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 Et la lumière fut... [ft. Zeus]

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Et la lumière fut... [ft. Zeus] | Mer 03 Sep 2014, 23:22

Tes rayons ne sont pas différents de ceux de l'Astre. Ils ne peuvent traverser ma pénombre et ne peuvent sortir mon coeur de ce carcan de glace dans lequel il repose...

C'était comme si chacun de mes pas faisaient résonner la Terre sous moi. C'était comme si chaque souffle, chaque étape de ma respiration, imposait le vent frais de la soirée sur ces immenses plaines. C'était comme si mon regard, mes yeux, coulaient leur bleu pour peindre le ciel, entre les teintes de rouge et d'orangé qui décoraient toujours le firmament alors que l'astre du jour se couchait. Lentement, l'énorme disque solaire se faisait avaler par la forêt face à moi. Comme des larmes, le bleuté de mon regard envahissait les cieux peu à peu, alors que les heures, les minutes, s'écoulaient, s'égrainaient. Un léger soupire sortit d'entre mes lèvres roses alors que mes paupières se fermaient avec presque une lenteur irréelle. Sous le vent froid, mes cheveux s'envolèrent. Quelques mèches s'échappèrent, rebelles, de mon chignon à moitié décousu, s'écoulant presque avec tendresse sur la courbe de mon épaule et l'arrondi de ma poitrine. Poitrine couverte d'un corset de cuir noir, délicatement brodé de fleurs dorées. Il était rare de me voir porter ce genre de couleur. J'étais plus portée sur le bleu et l'argent. Mais pour cette soirée, qui concluait de nouveau des heures de capture d'âmes, j'avais choisi l'or pour me parer. La longue jupe, noire également, valsait autour de mes chevilles et de mes pieds mis nus, libérés de leur prison de tissu pour apprécier au mieux la douceur de l'herbe verte.

    - Ombre.

Le vautour qui volait au-dessus de moi poussa un hurlement lugubre avant de s'éloigner. Je pouvais toujours compter sur mon affilié pour, dans des moments que je souhaitaient calmes, s'occuper de ma sécurité en m'avertissant du moindre danger, voire en m'en protégeant. Le savoir se portant garant de ma sûreté de la sorte ne pouvait que me rassurer. De nouveau, un soupire doux se fit entendre. Je me posai doucement dans la prairie. Mon regard se fixa sur l'imposant astre qui tombait toujours avec lenteur. Il ne faisait pas encore nuit. Elle ne serait présente qu'une heure plus tard. Mais j'aimais voir ce magnifique spectacle. C'était comme la mort d'un roi. La mort du soleil. Mon esprit vagabonda. Leonidas et ses braves 300 me vinrent de suite en mémoire. Dès que je voyais le soleil se coucher, comme se faisant avaler par la terre, je ne pouvais que songer à cet ersatz d'armée qui avait pourtant tenu tête à des milliers d'homme grâce à l'intelligence d'un roi un peu trop aimant envers son peuple et son honneur. La bataille des Thermopyles, unique, héroïque, qui ravissait mes songes et les murs de mon petit appartement.

    - Leonidas, roi des rois.

J'aimais à l'appeler de la sorte, tout comme j'aimais à me dire que je ne m'appelais pas Leona pour rien. Peut-être étais-je liée, de près ou de loin, à ce magnifique roi. Beaucoup voyaient en lui, en son peuple, un pays de barbares qui ne connaissaient que la guerre, la mort et la souffrance pour prouver qu'ils étaient dignes d'exister. Mais sans doute étaient-ils plus dignes de fouler cette terre que les Grecs, que l'ont pensés à l'époque sodomites et pédophiles. Leonidas avait, à mon sens, plus servi Arès, Zeus et toutes ces déités que les empereurs grecs et romains, à rester allongés et à manger en tripotant les cuisses grasses de leurs putains favorites. Mais sans doute m'égarai-je un peu trop. Mon esprit se reprit quelque peu et je fermai les yeux afin de refaire totalement surface. Être seule, dans des moments comme celui-ci, favorisait mes réflexions. Sans doute Hadès n'aurait-il pas aimé cela, que je doute de son cher petit peuple. Mais Hadès, pour ce qu'il m'avait appris. Oui, il m'avait appris à ne pas me fier aux Dieux, à douter d'eux, de leur puissance, de leurs mots, jusqu'à leur apparence.

Mon sang se figea, comme à chaque fois que je pensais cela. Ma partie divine se rebellait, et voici qu'elle m'envoyait une migraine pour se venger. Perséphone, douce, belle, sensible, terriblement amoureuse de son époux après des années à le détester. Du moins c'était ce qui se disait. Mais pour moi, elle n'avait été qu'une mère qui m'avait abandonné. Pourquoi ? Comment ? Je ne souhaitais aucune réponse à ces questions. Je ne souhaitais que son absence dans ma vie, hors elle était en moi en permanence. Mon père, cet ange déchu qui se laissa aller à faire succomber une déesse, m'avait sans doute plus apporté qu'elle. Mon coeur de pierre en venait pas de ma mère, mais sans doute bien de lui. Et je ne pouvais que le remercier de cela. Avec mon ouvrage à effectuer jour après jour, ces âmes à faucher d'un geste sec, qu'il s'agisse d'un enfant, une mère, d'une grand-mère, un soldat ou d'un criminel. Il fallait sans cesse faire et refaire ce même geste, sans porter la moindre importance aux personnes même. Un coeur trop tendre ne pouvait pas assumer une telle tâche. Seul un coeur de pierre avait ce pouvoir, et donc ce devoir. Seul moi...
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Re: Et la lumière fut... [ft. Zeus] | Sam 24 Jan 2015, 00:14





Leona Ψ Zeus




« Rencontre sous la lune.»
ΨΨ

Un soupire d’exaspéré, s’extirpait des lèvres rosées du grand dieu. Il avait devant ses yeux or, une pile inimaginable de documents contenant des informations sur les problèmes du monde et certaines, de vœux. Sur le côté droit, la pile de documents acceptés et celle de gauche, les refus. Il passait des heures et des heures à regarder avec minutions chaque document avec efficacité, hélas, la pile à vérifier ne descendait pas. Chaque fois qu’une nouvelle pile était complétée, une nouvelle livraison de documents se présentait avec joie, croulant Zeus dans l’ennui imminent. À croire qu’il resterait enfermé à jamais dans ces quatre murs sans jamais revoir la lumière du jour. Trop exaspéré de ce travail, il laissa choir sa tête lourde sur le bureau, collant sa joue contre une feuille dont il n’avait plus la tête à poursuivre la lecture. Un grincement de porte et ainsi que les bruits de pas rapide vers son bureau lui apporta la force de relever la tête pour observer attentivement la nouvelle pile de travail qui s’y rajoutait. Le serviteur offrit un sourire à son roi qui lui, n’avait pas du tout l’envie de faire de même.

- Est-ce la dernière livraison que tu me faites?

-Heu…, je ne pourrais dire…

Il lui fit un sourire timide et comme toute réponse, Zeus laissa tomber de nouveau sa tête sur le bureau. Le jeune serviteur s’approcha doucement du roi en hésitant sur les dires pour réconforter ce dernier.

-Vu le retard que vous avez pris… c’est un bon début! Vous avez fait plus que la moitié du travail mon cher roi, très bientôt, ça prendra fin!

- Si c’est ta façon, d’accuser que ce lourd travail est dû par mes fuites dans le monde extérieur, je crois que c’est mal parti pour me réconforter.
Il leva la tête pour lui offrir un sourire.

- Pour me mettre en colère, tu es sur la bonne voie.
Le serviteur se racla la gorge. Quoi de plus dévastateur qu’un dieu en colère lançant des éclairs de tout côté au point de démolir les alentours? Sous la pression, le serviteur déglutit un rire nerveux avant de déguerpir la queue entre les jambes, façon de parler. Tellement facile, pensait Zeus en s’étirant paresseusement dans son fauteuil. Il n’en pouvait plus de parcourir les documents, il se voyait obligé d’ouvrir grand les yeux pour que ces derniers ne se ferment. Mais pour le moment, l’effort l’avait quitté. À l’aide de ses doigts, il se frotta vigoureusement les yeux tout en émettant un grognement frustré. Imaginer que ce ramassis de travail était dû par ses virées chez le mortel lui donnait un goût amer dans la bouche. Il ne pouvait justement pas accepter qu’on puisse accuser ses actes comme un problème! Les mortels pouvaient se débrouiller seuls pour régler leurs idioties! Ce n’était pas les seuls à vivre des situations fâcheuses, lui aussi il en vit! Pendant un moment, cette constatation hérita le Dieu, jusqu’à ce qu’il souffle. La fatigue du travail n’était point une raison d’éveiller une tempête dévastatrice dans le royaume. Pour remédier à tout ceci, seul le travail acharné lui offrirait la liberté tant attendue.  C’est dans une énergie renouvelée par ses propres encouragements, le travail reprit de la vigueur et dura des heures durant. C’est lorsque la dernière feuille s’installa dans la pile de gauche que le grand Zeus, très productif ce jour-là, poussa un cri de victoire. Et pour être sûr de sa victoire, il tendit l’oreille, aucun bruit, le silence. Une seule réponse à ceci le travaille d’aujourd’hui, était complétée. D’un bond, son derrière quitta le fauteuil désirant annoncer la nouvelle à sa belle Héra, peut-être lui offrirait-elle pour son bon travail quelques délices cette nuit? À cette pensée, un sourire pervers se faufila sur ses lèvres, c’est bien ce dont il aurait besoin après cette journée parmi les écrits.

Un cri perçant arrêta sa course pour y apercevoir son fidèle Fos, les ailes bien ouvertes, fonçant vers le roi. Sans la moindre crainte d’être arpenté par ses griffes puissantes, son bras se tendit accueillant le bel oiseau majestueux. L’aigle royale bomba le torse avant de pousser un nouveau cri vers Zeus, comme si la bestiole était frustrée auprès de son maître qui soit en passant, passait très peu de son temps à s’occuper de lui. Pire qu’une femme en manque d’affection, pensa-t-il.

- Voilà que je sors à peine de mes obligations, monsieur réclame de l’attention?! Que recherches-tu de moi?
Fos quitta le bras et s’installa sur le rebord d’une fenêtre. Son regard perçant se dirigeait vers son cher maitre. Il lui fallait peu pour comprendre son compagnon.

- Tu veux qu’on sorte? Écoute, je suis occupé ailleurs, tu peux y aller seul!

L’aigle continua de le fixer longuement, lui imposant son regard vide ou nul reflet d’émotions ne pouvait y être lisible. Pourtant, le roi connaissait cet oiseau par cœur et ses mimiques agaçants, dans cette force de regard, une réponse à tout ça.

- Bon d’accord, mais seulement pour 1heure.

L’aigle s’éclaffa de nouveau en tirant les ailes, une victoire pour lui. Au lieu de prendre la porte comme feraient des gens bien civilisés, l’immortel fonça vers la fenêtre avant de s’y jeter. Sur le coup, l’aigle cria avant de s’élancer aussi dans le vide. Ça parait fou de se jeter en bas du Panthéon, mais pour un immortel, ce n’est vraiment rien. Le vent caressait son visage dans sa chute vertigineuse, si agréable, Fos qui avait fait pareil, fonçait vers le bas les ailes bien collées à son corps pour prendre de la vitesse et ainsi, rejoindre Zeus dans sa chute. Le maître souriait tout bonnement vers son compagnon qui paraissait aimer cette sortie fracassante. Il avait du bon à avoir un compagnon ailé, ils pouvaient aller n’importe où. La liberté pure et simple! La terre s’approchait peu à peu du champ de vision du dieu, bientôt l’heure de la téléportation se faisait sentir, son aigle brun, heureux de cette chute, se prépara à remonter au moment venu. Sa manière de se déplacer et voler provoquait chez Zeus, un sentiment d’admiration. Cet oiseau gracieux avait de quoi être fier d’être l’un des rapaces le plus habiles dans la vitesse de déplacement, même si certains le surpassaient.

- Prêt Fos?

Zeus se téléporta des cieux pour apparaitre sur le premier terrain de terre en vue, son aigle, pour sa part, il remonta lorsque la terre ferme se trouva à quelques centimètres de lui. Malencontreusement, l’aigle heureux se montra méfiant et vola en direction d’un tout autre oiseau, plus précisément, un vautour. Les deux êtres ailés émirent des cris menaçants, loin d’être une conversation amicale. Fos avait un caractère fort et asocial. Difficile d’accepter les autres créatures, soit il était distant ou agressif. Et cet oiseau allait goûter de son mécontentement. Un bon maître qui se respecte aurait opéré à mettre fin à cette querelle, mais la présence d’une aura divine le préoccupait beaucoup plus. Un vautour dans une région comme celle-ci n’avait pas sa place à moins qu’il soit un familier. Guidé par cette aura divine si familière, elle l’entraina à découvrir une jeune femme couchée sur l’herbe. Sans la moindre gêne, comme s’il en possédait, Zeus pencha sa tête pour ainsi admirer ses yeux reflétant cette douce nuit.

- Salut! Comme ça, on profite du temps?

Fos n’ayant plus l’envie de se battre avec cet oiseau si inférieur à lui, s’envola en direction de Zeus pour s’implanter sur la touffe blonde en pagaille. Tout comme son maître, il pencha la tête vers la jeune femme pour lui souffler un avertissement mécontent. Ça se sentait dans sa voix.

ΨΨ

© Macha



(Je suis un peu rouillé, mais bon. J'espère que ça te plaira ><)




Anonymous
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Re: Et la lumière fut... [ft. Zeus] | Lun 26 Jan 2015, 21:27

Tes rayons ne sont pas différents de ceux de l'Astre. Ils ne peuvent traverser ma pénombre et ne peuvent sortir mon coeur de ce carcan de glace dans lequel il repose...

De mes pensées sortirent des images, qui se mirent à défiler devant mes yeux. Se superposant aux nuages, au ciel de plus en plus assombri à mesure que la nuit prenait ses droits sur les lieux, ces images me ramenaient des siècles en arrière. Des glaives brandis, des cris effrayants, le grondement des pas sur le sol, aussi puissant que le tonnerre de Zeus. La guerre, le sang. La gloire, la fraternité, et le désir de protéger une terre et une famille, un peuple qui avait besoin qu'une épée soit levée pour lui. Un léger sourire naquit sur les lèvres. Je passais sans doute beaucoup trop de temps à songer à ces guerriers qui me faisaient encore et toujours rêver. Je ne savais pas pourquoi, je n'avais jamais su et sans doute que je ne le saurais jamais. Cependant, les Spartes étaient comme des dieux pour moi. Ils avaient combattu le Destin lui-même. Leurs cris et leur courage résonnaient en moi comme un puissant élixir de vie. Je m'étais rendue une fois aux Thermopyles. Je m'étais sentie presque chez moi, alors que pourtant cet endroit avait vu tomber des centaines de guerriers sous le tranche des épées. Et pourtant, j'avais crus entendre un murmure, aussi impressionnant qu'un hurlement poussé à pleins poumons.

Un léger soupire s'échappa d'entre mes lèvres douces. J'aimais tellement me perdre dans ces pensées, dans ces rêves. Ils me faisaient oublier que j'étais une demi-déesses, et me rappelaient que potentiellement j'avais un coté humain. Mon père avait sans doute été homme avait de terminer ange, du moins l'espérai-je. Les hommes, les créatures les plus nobles de cette planète. Certes, beaucoup étaient empattés dans la mauvaise foi, les pires sentiments qui soient. Mais les quelques âmes pures, qui voyaient la bonté et qui débordaient de générosité valaient la peine que l'on se batte pour eux. Je me sentais protectrice de ce peuple.

Mais alors sous mes yeux, alors que Léonidas criait à ses hommes de partir à l'assaut, le visage du grand roi se flouta au profit d'un visage beaucoup plus fin et jeune, décoré d'une belle chevelure dorée. C'est alors que j'entendis le piaillement furieux de mon affilié. Je me redressai et fixai l'arrogant aigle posé sur la tête du jeune homme face à moi.

    - Ombre.


Le vautour arriva et se posa sur mon épaule. Il avait perdu quelques plumes. Je foudroyai du regard le rapace responsable de cela, mon Aura glaciale se faisant légèrement plus présente autour de moi. Comme une carapace. Il fallait que je me protège, je n'avais plus le droit de me faire avoir comme j'avais été naïve avec Hadès. Revenant au jeune homme, je constatais seulement maintenant qu'il n'était pas humain. Il avait une Aura chaude, presque solaire... C'était étrange. Apollon était blond, certes, mais me semblait-il que je l'avais déjà vu et que ce n'était pas lui. Autant oublier que son rapace de malheur avait emplumé le mien. Un léger sourire s'inscrivit sur mes lèvres.

    - Bonsoir. Effectivement. La nuit a quelque chose e réconfortant, du moins est-ce mon avis... Je ne pensais pas croiser quelqu'un ici à cette heure. Mais de la compagnie vaut mieux que la solitude, si la compagnie est bonne bien entendu.


Autant ne pas gâcher ce début de soirée. Je n'étais pas du genre à me lier très facilement avec les gens, surtout les beaux parleurs. Mais j'avais une horreur des gens qui jugeaient sans connaître, alors peut-être que cet éphèbe aux allures du dieu soleil allait m'apporter quelques bonnes surprises. Si j'oubliais son aigle qui avait l'air toujours aussi prétentieux. J'avais un peu peur tout de même, j'avais entendu dire que les affiliés étaient souvent le miroir de leurs maîtres. Car oui je savais bien que cet aigle était le compagnon du jeune homme blond près de moi.

    - Savez-vous que le lieu où nous nous tenons a été utilisé pour de nombreux mariages ? Il parait qu'il a été béni de nombreuses fois. Peut-être est-ce la raison pour laquelle je n'ai jamais croisé d'ennemis ici... Dites-moi, que venez-vous chercher dans cette plaine ? Hormis le calme qu'elle peut apporter à tout un chacun, bien entendu. Et ne me dites pas que c'est mon joli sourire, je n'y crois plus depuis une bonne vingtaine d'année.


Je lui fis un petit sourire amusant avant que mon visage ne retrouve sa neutralité. J'avais une manière bien à moi de détendre l'atmosphère, mais je n'étais pas douée pour me lier et pour parler, tout simplement. Je n'étais pas le genre de femmes qui gloussaient à chaque compliments et qui roucoulaient comme les dernières des dindes. Méchante, moi ? Non, juste réaliste. Enfin du moins était-ce la vision que j'avais de la réalité. Je m'assis convenablement, face à mon interlocuteur. Malgré mon attitude quelque peu... étrange, je devais avouer qu'il attisait ma curiosité. Rien que le fait de voir quelqu'un ici attisait ma curiosité de toute manière. En espérant que nous nous entendions bien tous les deux.
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