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 draw me a tiger » Valentine&Aria

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draw me a tiger » Valentine&Aria | Lun 16 Juin 2014, 21:53


VALENTINE - ARIA

Valentine passa une main dans sa longue tignasse blonde tandis qu'elle observait le mouvement de foule, les yeux brillants. Tous ces gens réunis dans cette place autour de ce musicien, c'était impressionnant! C'était coloré, vivant, joyeux, la mordue aimait beaucoup la ville de Chloris, tellement qu'elle y passait beaucoup de temps ne serait-ce que pour peindre les vastes étendues de fleurs, marchander avec des commerçants le prix de certains tissus pour ses robes, trouver des clients, jouer ou chanter pour attirer des gens. Il fallait dire que la fille d'Aphrodite passait rarement inaperçue, ne serait-ce qu'à cause de son magnifique regard vert saisissant ou sa longue chevelure blonde aussi soyeuse que celle de sa déesse de mère. Le rose aux joues, elle observait d'un air joyeux tous ces visages d'enfants émerveillés devant cet homme d'âge mur qui jouait de la guitare tandis qu'un autre plus jeune chantait d'une voix suave et ensorcelante, vraiment, l'île de Sanctuary regorgeait de surprises! La vampire mordue était tombée sur le bon jour pour faire une balade dans les rues de la ville fleurie bénie de la déesse Démeter, car il faisait beau sans que ne règne une chaleur étouffante dans les rues; un temps parfait contrairement aux derniers jours.

Valentine était vêtue d'une chemise à flanelle blanche qui faisait ressortir ses yeux vert intense, et portait un jean clair accompagné de sandales blanches, sans oublier le sac vert clair pour clôturer en beauté la tenue. C'était indéniable; Valentine savait parfaitement s'habiller et se mettre en valeur. Après tout, il fallait s'y attendre; sa mère était bien Aphrodite la déesse de l'amour et de la beauté, qu'elle sache mettre ses atouts en valeur n'était pas très étonnant. Elle était naturellement belle, n'avait pas besoin de maquillage pour être attirante contrairement à ces filles qui masquaient leurs boutons sous des tonnes de fond de teint. Enfin, toutes ces petites choses qu'elle avait héritée de sa bien aimée mère, déesse de l'amour et de la beauté, bien souvent représentée de la colombe, cet animal si gracieux. La vampire passa une nouvelle fois sa main dans ses cheveux tandis que son affilié, Pascal, perché sur son épaule, se lovait dans ses cheveux sur le haut de sa tête, attirant ainsi le regard de quelques enfants.

Emportée par le duo qui jouait un morceau qu'elle ne connaissait pas, la blonde se dit que ces deux hommes avaient un réel talent. Ils vivaient leur musique, se laissaient aller dans leur bulle, c'était des virtuoses digne de la bénédiction d'Apollon, vraiment. Si même Valentine était bouche-bée, c'était qu'ils étaient doués, à coup sûr. Ils ne se contentaient pas de chanter et jouer machinalement, ils racontaient une histoire, faisaient vivre des choses aux spectateurs; et ça ce n'était pas donné à tout le monde. Quand le duo termina sa chanson, elle fut la première à applaudir et à laisser une poignée de drachmes aux artistes qui la remercièrent, puis elle disparut dans la foule.

[***]

La jolie jeune blonde était maintenant assise sur un banc, à observer des fleurs tandis que son affilié dormait à poings fermés sur sa tête, dans une position tout sauf naturelle. Soudain, son attention fut attirée par une belle jeune femme à la chevelure d'un blanc immaculé. Fascinée, Valentine ne disait rien et l'observait sur le banc d'en face caresser un tigre blanc qui devait très certainement être son affilié. Il était bien connu que sur cet île les affiliés pouvaient être... encombrants. La scène était tellement irréelle et magique que l'artiste en herbe ne put résister à l'envie de les dessiner. Sans troubler le silence -ce qui était rare- la vampire enfantine se mit à tracer les silhouettes avec précision et netteté, traçant arabesque sur arabesque. Elle était plongée dans sa bulle, dans ses pensées, et rien ne l'en sortirait tant qu'elle n'aurait pas terminé.

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Aria S. A. Ashcrown
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Re: draw me a tiger » Valentine&Aria | Dim 22 Juin 2014, 17:20

Draw me a tiger


Valentine & Aria




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Dans chaque métier, il y avait des aspects passionnants et d'autres moins, qui variaient selon les individus. Cela signifiait que, quelque soit celui qu'on choisissait, nous devions accepter les points que nous jugeons négatifs comme une contrepartie, un compromis. Sinon, comment pourrions-nous bien trouver notre voie ? La chercher en se basant sur le fait que rien ne devait nous y déplaire, c'était se condamner soi-même à rester immobile, sans savoir que faire de son avenir, car ce serait partir en quête d'un Idéal – de quelque chose qui n'existe pas. On aurait beau être attiré par un chemin, si les quelques épines qui y sont visibles suffisent à nous freiner, c'est que nous ne sommes ni déterminé, ni courageux. Et si en prime on espérait qu'il n'y aurait jamais ces obstacles, c'est qu'on n'avait aucun sens des réalités.
Aria était du genre à avoir un peu trop conscience de toutes ces ronces jonchant chaque parcours qu'on pourrait emprunter. Mais loin de penser qu'il devait bien exister une autre voie parfaitement sauve, elle restait tétanisée devant ses différents choix en se demandant si elle serait capable d'aller jusqu'au bout, si elle aurait la résolution et la force nécessaires. Elle serait pleine d'incertitude, mais celle-ci porterait plus sur ses propres capacités que sur le choix qui se présentait face à elle.

C'est pour cela que, quelque part, la Ashcrown se jugeait chanceuse d'avoir une ligne toute tracée devant elle. Son destin était d'hériter de l'entreprise familiale, même si elle n'était pas la fille légitime du chef actuel. Seulement sa nièce, qu'il avait eu la bonté de prendre sous son aile, alors qu'elle aurait très bien pu finir morte de faim dans un coin de rue sombre et délabré si elle n'avait pas atterri dans ce jardin.
Si son oncle Eril n'avait pas faite d'elle son héritière, sans doute que la demoiselle se serait retrouvée dans une situation délicate : choisir sa propre voie. Sauf qu'elle serait restée un long moment tétanisée devant les portes lui faisant face, incapable d'en pousser une, d'oser s'aventurer dans le couloir qu'elle cachait. Ou en tout cas, pas plus que sur quelques mètres. Une voix lui aurait dit qu'il lui fallait bien avancer, l'autre que c'était seulement ce que la société voulait, qu'il ne fallait pas se sentir obligé de s'y plier. Et même si Aria avait principalement écouté la voix la plus sage, son pessimisme l'aurait empêchée de se lancer dans quoi que ce soit sans s'imaginer finir ridiculisée à vie, honteuse de son propre échec et de son incompétence. Sa propre faiblesse l'aurait consternée et elle aurait fini par s'asseoir là, en boudant tout en se disant qu'au final, qu'importe ce qu'elle ferait, ça reviendrait au même. On finit par se lasser de tout, les bonnes choses y compris, alors trouver sa passion et se lancer dedans ne la motiverait que quelques années. Pour un sang-pur capable de vivre des siècles et des siècles, cela ne représentait rien.

Bref, Aria était la première à dire que personne ne pouvait nous faire avancer à notre place, mais lorsqu'il s'agissait de prendre sa vie en main c'était une autre histoire. Ne pas avoir eu à décider de son futur, voilà qui était parfait pour elle. Quelle hypocrisie, vraiment ; mais n'était-elle pas un condensé de contraires, une sorte d'aimant qui reste statique, à être partagé entre charge positive et négative ? Une contradiction de plus ou de moins, quelle différence ? Bien qu'elle jugeait en avoir assez comme ça, qu'est-ce que cela changerait au fond ? Ah, tous ces opposés devraient tout bonnement s'annuler les uns les autres et ainsi disparaître, mais au lieu de cela ils ne faisaient que s'empiler, tentant de l'étouffer sous leur poids.
Mais je m'égare. Si j'ai abordé le sujet du travail, c'était parce que notre vampire aux cheveux clairs était justement en déplacement professionnel : son père adoptif l'avait envoyée se charger de la visite régulière aux deux magasins que l'entreprise possédait à Chloris. Elle s'était tout d'abord occupée du plus gros, qui lui avait pris beaucoup moins de temps que prévu. Et même si la visite du plus petit se prolongea (étrangement ce n'est pas forcément les plus importants qui ont le plus de soucis), elle finit son tour bien plus rapidement que prévu. Autant dire qu'elle n'allait pas s'en plaindre, ce genre de visites se soldait en général soit par un ennuyeux « tout va bien », soit par un souci barbant.

Du coup, Aria avait un peu de temps libre. Et pour l'employer, elle ne trouva rien d'autre à faire que de se balader dans la ville, vêtue d'une robe bleue et blanche assez simple qui lui descendait jusqu'aux genoux sans lui serrer le corps ainsi que de chaussures à talons.
N'ayant aucun but en tête, elle se contenta de flâner pendant un long moment. À ses côtés son affilié humait l'air, obstiné par toutes les odeurs qui y flottaient. Il faut dire qu'ici l'omniprésence des fleurs faisait régner un doux mais omniprésent parfum de printemps, quelque soit la saison. La jeune femme plaignaient ceux qui naissaient ici en étant allergiques au pollen. Elle-même avait la chance de ne pas l'être, c'était tant mieux car elle appréciait Chloris. Tout comme la saison de la renaissance qu'elle symbolisait, cette ville dégageait une vraie fraîcheur, une joie de vivre, une sorte de douce euphorie. Les gens y étaient agréables et souriants, respectueux des autres et de la nature. La pureté qui régnait ici était accompagnée par des accords de musique dont chaque note semblait porter un message : on aurait dit qu'elles avaient leur propre volonté, alors qu'en fait, ce qu'elles nous transmettaient étaient les sentiments de ceux qui les produisaient. À chaque fois qu'elle venait, elle pensait que Chloris était vraiment parfaite pour se reposer et vivre dans le calme.

Après une bonne heure passée à déambuler lentement entre les rues (encore une différence avec d'autres villes, ici on ne se faisait pas marcher sur les pieds parce qu'on voulait avancer à notre propre rythme) en s'arrêtant de temps en temps pour contempler une vitrine ou écouter des musiciens jouer, Aria se posa sur un banc en regardant les gens passer. Son affilié s'assit à côté, par terre, et vint quémander quelques caresses de sa truffe fraîche. En sentant ce contact familier sur sa main, elle avait baissé le regard vers lui avant de commencer à lui caresser la tête, un léger sourire sur le visage. Habituellement la sang-pur n'affichait pas d'expression en public, ou du moins pas d'aussi douce, mais dans cette ville à l'atmosphère si chaleureuse et maintenant qu'elle était dans une bulle, elle se le permettait inconsciemment.
Elle continua un moment, tantôt le caressant, tantôt le grattouillant. Quelques fois elle levait le regard pour le faire glisser sur les alentours, pour mieux s'imprégner de l'ambiance. A un moment, une femme à la magnifique chevelure blonde prit place sur le banc d'en face, de l'autre côté de la rue. Sa beauté était frappante mais, ce qui attira le plus son attention, c'était que cette inconnue... Semblait les dessiner, elle et Regulus.

Aria haussa sensiblement un sourcil en remarquant cela. Puis elle courba légèrement la nuque pour porter de nouveau son attention sur son tigre, en faisant mine de n'avoir rien vu. Cependant, elle s'adressa à voix basse à son partenaire, qui se leva pour disparaître dans la foule. Elle-même ne bougea pas immédiatement : elle attendit que son affilié soit presque dans la ruelle située derrière la demoiselle blonde pour cela, puis se dirigea vers elle, tandis que son ami félin l'approchait silencieusement mais rapidement par derrière. Au moment même où Stella s'arrêta, il se dressa sur ses pattes arrières pour poser celles d'avant sur les épaules de la dessinatrice, en faisant attention à ne pas les broyer sous son poids, mais en lâchant un petit grognement. Effet de surprise garanti.

-Ça, c'est pour avoir eu l'idée de nous dessiner à notre insu, dit-elle alors que Regulus revenait à ses côtés et qu'elle portait une main vers son imposante tête. Puis elle continua en conservant un calme peu chaleureux. Je n'ai rien contre l'art, mais je préférerai encore qu'on me prévienne. Quitte à faire ce qui vous chante après, au moins vous feriez preuve de politesse et éviteriez une erreur telle que mettre une personne timide dans l'embarras. Ou peut-être aviez-vous peur que je vous demande à voir le résultat final ?




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Re: draw me a tiger » Valentine&Aria | Lun 30 Juin 2014, 11:45


VALENTINE - ARIA

Valentine dessinait rapidement et avec précision chaque trait du paysage et du visage de la jeune femme à la chevelure claire, en train de caresser son affilié très certainement. La fille d'Aphrodite traçait arabesques et courbes d'une main experte reportant sur la feuille de papier vierge les émotions et les sentiments visibles de son 'modèle' sur cette feuille blanche. Pascal somnolait paresseusement sur sa tête, observant d'un oeil endormi sa liée dessiner, comme à son habitude. La belle vampire avait pris l'habitude d'avoir toujours dans son sac un bloc de feuilles et des crayons pour dessiner, elle s'occupait de la mise en couleur chez elle. L'air concentré, enfermée dans sa bulle, la fille d'Aphrodite continuait de dessiner les deux liés sur le banc d'en face, sans remarquer le tigre blanc qui s'était levé et avait disparu dans la foule, suivit plus tard de sa liée. Elle ne s'en rendit compte que quand elle releva les yeux pour vérifier la proportion du nez de la fille; ils avaient disparu. Un peu déçue, elle s'apprêtait à continuer tout de même le dessin quand un poids lourd se fit sentir sur ses épaules, elle poussa un petit cri strident; « AAH. » Portant une main à son coeur et fermant les yeux, elle vit que ce n'était 'que' le tigre de la femme à la chevelure claire qui l'avait prise par surprise. Bon sang, si elle avait eut son épée avec elle, ce félin aurait terminé en brochette! Une chance qu'elle ne prenne pas toujours son arme avec elle.. Posa son crayon sur le bloc qui était lui-même posé sur ses genoux, elle écouta la jeune femme parler. Ah, d'accord, elle n'avait pas l'air très coopérative. Quand elle dit que c'était peut-être parce qu'elle avait honte, Valentine faillit éclater de rire mais elle se contenta de répondre; « Oh non, ce n'est pas ça! » Elle, avoir honte de montrer le résultat final de ses oeuvres? Ahahah, c'était mal la connaître; elle n'avait jamais honte de ce qu'elle faisait. La fille d'Aphrodite rangea le crayon et le bloc dans son sac puis croisa les jambes, jaugeant son interlocutrice de son beau regard émeraude. Pascal, sur sa tête, la fixait en plissant les yeux encore méfiant à son égard. Elle continua sur sa lancée; « Seulement, si je vous avais prévenue avant, vous auriez su que vous serviez de 'modèle' et donc l'échange avec voter affilié n'aurait plus rien de naturel et spontané. » Ce n'était pas si compliqué à comprendre.

Valentine replaça une mèche de sa longue et épaisse tignasse blonde derrière son oreille, puis elle conclut subitement; « Et ça aurait donc perdu tout son charme, vous comprenez? » La vampire était une artiste, elle dessinait et représentait tout ce qui, selon elle et son instinct, méritait d'être reproduit et dévoilé à un public. L'amour, l'affection, la haine, la tristesse, la solitude, la douleur, le manque, la hargne, le sang, la violence, tous ces sentiments, ces émotions, ces façons d'être. Selon elle, toutes ces choses méritaient d'être montrées, ce qui rendait sûrement ses oeuvres différentes des autres artistes de l'île et faisait sa renommée. Enfin, elle n'était pas une star de l'art non plus, mais elle commençait à se faire un nom petit à petit. Elle ne faisait pas que du dessin, toutes les branches d'art étaient de son ressort; la danse, la peinture, la musique, le chant, la sculpture et j'en passe! Alors si cette femme ne comprenait pas ce qu'elle disait, c'était très certainement qu'elle n'avait aucun sens artistique. Ou que c'était vraiment quelqu'un de fermé d'esprit, très très fermé, genre comme une boîte de conserve. *Je crois plutôt qu'elle veut ta peau, Val'.* C'était Pascal qui venait de lui lancer ces paroles mentales d'un ton hargneux, jaugeant d'un air toujours aussi méfiant et coléreux la jeune femme. D'une douce pichenette sur l'arrière-train, la jolie vampire le calma et il secoua la tête pour se rouler en boule et piquer un énième somme. Ce lézard dormait beaucoup en ce moment, Valentine commençait à s'inquiéter un peu pour sa santé, elle ne se doutait pas que son affilié était seulement un gros flemmard qui dormait tout le temps. *Oh toi, chut.* Il ne dut pas l'entendre car il avait déjà commencer à ronfler doucement, cette loque à écailles.

Valentine reposa son magnifique regard pétillant sur la jeune femme qui se tenait devant elle, froide et dure. Les vampires s'opposaient parfaitement dans leur façon d'être, difficile de croire que c'était en fait Valentine la plus âgée des deux immortelles. La fille d'Aphrodite aurait très bien pu jouer l'adolescente surexcitée face à cette femme inconnue qui aurait pu jouer la mère agacée. Ayant été mordue à ses dix-sept ans par un vampire dans les rues de Paris, Valentine avait gardé la morphologie de son adolescence. La demi-déesse se redressa et s'adressa à nouveau à la jeune femme; « Enfin, si ça vous dérange, je peux le déchirer devant vous si vous le voulez? » Elle parlait bien évidemment du dessin. Tout paraissait tellement simple avec Valentine, elle ne se perdait jamais dans des gestes et des paroles inutiles, allait toujours droit au but. Il était très étonnant de voir un artiste proposer à quelqu'un de déchirer une de ses oeuvres, mais cette femme était son modèle, et si cela la mettait mal à l'aise ou ne lui plaisait pas, elle n'avait pas le droit de continuer son projet. Quitte à détruire une de ses oeuvres.

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Re: draw me a tiger » Valentine&Aria | Sam 09 Aoû 2014, 15:09

Draw me a tiger


Valentine & Aria




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Aria n'était pas une grande amatrice de peinture. On avait bien essayé de l'y intéresser (après tout elle faisait partie d'une riche famille), mais elle n'y avait pas pris goût même en écoutant les commentaires de certains connaisseurs passionnés. Oh ils étaient vraiment intéressants quand ils parlaient, elle appréciait voir admirait l'énergie dont ils faisaient preuve, mais ne partageait pas leur enthousiasme devant les tableaux. Bien sûr cela ne signifiait pas qu'elle considérait ces œuvres comme insignifiantes ou inutiles, la demoiselle respectait le travail et le talent des peintres ainsi que la passion que leurs créations suscitaient, mais cela n'allait pas au-delà. En l'envoyant à une exposition, vous ne la rendriez pas heureuse. Si vous faites partie de cette catégorie de gens qui, au contraire, pourraient y mourir en paix, ne la traitez pas d'hérétique ; comme on dit, chacun ses goûts. Et puis elle n'est pas complètement immunisée contre l'art (par exemple la vampire serait parmi les premières à reconnaître le génie d'une toile), c'est juste qu'elle préfère encore lire. Cela suscitait bien plus de choses, la prenait bien plus par les sentiments. Elle s'identifiait aux personnages, les accompagnait presque dans leurs aventures. Autant dire que tenter de lui adresser la parole alors qu'elle était plongée dans sa lecture n'était pas une bonne idée, soit elle ne vous entendait pas soit elle risquait de vous renvoyer de manière désagréable.

Enfin bref, là n'était pas vraiment le sujet. Ce qui préoccupait Aria actuellement n'était pas une invitation à une exposition ou sa recherche désespérée d'une bonne excuse pour y échapper, mais plutôt le fait qu'on avait décidé de la prendre pour modèle. Non pas au sens figuré du style quelqu'un voulait devenir comme elle (si cela avait été le cas, elle aurait déjà dit à la personne en question que ce n'était pas une bonne idée), mais au sens propre : on était en train de les dessiner, elle et Regulus. Et quand elle le remarqua, plusieurs questions se bousculèrent. Devait-elle en être flattée ? Faire comme si de rien n'était, esquisser des grimaces sans y parvenir parce que les muscles de son visage n'en ont pas l'habitude ? Aller voir le rendu, ou bien saluer la peintre ? L'héritière ne savait pas trop que penser ou faire. Après tout c'était une situation inédite pour elle, qui de par sa prudence ne s'éloignait que rarement des sentiers battus. Elle ne cherchait pas spécialement à faire de nouvelles rencontres ou à vivre de nouvelles aventures, soit parce qu'inclure de nouvelles personnes dans son cercle de connaissances signifierait augmenter les risques qu'on se serve d'elle ou qu'on la trahisse, soit parce qu'elle n'appréciait pas spécialement les sensations fortes – elle sortait souvent la nuit pour se balader en ville, mais ses prises de risque allaient rarement plus loin. Elle, coincée ? Ce serait mal la connaître, voyons...

Au final, notre Ashcrown choisit de se montrer désagréable. Non seulement elle s'arrangea pour lui flanquer l'une des frousses de sa vie grâce à Regulus mais, en plus, elle employa un ton peu amène en l'abordant. Autant dire qu'elle-même n'aurait pas apprécié qu'on se montre aussi cassant envers sa personne, le souci était justement qu'être cassant était devenu une sorte d'habitude, de seconde nature pour elle. Vive les contradictions. M'enfin, cette hypocrisie se retrouvait chez beaucoup de monde – dire cela n'arrangeait rien, mais on avait toujours moins l'impression d'être dans le tort quand on savait que d'autres faisaient la même chose que nous.
Quoi qu'il en soit, Stella s'attendait presque à ce que l'inconnue à la longue chevelure blonde ne s'offusque. Une personne de plus ou de moins frustrée par ses paroles ne ferait pas de grande différence, au point où elle en était. Mais étrangement, son interlocutrice eut plus l'air amusée qu'autre chose – encore de quoi la surprendre, voir la décontenancer. Elle expliqua tranquillement ses raisons qui, sa foi, étaient valables. Si la sang-pur avait su qu'on la dessinait, elle ne serait probablement même pas restée assise à sa place, sans parler de continuer à caresser Regulus en souriant, un air doux sur le visage. Ce n'était pas le genre d'expression, ni de comportement qu'elle acceptait de montrer facilement, alors laisser quelqu'un les immortaliser était trop lui demander.

Ensuite, sa vis à vis donna une pichenette au lézard posé sur son crâne et déclara qu'elle pouvait déchirer son esquisse si c'était son souhait. Décidément elle ne cessait de l'étonner, c'était une mesure assez drastique que la blondinette suggérait de son propre chef là. Aria fronça légèrement un sourcil en se demandant un instant si cette proposition était sérieuse, avant de choisir de la croire. Ne pas douter de tout et tout le monde, parfois, ça faisait du bien – et ça la changeait de ses habitudes.

«  Ce ne sera pas nécessaire », dit-elle en accompagnant ses paroles d'un mouvement négatif de la tête. « Vous m'avez l'air d'être une personne respectable, ainsi je ne vous demanderai pas de détruire l'une de vos œuvres, même incomplète. »

On sentait à son ton et à ses épaules rabaissées qu'elle était plus détendue. Si l'immortelle l'avait tout d'abord trouvée quelque peu impolie de la prendre pour modèle ainsi, petit à petit elle faisait la part des choses. Cette jeune femme n'avait aucune mauvaise intention, cela se sentait. D'ailleurs, une certaine joie de vivre se dégageait de son regard pétillant. Cela la mettait à l'aise, de manière surprenante mais avec assez d'efficacité pour qu'elle ne se contente pas de repartir maintenant.

« Je m'appelle Aria – elle baissa un instant le regard vers son affilié, qui poussa une sorte de grognement proche du ronronnement quand elle le présenta – et voici Regulus. Pardon de vous avoir fait peur. » Elle marqua une courte pause, un temps d'hésitation, avant d'enchaîner. « Me laisseriez-vous voir votre dessin ? Je dois avouer qu'il m'intrigue. »

Après tout ce n'était tout de même personne d'autre qu'elle sur cette toile, alors oui le dessin l'intéressait tout de même un minimum, il n'était pas nécessaire d'être égocentrique pour cela.




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Re: draw me a tiger » Valentine&Aria | Mar 19 Aoû 2014, 22:13


VALENTINE - ARIA


La vampire à la chevelure claire dit donc à Valentine que ce n'était pas la peine qu'elle déchire sa toile; sans pour autant le montrer sur son visage, la fille d'Aphrodite en était heureuse; déchirer son dessin lui aurait quand même fait mal au coeur, mais elle aurait été prête à le faire si cela dérangeait tant son interlocutrice.. ce qui à son plus grand bonheur n'était pas le cas. La jeune femme ajouta ensuite à l'intention de Valentine qu'elle semblait être une personne respectable, ce qui fit sourire poliment la jolie vampire qui piétina sur place, peu habituée à ce qu'on lui dise cela. En général on lui lançait au visage qu'elle était une gamine immature et surexcitée, donc bon.

La belle demi-déesse mordue était contente de voir son interlocutrice se détendait au fur et à mesure de leur échange. Elle en était même venue à lui donner son nom; Aria. Aria, Aria, ça sonnait bien, et puis ça allait bien à la femme aux cheveux blancs. Juste après, elle lui présenta son familier qui se nommait Regulus. Un sourire tendre se dessina sur les lèvres de la jolie blonde quand le familier d'Aria poussa une sorte de ronron en entendant son nom; Pascal lui restait résolument perché sur sa tête, méfiant. Rah, ce caméléon était pire qu'un policier quand il le voulait.

Puis, une fois les présentations passées, Aria lui demanda si elle pouvait voir le dessin que la fille d'Aphrodite venait de faire. Valentine cligna des yeux d'un air surpris; alors ça, elle ne s'y attendait pas du tout. La surprise passée, elle hocha de la tête et dit avec un large sourire à Aria, le regard pétillant d'une joie enfantine;

« Bien sûr! »

Elle tourna quelques secondes le dos à Aria, pour aller fouiller dans ses affaires. Pendant quelques secondes, elle n'eut pas besoin de farfouiller longtemps dans son sac; il était au-dessus de tout ce qui se trouvait dans son sac étant-donné qu'elle l'avait rangé en vitesse après que Regulus lui eut sauté dessus -son coeur battait encore un peu trop vite à son goût d'ailleurs-. Une fois que la fille d'Aphrodite tint le papier sur lequel était dessiné le portrait des deux liés, elle le tendit à Aria en posant sur elle son regard chaleureux, puis elle lui dit d'une voix toute guillerette;

« Voilà! »

La vampire mordue attendit que son interlocutrice prenne le dessins qu'elle venait de lui demander, puis elle attendit sa réaction. Elle ne savait pas comment aurait pu réagir Aria face à ce dessin, enfin, Valentine avait l'habitude de voir diverses expressions sur le visage de ses modèles; surprise, amusement, émerveillement, elle avait fait le tour de presque toutes les réactions possibles, et elle était curieuse de voir ce qu'elle pourrait lire sur le visage d'Aria, si fermé et impassible.

« Au fait, mon nom est Valentine. »

Aria s'était présentée, mais pas elle; alors la moindre des choses était de faire de même. Valentine. Elle s'était longtemps demandé si c'était sa mère, la belle Aphrodite, qui avait choisi son nom ou alors son père. Pourquoi? Valentine-Saint Valentine, vous faites le rapprochement? Peut-être que son nom avait été choisi son père en l'honneur de sa mère? Pff, pourquoi est-ce qu'elle se creusait la tête pour trouver une réponse à une question idiote à ce point? Sur sa tête, Pascal s'agita en lui disant mentalement que lui aussi il existait. Un sourire narquois sur les lèvres, elle montra ensuite la bestiole posée sur sa tête puis elle présenta le caméléon à son tour;

« Et lui c'est Pascal. »


[HRP, désolée c'est court mais j'voulais pas me perdre dans du blabla inutile ;_; ♥]

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Re: draw me a tiger » Valentine&Aria | Dim 07 Sep 2014, 16:24

Draw me a tiger


Diane & Aria




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On entendait parfois dire qu'avec des efforts, rien n'était impossible. Ce n'était malheureusement pas exact : quoi qu'on dise ou fasse, le talent et les capacités innées pesaient dans la balance. La loterie de la naissance aussi. Tout le monde ne partait pas avec les mêmes chances ni avec le même potentiel dans tous les domaines et certains avaient plus de talents que d'autres. De plus le domaine dans lequel nous rêvons de briller n'était pas forcément notre domaine de prédilection, il se peut même que nous espérions devenir un grand artiste mais que nous restions toute notre vie incapable de tracer un visage correctement. Bon dans certains cas c'était seulement dû à un manque de bonne volonté, mais les autres cas nous apprenaient que le travail acharné ne payait pas toujours. Certes, c'était injuste. Mais pensiez-vous vraiment qu'il existe une justice en ce monde, à part celle établie par les Hommes ? La vie n'est pas obligée de nous faire des cadeaux, et le monde ne nous doit rien. Et c'était triste, mais nos passions et nos talents ne concordaient pas toujours. Que faire alors ? S'acharner sur nos passions et devoir fournir plus d'efforts que ceux qu'on qualifiait de génies juste pour ne pas être dans leur ombre, ou nous concentrer sur nos talents en laissant nos envies de côté ? Dans ce cernier cas, n'aurions-nous pas l'impression d'être manipulés, que notre avenir était déjà tout tracé ?

Enfin bref, j'arrête de vous embêter avec ça.
Aria n'avait jamais eu l'intention de se lancer dans l'art. Encore heureux, car elle n'était pas des plus douées dans ce domaine. Cependant elle était respectueuse des talents des autres, donc par extension de celui des grands artistes peintres. Et lorsqu'elle vit le portrait de la blonde, elle comprit qu'elle avait été très inspirée de lui dire qu'elle n'avait pas à le déchirer : ce n'était qu'une ébauche, mais on pouvait voir que le résultat final allait être magnifique. Était-ce vraiment elle dessus ? Elle ne se reconnaissait pas, à ses yeux c'était comme si on l'avait embellie. Notre Ashcrown observa les courbes tracées avec précision, les détails ajoutés avec finesse et attention, et fut ébahie de voir que l'artiste était parvenue à retranscrire des sentiments. De plus, lorsqu'un artiste était aussi doué, il avait tendance à s'attacher à chacune de ses œuvres, donc même si la dessinatrice n'en aurait rien montré, déchirer sa toile lui aurait fait mal au cœur.
Elle resta un moment à approfondir toujours plus son examen, à la recherche de ces petits détails qui faisaient qu'un dessin étaient non seulement uniques mais aussi intéressantes.
Quand elle eut fini son étude, la demoiselle rendit l'ébauche à sa vis à vis tout en prenant la parole.

« Merci. Je dois bien avouer que vous êtes talentueuse. »

Son regard exprimait le respect qu'elle éprouvait. C'était tout de même une drôle de rencontre et une agréable surprise.
Ensuite, son interlocutrice se présenta sous le nom de Valentine et précisa que le lézard, qui était sans aucun doute son affilié, s'appelait Pascal. Aria hocha la tête pour accuser bonne réception de ces informations, en se disant que ces prénoms sonnaient très français. Mais ce n'était pas si important, elle lui poserait la question si jamais l'envie lui prenait vraiment. À la place, elle demanda :

« Vous dessinez souvent les gens au hasard dans la rue ? »

Par la suite, la conversation se lança doucement. La vampire de sang-pur finit par prendre elle aussi place sur le banc et les deux jeunes femmes – d'apparence – sympathisèrent tranquillement, allant jusqu'à se tutoyer au bout d'un moment. Leur petite parlotte bien agréable dura plus d'une heure, mais Aria ne vit pas du tout le temps passer : Valentine était remplie d'un enthousiasme tel qu'elle mettait de l’animation à elle toute seule, il était donc impossible de s'ennuyer.
Cependant, elle ne devait pas oublier qu'elle était venue à Chloris pour des raisons professionnelles à la base et qu'il lui fallait désormais rentrer pour faire son petit rapport habituel. L'immortelle aux cheveux clairs salua donc amicalement Valentine et s'en retourna jusqu'au manoir familial, en gardant bien à l'esprit le fait qu'un portrait inachevé d'elle traînait désormais dans la nature. Si jamais il se répandait elle saurait pourquoi, cependant elle ne pensait pas avoir à s'en faire : Valentine lui avait semblé être une vraie artiste, qui ne peignait pas pour la gloire ou la fortune mais simplement pour le plaisir. Quelle chance, d'être à la fois douée et passionnée dans un domaine. Elle espérait que Valentine continuerait ainsi.






Anonymous
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Re: draw me a tiger » Valentine&Aria | Sam 27 Sep 2014, 17:13


VALENTINE - ARIA


« Merci. Je dois bien avouer que vous êtes talentueuse. »
« Oh, euh, merci! »

Valentine tapota le sol du pied d'un air gêné; elle était talentueuse, certes, elle le savait (non ce n'était pas du narcissisme ou du manque d'humilité, on le lui avait tellement dit dans sa vie vous savez). Cependant, elle ressentait toujours une petite pointe de gêne quand on lui faisait de tels compliments; et puis, au vu du genre de personne qu'était Aria (du genre solitaire enfin passons vous comprenez ce que je veux dire) elle se doutait que ce n'étaient pas des compliments lancés à la volée sans plus d'attention.

« Vous dessinez souvent les gens au hasard dans la rue ? »
« Je ne dessine pas les gens au hasard, au contraire! »

Valentine répondit à la dénommée Aria d'une voix guillerette et toute joyeuse. Elle, dessiner des gens au hasard, comme ça, au pif? Ahah, non jamais! Bien au contraire elle les choisissait précisément; si elle s'était posée sur ce banc pour y dessiner, c'était bel et bien parce qu'elle avait vue Aria et qu'elle avait su que c'était elle qu'elle dessinerait aujourd'hui. Oui bon dit comme ça on pourrait prendre ces pensées pour une déclaration d'amour foireuse ('quand elle croisa le regard de la femme aux cheveux d'argents elle sut que c'était elle' enfin un truc dans ce genre quoi vous voyez).

Pascal s'était détendu et était assit tranquillement sur la tête de la demi-déesse mordue. Cette dernière se décala et posa son sac au sol quand Aria s'assit sur le banc juste à côté d'elle, histoire de lui faire de la place. De là, les deux vampires se mirent à discuter tranquillemet, gaiement. Il fallait croire que Valentine avait un véritable don pour faire parler les gens, même ceux le moins enclins à la discussion. Peut-être était-ce à cause de charisme digne de la déesse Aphrodite? De ses grands yeux verts innocents? Son sourire enjôleur? Ses fossettes rieuses? Sa voix guillerette?

Valentine souriait tandis qu'elle discutait avec cette étrange femme à la magnifique chevelure argentée, et se surprit même à apprécier discuter avec elle! Si on lui avait dit plus tôt qu'une femme l'agresserait à l'aide de son tigre d'affilié et que par la suite elles s'entendraient plutôt bien, elle n'aurait pas cru cette personne. Cependant toute les bonnes choses avaient une fin; Aria se leva, et dit à Valentine qu'elle avait quelque affaire professionnelle à régler. La mordue se leva donc et dit au revoir à la belle vampire qui disparut, son tigre à ses côtés.

La belle Valentine passa une main dans sa magnifique chevelure dorée qui coulait jusqu'au sol telle une cascade d'or, tandis que de l'autre elle arrangeait sa chemise en flanelle blanche. Son regard brillant observa les alentours un instant, puis d'un geste doux et ample elle prit le petit Pascal dans ses mains pour lui dire d'une voix enjouée, tout en plongeant ses yeux dans les siens;

« Bon, je crois qu'on devrait rentrer Pascal, j'ai quelque chose à terminer! »

Le petit caméléon ne dit rien, et grimpa jusqu'à son épaule pour s'y rouler en boule et se mettre à ronfler doucement, faisant sourire sa partenaire. La blonde prit ses affaires, et sans plus attendre elle héla un taxi qui la ramena chez elle.

[HRP; MON DIEU CE RETARD. Pardon. Excuse-moi. ;w; ♥ Bon eh bien on clos le RP ici, je me charge de l'archiver :DD]

(c) brumy , don't touch please. ♥
 




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