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 Fais comme l'oi... Ah nan.

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Anonymous
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Fais comme l'oi... Ah nan. | Sam 02 Mai 2015, 22:13

Oubliant carrément le temps, je me laissais porter par le vent en soupirant, sachant très bien où il allait. Les montagnes, à croire que ça amusait, mais non, ce n'était pas tout à fait ça. Je n'avais que faire de ma destination finale, ça me rappelait un film, enfin une série de film qui font plus ou moins peur aux mortels. Je haussais les épaules. Moi ce genre de choses ne me faisais pas la moindre frayeur. Je regardais les ciel de mon œil vert. Pourquoi ce grand imbécile de Zeus m'avait mis cette malédiction. Bordel quoi, ça fait des milliers d'années, il avait prescriptions des faits. Négocier avec le dieu de la foudre, c'était un risque de se faire carboniser les fesses part un méchant coup de tonnerre. Surtout que je vivais presque h vingt-quatre dans les cieux, donc, c'était tout sauf au bonne tactique. Je devait trouver de quoi m'occuper, puis un homme barbu montait la montagne. Le genre d'homme mature comme cousin forgeron, ouais, bon, j'ai plus original comme surnom pour lui, mais là, j'ai la flemme. Donc ça sera celui-là pour le moment. Celui qui voudrait en découdre avec lui se ramasserai une belle déculottée. Je poussais le vent en direction de cette montagne, car à force de planer si lentement, j'allais presque tomber. Je ne chuterai pas, je ne l'avais jamais fait. Puis je me demandais ce que ç ferai de faire un peu mumuse avec ce jeune, excusez du terme, mais pour moi, même un papy est jeune. Bien considérait déjà ces mortels comme presque mort. Si proche des enfers de tonton Dark, s'en était presque triste. Qu'en était-il de ce garçon. Il semblait avoir un visage bien déterminé. Le genre de garçon qui avait un but et ne s'en défaisait pas. Je me grattais le crâne. Bon a la une, a la deux et la trois. Je créeais en l'espace de quelques secondes une rafale de vents assez agaçante pour lui. Bouchant sa vue, lui faisant manger ses cheveux semi-long. Ils étaient bruns, si mon vision n'est pas trop mauvaise. Ce qui bien sûr était le cas être privé d'un oeil ne m'enlevait pas des capacités visuelles à l'autre. Je souriais avant de me poser sur le sol rocailleux. On pouvait voir l'herbe verte toute fraîche du printemps se faire malmené par mon ennui qui cherchait un amusement quelconque. Je ricanais doucement, croisant mes bras sur mon torse. Donc il me restait plus qu'à voir si la mayonnaise montait ou non. Je savais que c'était dangereux, mais que serait être un dieu si on ne jouait pas avec les limites. Rien. Je restais là, attendant ses piques acerbes comme son visage. Comme si j'en avais pas eu assez avec mes proches. Je ne suis pas masochiste, enfin, je crois. Je restais silencieux, me demandant si ce dernier allait me sortir une capacité ou non. Il y avait des capacités offensives et défensives. A mon humble avis, ce mec est un attaquant, plus qu'un défenseur, a vue de nez, il est plus petit que moi.




Anonymous
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Re: Fais comme l'oi... Ah nan. | Dim 03 Mai 2015, 17:46





Storm

FEAT. EOLE & ISKANDAR
La montagne. Ton repaire. Tu y évolues depuis quelques temps déjà. Tu as pris l'habitude des hauteurs. De la morsure du vent et du froid, bien qu'il fasse légèrement meilleur en cette saison. Tu t'es habitué à la solitude dans ces hauteurs. Toi, qui observes ces fourmis ramper depuis les hauteurs. Tu rajustes ta fourrure. Tu avances lentement, t'efforçant d'avancer contre le vent. Tu luttes contre ces bourrasques, avançant laborieusement. Depuis combien de temps avances-tu ainsi ? Tu ne saurais le dire. Mais tu continues à avancer. Sans regarder derrière toi. Sans prêter attention à tout ce qui peut se passer autour de toi. Et encore moins à ce coup de vent, si particulier. Tu mets quelques instants à réaliser que tu n'es pas seul. Tu finis par poser le regard sur le jeune rouquin en face de toi. Tu te raidis, ne comprenant pas vraiment ce qui se passe. Ne réalisant pas vraiment que tu es simplement en face d'un dieu. D'un de ces dieux que tu as fini par tant mépriser. Instinctivement, tu te mets en garde. Tu laisses une flamme naître au creux de ta main, en guise d'avertissement. Tu ne sais pas qui il est, mais tu n'hésiteras pas à attaquer si le besoin s'en fait sentir. Mais déjà cet étrange pressentiment s'empare de toi. Ce serait une mauvaise idée. Mais peu importe. Ce n'est pas comme si tu n'avais jamais eu que de bonnes idées, ou toujours pris les bonnes décisions.

    Qui es-tu ? Et qu'est-ce que tu fais là ?


Serait-il possible que tu aies été suivi ? Tu sais bien que tu n'as pas que des amis en ce monde, et que nombre de gens sont susceptibles de t'en vouloir. Alors tu restes sur tes gardes. Tu gardes un appui solide, prêt à bondir pour frapper. Prêt à déchaîner tes flammes pour le brûler. Ce n'est qu'un gamin isolé après tout. Ou peut-être pas. Mais ça, comment pourrais-tu le savoir ?

une pizza est passée par là




Anonymous
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Re: Fais comme l'oi... Ah nan. | Dim 03 Mai 2015, 19:33

Je suis bien obligé de dire que sur le plan physique, ce mec fait plus mature. J'avais oulà quelues de plus que son âge. Mais bon, c'était ça être un dieu. Même mineur. Celui qui voudrai prendre sa place se prendrait une déculotté assez fatale. Il savait que les mortels défiait souvent les divins en était-il de même pour ce jeune barbu. J'aurai presque envie de me faire pousser cette dernière avant de me rendre compte, que sur moi, c'est moche à en pleurer. Je penchais la tête attendant toujours que papa ours grogne un peu sur moi. Je me compare pas à boucle d'or, je suis un mec et je suis roux, donc hors de concours. Un question simple suivie d'une autre, alors qu'il allait sortir les effets pyrotechnique. Roh, ce n'est pas drôle, moi qui avait envie de lui faire embrasser les rocher de mes pouvoirs, je vais devoir attendre. Je pouvais rire comme pleurer de cette réaction. Je restais un vent silencieux, préparant mes courant d'airs pour me défendre et une téléportation au cas où. Bah oui, je suis peut-être fou, mais suicidaire, non. Je passais un moment comme cela. Jugeant le pour et le contre, puis l'ennui. Celui qui me guettait comme un prédateur poursuivant sa proie.

« Je suis Eole et je passais par là. J'avais envie de voir d'autres horizon. »

La belle blague, j'avais vu pas mal de choses, mais bon certaines se ressemblait. Les mortels er leur cycles. Heureusement avec les technologies tout prenait une tournure différente. Ce qui avait le don de titiller ma curiosité. Je me demandais si mon nom allait lui faire ravaler ses flammes ou l'inverse. C'est fou comme les mortels ne nous respecte plus. Enfin bon, croyant ou pas. Il était bien content de nous citer comme une partie de l'histoire. Moi ce genre de choses m'ennuyait profondément. Je passais une main dans mes cheveux. Car c'était ce que je voulais faire pour le moment. Je m'amusais à spéculer sur une attaque ou non, après tout c'était vraiment particulier toute cette rencontre. Qui aimait la montagne ? A part les alpiniste et les nains dans les romans de la fantasy. Mais même si on vivait dans une monde ou certaines créatures était bel et bien vivante, c'était tout même bien moins étoffé que le genre. Qui avait son propre bestiaire. Comme si les sans-coeurs n'était pas assez pour effrayer les populations.

« Dis-moi quel est ton nom ? Puisque tu connais le mien, il est logique qu'il en soit de même à moins que monsieur veuille m'envoyer une boule de feu, je te préviens, je ne suis pas une cible facile. »

Je riais un peu sur le moment, ce n'était pas le moment de montrer mes capacités. Elles se montrerai que si monsieur à la barbe décidait de faire griller comme un poulet. Tiens voilà que j'ai envie de volaille. Si j'en amenais à ma femme, elle serait peut-être contente. Bien que je devrais sûrement déplumer la bestiole.




Anonymous
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Re: Fais comme l'oi... Ah nan. | Lun 04 Mai 2015, 02:00





Storm

FEAT. EOLE & ISKANDAR
Eole. Tu fermes le poing en entendant ce simple nom, étouffant les flammes naissantes au creux de ta main. Tu gardes les yeux clos un instant. Te voilà donc face à un dieu. Tu ne comptes pas courber l'échine, mais tu ne peux pas te permettre de l'attaquer ainsi de front. Tout serait nettement plus simple si tu pouvais le frapper de dos. Le poignarder alors qu'il ne te voit pas. Mais tu ne peux pas. Et tu n'as guère de raisons de lui en vouloir de toutes façons. Mais en faire un allié ? Hors de question. D'autant que s'il est vraiment à l'image des vents, il sera instable. Impossible à dompter. Et encore moins à maîtriser. Tu te demandes s'il réagirait comme les autres devant une forme de chantage quelconque. Tu essaieras peut-être un jour si tu en as l'occasion, qui sait ? Mais pour l'instant, tu dois faire bonne figure. Tu n'es pas encore en mesure de vouloir te frotter à lui. Tu n'as pas de raisons de le faire. Alors tu gardes ton calme, le fixant malgré tout d'un regard sombre.

    Mon nom est Iskandar. Et nom, je ne tenterai pas de m'en prendre à toi, dieu du vent.


Tu le tutoies sans gêne. Tu ne vas pas non plus t'agenouiller et lui lécher les bottes. Après tout, toi même tu es de sang divin. Alors te prosterner devant une divinité du rang de ta génitrice ? Non, hors de question. Il aurait été question d'un quelconque Hadès, Zeus ou Poséidon, certes. Mais pas ici. Pas cette fois.

    Dis moi, toi qui es un dieu, sais-tu comment se porte ma mère, Némésis ?


Tu lances cela sur le ton de la discussion. Mais tu tiens surtout à lui faire comprendre que toi aussi tu as des ascendances célestes. Tu n'es pas n'importe quel mortel. Tu verras bien s'il te prend au sérieux ou non.
une pizza est passée par là




Anonymous
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Re: Fais comme l'oi... Ah nan. | Lun 04 Mai 2015, 07:34

Je voyais son poing se refermer. La peur était presque palpable. Ou c'était moi qui l'imaginait. Je gardais mon sourire, pas béat, juste dans l'attente d'un mieux ou d'un pire. Ce visage sérieux me promettait déjà des répliques dont je n'avais même pas idée. Comme avec Nayla, ça allait servir d'être un dieu. Je jouais un peu avec le vent, le faisait subtilement changer de direction, le sentant sur moi. Je ne pouvais que me réjouir de ce changement. Je savais qu'il était d’ascendance divine, mais les demi-dieu était pas si rare que ça dans le fond. C'est juste que contrairement à moi, ils étaient mortels. J'avais eu de la chance d'être choisi pour être un dieu. Il me disait son nom, il ne me disait rien du tout. Il affirmait qu'il tenterait rien sur moi. Sur le coup, j'avoue, j'étais un peu déçu. Mais après il y avait sûrement d'autre moyen de s'amuser avec ce mortel. Oui ou non ? Bah on on verra. Qu'il sache quel dieu j'étais gonflait mon orgueil divin. Le tutoiement ne me dérangeant pas plus que ça. Vivre parmi les mortels m'avait appris à être habitué à d'autre langage que le soutenu. Il demandait comment sa mère se portait.

« A mon avis elle doit encore chercher des poux à quelqu'un. La dernière fois que je l'ai vu, elle était pas mal remontée à mon avis c'était aussi à cause d'enfants mortels qu'elle a eu. Tu n'est pas le seul, vu ton âge et l'époque, ce n'était pas toi dont il était question. On peut dire qu'elle va bien. Elle ne change pas. »

Je ne pouvais pas dire autre chose. C'était le genre de maman toujours en pétard. Mais quand même là pour ces enfants, leur mettant sûrement dans le coin de la tête des idées de vengeance. Chaque déesse élevait ses enfants jusqu'à un certain point. L'exception à la règle était bien entendu Déméter qui avait élevé sa fille jusqu'à ce qu'elle devienne elle aussi une déesse. Comme c'est une fille de Zeus, automatiquement, elle se trouvait dans le panthéon. Moi, je n'y était pas. J'arrivais pas à savoir si c'était mieux ainsi ou pas. Je haussais les épaules ne sachant pas plus que ça. Ce n'était comme Arès ou Aphrodite que j'avais vu récemment, mais bon. Une dizaine d'année pour nous divin, c'est si court. Je respirais à fond, me calmant par cette action.

« Tu me fais pas peur, mortel. Némésis est une déesse mineure comme moi, les seuls que je pourrai craindre à la limite, c'est ceux du panthéon. »

J'avais voulu plusieurs fois une place dans ces réunions. Et plusieurs fois, j'étais content de ma position divine. C'était toujours compliqué, c'était sûrement pour mon comportement changeant que je n'avais pas ma place à leur côtés. Va savoir. Je n'étais pas à ça près. Si ces derniers avait besoin de mon avis, je viendrais à eux, tout simplement. Je passais donc un moment à peser le pour et le contre. Oubliant un peu le montagnard barbu.




Anonymous
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Re: Fais comme l'oi... Ah nan. | Jeu 14 Mai 2015, 23:13


 


 
Storm

  FEAT. EOLE & ISKANDAR
Encore en train de chercher des poux aux autres ? Probablement, oui. Vous devez tenir ça de famille. Que ce soit toi, ta mère, ou encore ton père. Mais pour ce qui est d'expliquer cette propension pour le combat et la violence... C'est une toute autre histoire. Tu laisses filtrer un semblant de sourire en entendant cette remarque. Ou plutôt un rictus. D'une part, cela ne te faisait ni chaud ni froid d'apprendre qu'elle ne changeait pas. Tu aurais voulu savoir si elle se souciait un tant soit peu des enfants qu'elle avait laissé derrière elle. Et tu apprends qu'elle est simplement mécontente, à cause d'autres rejetons qu'elle avait pu avoir ? Tss. Tu sens un vague dégoût monter en toi. Tu as beau être fier de ce sang, il n'y a qu'à voir de quels genre d'individus il provient pour comprendre que les dieux deviennent décadents.

Mais tu finis par fermer les yeux. Tu ne peux pas te dresse contre eux. Tu ne peux pas clamer ton droit sur toute chose. Si les gens et les objets peuvent t'appartenir... Si tu peux te les approprier, il est encore des choses pour lesquelles ce n'est pas le cas. Comme par exemple le pouvoir. Tu auras beau en vouloir encore, toujours plus, tu ne pourras pas toujours l'obtenir. Même par la force. Même en écrasant ceux qui le détenaient avant toi. Il te faut autre chose. Quelque chose de plus grand. De plus puissant, quitte à ce que soit instable. Incontrôlable. Tout comme toi. Mais qu'est-ce qui pourrait répondre à ces caractéristiques ? Tu ne sais pas. Et pour l'instant, tu ne dois pas brusquer les choses.


    Et pourquoi as-tu donc besoin de te justifier ainsi, puisque tu prétends ne pas me craindre ?


Provocant. Encore une fois. Même si tu sais qu'il peut t'écraser, tu lui lances cette pique. En espérant qu'il ne soit pas trop susceptible. Tu joues avec ta vie.
une pizza est passée par là




Anonymous
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Re: Fais comme l'oi... Ah nan. | Ven 15 Mai 2015, 09:47

Je savais que mes renseignements, bien que incomplets, avaient le mérite d'en dire plus sur cette déesse obscure, dont je savais finalement pas grande chose. Dans toutes les familles, surtout une aussi grande que les divinités, il y avait toujours des gens dont ignorait tout ou presque. Je ne savais pas si cet homme verrait ça d'un bon œil ou non, le fait est qu'il semblait moins prompt à me sauter dessus en criant comme dans un jeu vidéo qu'il détruirait les dieux. Il fallait que je dise deux mots au créateur de cette série de jeu, avant de me dire que j'avais la flemme de toute façon. J'avais d'autres choses à faire que râler sur quelque chose qui distrayait les mortels. J'avais un parfait exemple devant moi de la hargne à l'état pur. Je l'observait de mon œil qui n'était pas caché, je devais me défendre si on m'attaquait, c'était d'une logique impayable. A ces mots, je haussais simplement les épaules. Je m'étais justifiés tellement de fois que c'était sûrement devenu un réflexe. Mais bon, je pouvais encore changer. Comme le vent. Je jouais avec on élément, laissant cet homme être fier de son attaque verbale. Heureusement, je ne suis pas de méchante humeur, je suis assez relax. J'occupais mon temps à lui parler, jaugeant les capacités cachées de cet homme. Après tout les hommes grimpant sur la montagne se font rare, il était plus commun de voir un avec le pouvoir du vol, si près de sommet.

« Va savoir, la fantaisie des mortels peuvent faire des choses insoupçonnées. Tu ne dois pas être en reste. Qu'importe ce que ta mère est. Les gens d'ici ont tous des capacités. Certains pourront te suivre grâce à ta façon d'être, mais pas moi. Il n'est pas facile de m'avoir. Mais tu dois l'avoir deviné. »

Je riais un peu, ses provocations prenant ou non, tout dépendait de ce que je ressentais en ce moment, pour le moment, le calme. Sachant que je pourrai devenir plus agité par la suite. Je me connaissait bien et heureusement. Je pense que cela serait mal qu'en toutes ces années, j'ignorais de quoi je suis capable ou non. Parfois chiant, parfois protecteur, mais souvent quelqu'un de foncièrement pas méchant. Vivre avec les mortels devait avoir arrondis quelques angles. Je haussais les épaules pour continuer a bouger mes doigts, comme si je jouait sur un piano un morceau improvisé. J'imaginais mal ce que je pouvais jouer, ça ressemblerait à rien. Le rythme serait toujours cassé, jamais le même passant à la douceur à la violence. Je ne suis pas toujours doux, je suis même parfois pas très agréable, mais bon, j'avais conscience de mes failles. Même les dieux sont pas parfaits. Les chrétiens disait que leur dieux l'était, on voyant Zeus, je doutais de cette vérité. Ce qui était paradoxal quand on les écoutait. Enfin, philosopher n'est pas vraiment mon truc.

« La peur est un sentiment naturel, même moi je le ressens. J'admire comme je crains Zeus. Je ne souhaite en aucun cas le ressembler, être unique me plaît bien plus. »




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