'emprunt. Je vais voir une employée, lui indique le titre. Elle m'envoie chier. Comment elle fait pour pas se faire virer sérieux ? Je sais qu'il y a plusieurs exemplaires, il doit malgré tout en rester. Mais c'est une caverne d'Alli-baba si grande que ça me tape vraiment sur les nerf de devoir me débrouiller. AU pire je repasserai, je demanderai à quelqu'un d'autre, ou alors je casserai les pieds à cette vieille bique jusqu'à ce qu'elle fasse sont boulot. Je vais poser mon sac ( un sac à dos noir simple mais de bonne qualité ) afin de rentrer les livres dedans. Et là je le vois. Ce gamin blond, qui doit avoir environ mon âge, il l'a le livre que je veux. Non je ne vais pas l'obliger à me le donner je ne suis pas si mal élevée et égoïste. Ne sachant pas trop comment l'interpeler je lui tapote l'épaule. Je suis légèrement gênée de le déranger comme cela, je ne suis pas très douée avec le contact avec autrui.

Heum dit, tu l'as trouver où le livre que tu lis là, je le cherchais et... bah, la bibliothécaire semble plus porter plus d'intérêt à ses magazine de tricot qu'à ses clients.